Je t’ai présenté Mathilde, Clara et Flavie, les trois mad de ta saga de l’été à suivre sur madmoiZelle.
Chaque semaine, tu pourras découvrir leurs aventures dans un article, dans des séquences du Vlogmad et en stories sur notre compte Instagram, le week-end.
Découvre la semaine d’été de Clara, dont tu peux lire la présentation et le portrait chinois de l’été si ça n’est pas déjà fait, et que tu peux retrouver dans le vlog de la semaine et dans la story du week-end !
Pour l’article de Flavie c’est par ici et pour celui sur l’été de Mathilde, c’est par là.
Mise à jour du 31 août 2019
L’été de Clara, semaine 8
Et dire que je pensais me reposer cette semaine pour récupérer de mes insomnies… Ma naïveté me surprendra toujours !
Remarque, je dois reconnaître que j’ai quand même bien glandé les deux premiers jours dans la mesure où mon activité physique s’est limitée à une balade sur le Champ de Mars à écouter The Boys Club (j’admets avoir développé une légère obsession pour ce podcast).
Et à quelques achats indispensables à mon nouveau chez moi. Une machine à café par exemple. Au hasard, évidemment.
Ma super arrière grand-mère
Il a ensuite fallu prendre une grosse décision : Aurillac or not Aurillac ? Mes potes ont coupé court à ce dilemme en m’envoyant un message pour me prévenir qu’ils n’iraient pas parce qu’ils étaient crevés.
J’ai pris ça comme un signe et j’ai renoncé au festival… Tant pis, ce sera pour une prochaine fois !
Et puis, ce revirement de situation m’a permis d’être libre le week-end du 25 août. Du coup, j’en ai profité pour aller voir mon arrière grand-mère avec mon père, mon frère et ma sœur.
Je ne peux pas poursuivre cet article sans m’arrêter un instant sur la femme incroyable qu’elle est (et je pèse mes mots !)
Elle va avoir 97 ans et elle habite seule. Elle a toujours la pêche (parfois même plus que moi) et c’est une bible à anecdotes passionnantes. À chaque fois que je vais la voir, je suis grave impressionnée par la modernité de sa conception des choses dans tous les domaines.
Quand j’étais plus jeune, on lui rendait visite au moins trois fois par an. Maintenant, les occasions sont plus rares et ça m’a fait d’autant plus plaisir de constater que son regard malicieux n’a pas changé d’un pouce.
Bref, mon arrière grand-mère, c’est un peu mon héroïne. Les deux jours que j’ai passés avec elle sont passés trop vite… Mais je n’étais pas si triste que ça de rentrer à Paris parce qu’une perspective assez excitante m’attendait : j’avais décroché un entretien d’embauche !
Mon nouveau boulot de serveuse
Si tu suis mon été depuis le début, tu as dû voir que j’avais été prise pour bosser en tant que secrétaire dans un centre équestre. J’avais finalement refusé le poste (mais j’ai oublié de te le dire oupsi) parce qu’il était vraiment trop loin de chez moi.
Du coup, j’avais postulé à quelques offres avant de partir en week-end et un de mes mails a porté ses fruits ! Je suis arrivée à l’entretien en étant assez chill (c’est souvent le cas quand je ne sens pas l’enjeu et que j’ai la sensation de n’avoir rien à perdre).
Et je crois que c’est mon naturel qui a convaincu le recruteur de m’embaucher (ou alors j’étais la seule candidate mais mon ego préfère la première hypothèse).
À l’heure où j’écris ces lignes, je viens de terminer ma première soirée en tant que serveuse : j’ai un peu mal aux pieds, je suis crevée et j’ai fait un nombre incalculable de gaffes, mais je suis heureuse.
L’équipe est top, je me suis prise au jeu vers la fin et j’aime vraiment le contact avec les clients. Et puis la restauration m’a toujours attirée (tu en auras la preuve si tu lis mon portrait chinois dans ma présentation !)
Travailler en tant que serveuse… et sortir de ma zone de confort
Du coup, je viens de signer mon premier CDI : je travaille deux soirs par semaine avec la possibilité de faire des extras s’il y a besoin. J’espère prendre rapidement le pli : pour le moment, ma plus grosse angoisse a lieu au moment où je dois débarrasser une table.
Tenir trois assiettes (au minimum) dans une seule main, tout en gérant les couverts qui semblent être irrémédiablement attirés par le sol, ça se révèle être beaucoup plus compliqué que prévu…
Enfin bon, malgré quelques bourdes et mon syndrome de l’imposteur qui est venu me saluer deux trois fois dans la soirée, je reste hyper enthousiaste et heureuse d’avoir décroché ce job ! (Parce que vu mon âge et mon absence totale d’expérience dans le milieu, c’était loin d’être gagné…)
Et si jamais tu débutes tout juste ton travail, sache que tu as tout mon soutien ! Courage, on va finir par trouver nos marques et tout ce qui semble être une galère sans nom aujourd’hui sera d’une banalité déconcertante d’ici quelques mois…
You can do it ! (Et moi aussi !)
Mise à jour du 24 août 2019
L’été de Clara, semaine 7
Avant de te raconter ma semaine, je préfère te prévenir que je ne garantis pas la qualité de l’article qui va suivre : les deux insomnies consécutives que je viens de me taper ont été fatales à mon cerveau. Je crois que je ne vais pas tarder à déplorer définitivement sa perte si le sommeil continue à me boycotter.
Bref, tout ça pour te dire que je ne suis pas certaine d’enchaîner les mots d’esprit et les transitions parfaites aujourd’hui… Vu l’effort que me coûte l’écriture d’une phrase à peu près cohérente, je vais revoir mes exigences à la baisse et simplement tenter de tenir un propos à peu près compréhensible.
Tu me diras en fin d’article si j’ai relevé ce défi qui, là tout de suite, me paraît clairement insurmontable…. (J’ai été Marseillaise dans une autre vie, je te l’ai déjà dit ?)
Mes traditionnelles vacances à Saint-Malo chez l’ami d’enfance de mon père
Depuis huit ans, Saint-Malo est un rituel incontournable de mes vacances d’été vu que le meilleur ami de mon père y habite avec sa femme et ses enfants : d’autant que je me souvienne, ça a toujours été un gros kif de squatter chez lui pendant quelques jours.
J’adore être témoin de sa complicité avec mon père : quand ils sont ensemble, j’ai l’impression qu’ils ont de nouveau quatorze ans. On pourrait presque les prendre pour un vieux petit couple et je dois avouer que leur amitié est très belle à voir !
Bon, pour être honnête, je n’ai pas toujours vu les choses de cette manière : quand j’étais plus jeune, il m’arrivait de me sentir un peu exclue du délire « oh et tu te souviens de ? » qui prenait des heures à cause des longs et nombreux récits d’anecdotes que j’ai fini par connaître par cœur.
(Je suis sûre que toi aussi, tu as vécu cette sensation étrange qui accompagne le moment où tu réalises que ton père a eu une vie avant toi.)
Ces vacances en Bretagne comportent deux traditions non négociables : manger tous ensemble à la crêperie « l’Hermine » et jouer au poker.
Entre poker et balades sur la plage
La semaine a donc été rythmée par des « Clara, petite blind, Auriane grosse blind », des « mais comment tu fais pour encore gagner alors que j’ai un brelan ? » ou encore des « bon ok je me couche ».
Oui, j’assume : on a beaucoup (mais genre vraiment beaucoup beaucoup) joué au poker. Et j’ai beaucoup (mais genre vraiment beaucoup beaucoup) fait tapis et tout perdu.
Parce que j’aime les risques démesurés. (Et aussi parce que plus personne ne croit à mes coups de bluff mais ça, faut pas le dire…)
Bon, j’ai quand même parfois réussi à surmonter mon addiction à ce jeu pour aller faire de longues balades sur la plage avec mon père. Les cheveux au vent (enfin surtout les miens vu qu’il ne lui en reste plus beaucoup). On a parlé de nos projets respectifs de nos regrets, de nos visions des choses (parfois divergentes) et de nos envies.
Ce qui s’est révélé être extrêmement ressourçant et pas du tout prise de tête comme j’aurais pu le croire. J’irais même jusqu’à dire que ces conversations font partie du top 3 des vacances ; c’est dire à quel point je les ai savourées !
Malheureusement, tout a une fin. Il a donc fallu remballer nos affaires le dimanche et prendre le train avec ma sœur pour rentrer à Paris.
Je t’épargne l’épopée du voyage dans le métro avec nos quatre valises et j’accélère un peu le temps pour arriver directement au moment le plus intéressant : mon emménagement dans ma chambre de bonne.
Mon installation dans ma chambre de bonne
Je ne vais pas faire durer le suspense trop longtemps : je suis vraiment bien dans mon 10 mètres carrés. Et je ne regrette pas une seconde de l’avoir loué (ce que je redoutais un peu étant donné que c’est ma sœur qui l’avait visité pour moi).
Au-delà de son emplacement incroyable, l’immeuble est magnifique et surtout, je me sens à l’aise ici. Ce que je veux dire, c’est que l’énergie du lieu me correspond.
Et vu que ce genre de ressenti ne se commande pas, je considère que je suis très chanceuse de m’être sentie chez moi aussi vite et de ne pas avoir eu de temps d’adaptation un peu difficile.
Seule ombre au tableau : il n’y a pas encore de Wi-Fi, contrairement à ce que la proprio avait dit. Il va donc falloir que je trouve rapidement une solution au vu de ma consommation d’Internet (parce que la 4G c’est bien beau mais ça ne dure qu’un temps) !
Je vais terminer cet article en faisant honneur à la réputation de « meuf bio » que je me suis faite auprès de mes potes (soit disant que je vivrais au monde des bisounours) : je suis allée donner mon sang pour la première fois cet après-midi, et je t’encourage à le faire aussi si tu es majeur·e et que tu ne présentes aucune contre-indication.
Ça ne prend pas beaucoup de temps et c’est un petit geste qui peut faire de grandes choses ! L’effet domino, ça te parle ? Et bah là, c’est un peu comme un domino inversé où les pièces se redressent une par une au lieu de se faire tomber.
Bon, la qualité contestable de cette métaphore ne laisse place à aucun doute : il est temps que j’aille dormir et que j’arrête de te raconter ma vie.
Je te donne donc rendez-vous la semaine prochaine ! En espérant avoir récupéré un peu d’énergie d’ici là…
Mise à jour du 17 août 2019
L’été de Clara, semaine 6
Cette semaine, j’ai activé le mode « rat de bibliothèque ».
La fièvre de la lecture
C’est-à-dire que j’ai lu. Partout. Tout le temps.
Dans la voiture, dans mon lit, sur le canapé, aux toilettes, dans le train, en mangeant.
Quand j’étais petite, les bouquins, c’était une obsession.
J’avais même développé des techniques pour tourner les pages en me douchant parce qu’abandonner mon roman le temps de me laver m’était insupportable.
Tu imagines à quel point j’étais accro ?
Mais avec les années qui sont passées, les sorties entre potes ont peu à peu remplacé toutes mes activités littéraires.
Je dois même avouer que cette année, je n’ai quasiment rien lu.
Le peu de temps libre que j’avais, je le passais à dormir. (Ou à sortir, j’avoue.)
Du coup je m’étais acheté plein de livres avant de partir en vacances histoire de m’y remettre.
Bon, les premières semaines, j’admets qu’ils sont restés au fond de ma valise et que j’étais plutôt tentée par les films.
Mais depuis quelques jours, la fièvre de la lecture m’a reprise.
Conseils littéraires
Quand j’étais à Bandol, j’ai dévoré Tu ne m’oublieras pas deux fois et Pas celle que tu crois de Mhairi MacFarlane.
Ce sont deux comédies romantiques hypers sympas et pleines d’humour qui se lisent vraiment rapidement.
Dans un genre complètement différent, j’ai aussi fini J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Lagarce et j’ai relu Littoral de Wajdi Mouwad.
Je ne sais pas si tu es branché·e théâtre mais je t’assure que ces deux pièces valent le coup !
Elles sont très émouvantes, chacune à leur manière, et certaines répliques sont magnifiques.
Alors même si tu n’es pas trop fan du théâtre lu (ce que je comprends parce que je suis pareille d’habitude), je te les conseille mille fois !
Et d’ailleurs, je te recommande aussi Sorcières de Mona Chollet. Oui, je sais, aucun rapport.
Mais passer du coq à l’âne, c’est ma spécialité (ok je suis clairement de mauvaise foi pour le coup. J’avais juste la flemme de trouver une transition potable…).
En gros, ça parle de l’émancipation féminine à travers l’évolution de l’image de la sorcière dans la société.
Et c’est juste trop méga intéressant ! (Au passage il se peut que je ne le lise pas uniquement pour le plaisir mais aussi dans le but de me documenter pour un projet de podcast… #jedisçajedisrien).
Bon et puis il m’est quand même arrivé parfois de lever le nez de mes bouquins.
Notamment pour passer du temps avec mon cousin qui a un an de plus que moi et qui nous a rejoint quelques jours avec mes cousines, mon oncle et ma tante.
On a parlé jusqu’à cinq heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi et comme d’habitude, je me suis dit que c’est vraiment dommage que je le vois si peu parce que c’est quelqu’un de génial !
To binge or not to binge ?
Enfin, il faut que je te confesse que j’ai regardé les deux premières saisons de La Casa de Papel avec mon frère et ma sœur. En trois jours.
Et je suis parfaitement consciente que pour une fille qui disait ne pas être trop à fond dans les séries, j’abuse.
Mais sincèrement, c’est la première fois de ma vie que je regarde autant d’épisodes en si peu de temps.
Et puis j’ai une bonne excuse : on retrouvait mon père lundi et il voulait qu’on se voit la troisième saison ensemble du coup il fallait bien qu’on soit à jour !
Oh et puis je n’ai pas à me justifier au fond, c’est les vacances…
En vrai je me débats toute seule avec ma conscience parce que je passe ma vie à clamer haut et fort que Netflix est une perte de temps. Donc je kiffe pas trop de voir mon incohérence affichée comme ça !
Voilà pour ma semaine qui a été plutôt calme comme tu peux le constater.
Entre les livres et les séries, on ne peut pas dire que ma productivité était à son max.
Mais bon, je viens juste d’arriver à Saint-Malo donc je suis dans l’optique de reprendre un rythme de vie à peu près décent ici.
C’est-à-dire que je prévois d’aller courir sur la plage tous les matins à 7 heures à partir de demain. *Rires dans l’assistance*.
Bon d’accord, je n’ai aucune crédibilité…
En vrai, je compte bien savourer encore le mode « loutre dans le canapé » aussi longtemps que j’en aurai envie.
Et je te conseille de faire de même parce que c’est bientôt la rentrée. NIARK NIARK NIARK (Ceci est un rire diabolique. Au cas où.)
Sur cette joyeuse perspective, je te donne RDV la semaine prochaine !
L’été de Clara, semaine 5
ALERTE ROUGE ARRÊTEZ TOUT J’AI TROUVÉ UN LOGEMENT JE RÉPÈTE ARRÊTEZ TOUT.
Je trouve une chambre à côté de la Tour Eiffel !
Je suis désolée si tu as l’impression que je viens de te hurler dans les oreilles mais à part les majuscules, je ne savais pas quoi utiliser pour te faire partager mon enthousiasme !
Parce que clairement, savoir où je vais passer les dix prochains mois est une trop bonne nouvelle !
Peu importe que la chambre fasse 10m², que les toilettes et la douche soient sur le palier et que le loyer ne soit pas donné DU TOUT. (Voilà que je recommence… Promis c’est la dernière fois de l’article !)
Peu importe parce que je serai dans le 15ème arrondissement, que ma sœur habitera à 10 minutes à pied de chez moi, qu’il y aura une laverie juste à côté et que la chambre sera au rez-de-chaussée.
Et puis, cerise sur le gâteau, la proprio est adorable.
Pour moi qui habitais à la Défense cette année, le fait d’avoir un logement dans Paris va carrément me changer la vie.
Adieu les deux heures de transport pour rejoindre mes potes au bar, vous ne me manquerez pas !
Et puis soyons honnêtes : c’est la classe d’habiter juste à côté de la Tour Eiffel !
Bon, ça l’est un peu moins d’entendre du bruit H24 mais on n »a rien sans rien comme on dit.
Bref, une fois le chèque de caution envoyé et la date d’emménagement fixée, je me suis sentie libérée (parce que clairement, la part de moi control freak n’assumait pas trop le délire « ne pas savoir où je serai en septembre »).
Je cherche un job étudiant
Du coup, en toute logique, vous vous dites que j’ai enfin pu savourer mes vacances l’esprit tranquille. Que nenni !
Je me suis mise à chercher du taf !
C’est-à-dire que j’ai commencé à envoyer pleiiin de mails avec CV et lettres de motivation dans lesquelles j’assure à l’employeur que mon rêve a toujours été d’essayer de vendre des jeans dix heures d’affilée à des clients qui me prendront pour un meuble du magasin.
Je te rassure, je suis quand même un peu plus subtile que ça de manière à ce que ça reste crédible.
Et j’ai (peut-être) trouvé quelque chose au bout d’une semaine intensive de recherche : secrétaire dans un centre équestre.
Comme j’adore les chevaux, ça me semble être une opportunité cool surtout que, pendant l’année scolaire, je mange/dors/vis théâtre donc un peu de dépaysement ne me fera pas de mal (même si je sais d’avance que l’administratif va parfois me gonfler).
Enfin bon, rien n’est encore signé. J’ai un entretien en août, je te tiendrai au courant !
Ici et maintenant
Maintenant que je t’ai écrit des tartines sur mes projets pour l’année à venir, je vais essayer de revenir à l’instant présent ! Oulah, j’ai l’impression que le bouquin que je suis en train de lire déteint sur moi…
C’est Journal intime d’un touriste du bonheur et ça parle entre autres de savourer ce qui se passe « ici et maintenant ».
Et pour le coup, j’ai carrément appliqué ce principe pendant la Via Ferrata que j’ai faite la semaine dernière !
100 mètres d’altitude, ça permet de prendre de la hauteur dans tous les sens du terme.
D’abord physiquement (même si je n’ai quasiment pas eu le vertige cette fois) mais aussi mentalement.
Quelque part, ça remet les idées en place d’être en pleine nature, agrippée à un rocher, à chercher des prises pour avancer.
On est obligé de se focaliser sur ses sensations et d’oublier ses préoccupations ; j’ai un peu l’impression que ce genre d’expérience « nettoie » la machine infernale qu’est le cerveau.
Est-ce que vous voyez ce que je veux dire ou est-ce que vous trouvez mon explication tordue ?
Pour se remettre de cette journée (où on a quand même dû se lever à 6h du mat’), on a passé les deux journées suivantes à mater The Society avec mon frère. Le bonheur à l’état pur…
Moi qui ne suis pas fan de séries à la base, je dois bien reconnaître qu’en regarder une cool avec quelqu’un que j’aime est probablement un des trucs les plus reposants qui existent !
Enfin, ma sœur nous a rejoints vendredi et on est partis passer trois jours à la mer en famille.
Entre nous, les plages bondées, c’est pas trop trop mon délire…
J’ai du mal à comprendre en quoi passer ses journées sur deux mètres carré de sable avec une chaleur étouffante et un bruit permanent est agréable mais faut croire que pleins de personnes kiffent ça !
Il se trouve que ma mère et mon beau-père en font partie, ce qui explique cette petite excursion à Bandol durant laquelle il y a vraiment eu de chouettes moments.
Je pense entre autres aux balades sur le port le soir et aux restos délicieux où on a mangé !
Et puis j’ai acheté sur un marché une immense photo avec Brel, Ferré et Brassens pour la décoration de ma chambre.
Alors ok, le type qui a écrit le bouquin dont je t’ai parlé dirait que c’est de la projection et que je ne suis pas à 100% dans le moment présent…
Toujours est-il que cette trouvaille m’a rendue super heureuse !
Et j’espère que toi aussi, tu as vécu plein de petits moments de bonheur comme ça cette semaine et que beaucoup d’autres t’attendent après la lecture de mon article ♥
L’été de Clara, semaine 4
Les vacances en familles et les tourments qui vont avec
Quand on est ado, ce concept est souvent synonyme de tensions, de disputes et j’en passe.
Comment concilier le rythme des parents qui veulent « profiter de la journée » et celui des enfants qui n’aspirent qu’à « profiter de la nuit » ?
Forcément, y a une incompatibilité quelque part… Et je ne parle même pas du fait de trouver une activité qui branche tout le monde.
C’est souvent mission impossible !
Comme tu l’auras compris avec cette entrée en matière (plus ou moins) subtile, ma mère, mon beau- père et mon petit frère m’ont rejointe jeudi.
On ne peut pas dire que j’ai une mauvaise relation avec eux, très loin de là : je n’habite plus avec ma famille depuis maintenant un an, ce qui a pas mal fluidifié nos rapports (et espacé les conflits style claquage de porte).
Avec la distance et le fait de ne plus se côtoyer quotidiennement, je pense même m’être beaucoup rapprochée de ma maman.
J’éprouve maintenant souvent le besoin de l’appeler et de me confier à elle (chose plutôt rare avant) !
Bref, je ne t’apprends rien en te disant que quitter le cocon familial n’est pas sans conséquences sur les relations parent/enfant.
Mais l’été, quand on est amenés à passer de nouveau plusieurs semaines tous ensembles, on a un peu l’impression de revenir en arrière.
Les anciens schémas se remettent en place et les scènes de désaccords se répètent…
Pas toujours évident à gérer, surtout quand on essaie chacun de faire notre maximum pour profiter mais que plusieurs clashs surviennent malgré nos efforts respectifs !
Ces beaux moments qui effacent les disputes
Je te rassure néanmoins, en dépit de ces quelques disputes, on a aussi partagé de beaux moments tous ensemble (et je peux même affirmer que ça m’a fait un bien fou de me ressourcer auprès de ma famille).
Se baigner dans la piscine en écoutant la playlist de mon frère (composée majoritairement de rap).
Aller à River Island (un parc aquatique) et faire des toboggans à sensation en faisant genre qu’on ne flippe pas du tout.
Boire un café en discutant avec mon beau-père de tout et de rien.
Bronzer avec ma maman, lui déballer mes histoires et l’écouter me dire ce qu’elle en pense.
Cuisiner des lasagnes avec mon frère.
Découvrir un film ouf (Call me by your name)…
Et encore, cette liste n’est pas exhaustive !
Alors oui, ces instants trop cool n’ont pas de prix mais une part de moi (sûrement un peu idéaliste) aimerait qu’ils ne soient pas systématiquement précédés d’engueulades… auxquelles je suis consciente de contribuer en grande partie évidemment !
Je suis parfois de mauvaise foi, mais pas à ce point haha.
Un cadeau qui m’a touchée
Enfin, je ne peux pas te raconter ma semaine sans mentionner le moment où Florian, mon frère, m’a offert un cadeau qu’il m’a ramené de son voyage en Angleterre : un sweat à capuche de l’université d’Oxford #jemensuistoujourspasremise.
Non pas que je sois spécialement fan des vêtements qui portent le nom d’université hein, c’est juste l’attention qui m’a méga touchée.
Je n’avais pas vu Florian depuis trois semaines et le fait de voir qu’il avait pensé à moi était adorable.
Et puis on s’entend super bien et pendant l’année scolaire, on se voit peu vu que j’habite à Paris, alors depuis jeudi, je suis ravie de pouvoir profiter de son humour beauf et de ses goûts musicaux douteux !
Ok c’était carrément gratuit… (et surtout hypocrite vu que je rigole souvent à ses vannes).
En vrai, il a une maturité de dingue (à seulement 14 ans) et c’est quelqu’un qui se préoccupe sincèrement du bien-être des autres : difficile de ne pas l’aimer !
Je vais te laisser sur cette déclaration d’amour un peu clichée mais tellement vraie, et je vais retourner envoyer des messages pour trouver un logement à Paris l’année prochaine (cette activité passionnante occupant environ 90% de mon temps en ce moment…).
Souhaite-moi de pouvoir t’annoncer que j’en ai un dans l’article de la semaine prochaine et d’ici là, prends soin de toi ♥
L’été de Clara, semaine 3
La sensation d’être quelqu’un d’autre le temps d’une soirée.
Ne plus avoir honte de rien.
Se sentir libre.
Pour moi, la fête d’anniversaire de ma pote italienne s’est résumée à ces trois phrases.
Un sentiment d’allégresse
Je ne sais pas comment c’est possible, mais l’alcool ne m’a pas fait oublier mon italien, ce qui m’a permis de raconter pas mal de bêtises à pas mal de personnes.
Et de me sentir incroyablement bien et intégrée.
(NB : l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération !)
Aller voir un inconnu, sourire, dire que je suis française et que je suis heureuse d’être là… Une scène improbable en étant sobre, qui devient parfaitement banale avec quelques verres dans la gorge.
Je n’étais pas bourrée : j’étais au stade précédent, celui où le monde tangue légèrement et où tout semble incroyablement simple.
Mes peurs se sont peu à peu évaporées et chaque élément autour de moi est devenu de plus en plus intense. La couleur de mon vernis, la musique, le visage des gens, les cris du groupe à côté de moi qui jouait au beer pong...
S’avoir s’écouter, la clef d’une bonne soirée
En italien, cet état s’appelle « brilla » (pompette en français).
C’était si agréable d’écouter mes limites, pour une fois, et de m’arrêter avant d’être « ubriaca » (c’est-à-dire complètement ivre) !
Ça m’a permis de passer une soirée mémorable dont le souvenir ne sera pas entaché par un fond de mal au cœur ou, encore pire, par un passage sur la cuvette des toilettes. #TestéEtDésapprouvé
Parler politique avec deux mecs super cool rencontrés quelques heures plus tôt.
Retomber sur des amies que je n’avais pas vues depuis plusieurs mois.
Regarder le soleil se coucher.
Croiser mon reflet dans le miroir et trouver que mon sourire est celui d’une meuf vraiment heureuse.
Danser sans chercher l’approbation dans le regard des autres.
Savourer l’odeur de l’été.
Contempler le ciel rempli d’étoiles et consentir à me sentir minuscule.
C’était une suite de moments légers où je me sentais incroyablement libre.
En Italie, à 18 ans, avec tous ces gens géniaux et d’une bienveillance extrême. Je crois n’avoir jamais trouvé la langue italienne aussi belle…
Je me faisais l’effet de vivre dans un film cliché pour adolescents quand j’ai fini par danser pieds nus sur des chansons que je ne connaissais pas en fredonnant des paroles totalement inventées !
C’était jouissif d’être cette fille-là pour quelques heures. D’accepter de me laisser aller en profitant de l’instant présent, sans penser à rien.
Décider d’être libre
La plupart de mes anciens potes n’auraient pas reconnu cette jeune fille brune aux longs cheveux bouclés, qui avait mis des talons de 10 cm et une robe bleue bien moulante.
Cette jeune fille qui racontait beaucoup de bêtises en italien et qui riait toutes les trente secondes.
Cette jeune fille qui s’autorisait, l’espace d’une soirée, à faire ce dont elle avait envie sans se soucier des conséquences.
Cette jeune fille, pour une fois, c’était moi. Parce que je l’avais décidé. Et que, parfois, le simple fait de décider est suffisant.
Le lendemain, j’ai écouté tous les messages vocaux que j’avais envoyés à ma sœur, j’ai regardé les vidéos, les photos et étonnamment, je n’ai eu honte de rien.
Au contraire, je me suis remerciée de m’être autorisée à vivre ça et de m’être créé tous ces souvenirs.
Ce séjour en Italie est sûrement l’un des voyages où je me suis sentie la plus libre !
L’été de Clara, semaine 2 : un tournant dans sa semaine de farniente
En vacances, j’ai tendance à perdre très rapidement la notion du temps.
Adieu notion du temps !
Les autres années, il me fallait environ un mois avant d’atteindre le stade où je suis incapable de dire si il est midi ou seize heures.
Cet été, la perte de repères a été beaucoup plus rapide puisque j’ai décidé que l’heure n’aurait aucune influence sur moi pendant les vacances.
Je dors quand j’en ai envie (donc souvent vers 6h), je mange quand j’ai faim (ça donne régulièrement des déjeuners à 17h) et je bosse sur mes projets quand j’ai de l’inspiration (c’est à dire en pleine nuit les 3⁄4 du temps).
Bref : je fais (quasiment) tout ce que je veux quand je veux !
Et cette liberté-là, elle n’a pas de prix.
D’autant plus parce que je sais très bien que c’est une des dernières fois que j’ai la chance d’avoir autant de temps devant moi sans contrainte ou presque !
Tu l’auras sans doute compris : ces derniers jours n’ont pas été des plus passionnants en terme d’activités.
Ma sœur et mes potes sont partis en début de semaine et je suis restée seule jusqu’au vendredi.
J’ai bien profité de la piscine, j’ai beaucoup lu et j’ai bossé sur des projets chouettes que je prépare pour l’année prochaine.
J’ai aussi dû faire quelques trucs un peu plus relous (genre les inscriptions administratives à la fac) mais globalement, je t’avoue que je ne me suis pas imposé un rythme excessivement chargé ! #euphémisme
Et si je suis honnête, je dois avouer que ça m’a fait beaucoup de bien de prendre du temps pour moi : des journées où mon agenda affiche page blanche, je les compte sur les doigts de la main pendant l’année scolaire.
Alors, l’été, je les savoure à fond !
Un bouleversement de programme
Cette période de productivité intense était censée durer encore une semaine quand tout à coup… Mon portable se mit à vibrer !
Mais quelle notification pouvait bien être à l’origine de ce petit bruit, vecteur de tant d’espoir ? #meufdésespéréesansviesocialedepuistroisjours
Était-ce un mail de Facebook qui me rappelait l’anniversaire de ce mec que j’ai croisé une fois en soirées il y a deux ans ? Un message de ma sœur qui se faisait chier au boulot et qui cherchait quelqu’un à qui parler ?
Ou bien YouTube qui m’informait charitablement que Squeezie venait de sortir une nouveauté alors que je n’ai jamais vu de ma vie une vidéo de ce mec ?
Le suspense était à son comble…
Finalement c’était une bonne nouvelle : un SMS d’un ami qui m’invitait à venir en surprise pour les 25 ans de sa copine que je n’avais pas vue depuis quelques mois (et dont je suis très proche).
Je les ai rencontrés tous les deux en service civique l’année dernière et le feeling était directement très bien passé entre nous trois !
Autant te dire que je n’ai pas hésite une seconde : j’ai foncé sur internet pour trouver des billets (qui ne m’ont pas coûté un bras vu que ma carte jeune était encore valable) et j’ai débarqué chez eux le vendredi soir !
(Là c’est plié en deux phrases et ça semble easy mais en vrai j’ai quand même eu huit heures de voyage avec trois correspondances que j’ai failli louper à chaque fois…)
Un week-end de rêve
Je ne vais pas nous inventer de grandes excursions à base de musée de la Porcelaine : en toute transparence, le week-end était plutôt (si ce n’est carrément) posé.
Deux autres amies sont arrivées le samedi matin, ce qui fait qu’on était cinq en tout : le nombre parfait pour jouer au tarot ! (Non, ce n’est pas un jeu de vieux, faut arrêter avec ça.)
Hormis ça, on a surtout discuté en mangeant des madeleines Bijoux (une tuerie). On s’est aussi pas mal baladés dans la ville.
Le samedi soir, on a fait un pique-nique composé de bières, de pains frais et de houmous et on a évidemment assisté au feu d’artifice qui était franchement magnifique !
Le dimanche midi, on a fêté l’anniversaire : le copain de mon amie lui a offert un piano qu’on a tous dédicacés. #cadeauouffisime
Et puis, il a bien fallu rentrer à un moment : j’ai fait le chemin en sens inverse avec beaucoup de fatigue dans ma valise et un peu de nostalgie au fond de moi.
À l’heure où je t’écris ces lignes, je viens à peine d’arriver dans le Sud où je ne reste que trois petits jours (juste le temps de récupérer quoi) avant de repartir en Italie à la fin de la semaine…
Du coup, si ça te dit de lire un article à propos de pizzas, de soirées en boîte, de glaces, de piscine et de repas de famille longs et très agités, je te donne rendez-vous samedi prochain !
P.S. : On participe à un mini triathlon au profit de la lutte contre le cancer du sein avec ma sœur fin septembre. Mais pour ça, on a besoin de récolter 500€ reversés au profit de l’asso !
Si jamais ça t’intéresse, le projet est détaillé ici !
L’été de Clara, semaine 1
Alors, comment te décrire cette première semaine de vacances ?
- Reposante ? Sans hésitations.
- Cool ? Indéniablement.
- Productive ? Pas tellement.
- Décevante ? Légèrement.
Ce qui est sûr en tout cas, c’est qu’elle aura été pleines de surprises !
Je me serais bien passée de certaines (#lesgensquiannulentàladernièreminuteleursvenues), mais à côté de ça il y en a d’autres contre lesquelles je n’aurais cédé ma place pour rien au monde (#nuitblancheàobserverunorageoufissime).
Les premiers jours ont été rythmés par les discussions avec ma sœur jusqu’à 3h du mat’, les réveils à 13h, les apéros, les films, les bouquins et les séances de bronzage au bord de la piscine.
Je partage le summer goal de Mathilde qui est de ne pas être blanche comme un cachet d’aspirine début septembre ! Va-t-on y arriver ? Le suspens est à son comble !
Bref, il y a clairement pire comme programme et j’ai juste adoré pouvoir glander sans la moindre culpabilité après l’année bien chargée que je viens de passer !
Malheureusement, ce farniente tant attendu a été perturbé par le désistement de pleins de potes qui étaient censés venir à la soirée d’anniversaire de ma sœur et moi qui a eu lieu samedi…
Si certains avaient des excuses complètement valables où le seul truc à accuser était le destin, d’autres se sont réfugiés derrière des prétextes carrément bancals :
« Samedi ?? Oh je suis absolument désolé mais en fait je viens de réaliser que j’ai poney sur poutre. En même temps tu ne m’as prévenu que 6 mois à l’avance, je ne pouvais pas prévoir moi… »
Je fais de l’humour mais j’avoue que ça a légèrement entamé notre moral (qui n’était déjà pas au top du côté de ma sœur qui est actuellement en rupture !).
Mercredi, l’ambiance à la maison oscillait entre 1 et 1,5 sur une échelle de 0 à 10…
On a fini par se faire une raison et à renoncer à l’idée d’une grosse soirée : un week-end en petit comité avec des potes qui allaient vraiment être heureux d’être là pouvait être génial aussi !
Et vous savez quoi ? Ça a été le cas.
On s’est raconté nos vies, on a mis de la musique à fond, on s’est baigné, on a bu beaucoup de bières et de rosé, on s’est couché vers 6h du matin, on a joué à Juduku et on s’est tapé des fous rires mémorables !
Bref, on a profité à fond quoi, sans se prendre la tête ! Au final, je suis vraiment heureuse de la manière dont les choses se sont passées.
Clara a eu les résultats de son bac
L’autre événement incontournable de ma semaine, c’est évidemment les résultats de mon bac ! Je suis allée les regarder sur Internet avec ma sœur.
On avait toutes les deux mis le réveil à 9h, pour éviter d’être spoilées en se réveillant à midi par les messages que j’aurais potentiellement reçus.
On s’est posé sur mon lit, la gueule enfarinée avec une envie assez intense de se rendormir direct — faut dire qu’on s’était couché vers 4h la veille…
On n’y a évidemment pas cédé (enfin pas avant d’avoir vu mes résultats du moins) et on est allé sur le site de mon académie en faisant des pronostics.
Étrangement, je n’étais pas angoissée ou impatiente, juste curieuse. Probablement parce que j’avais la chance d’être à peu près sûre d’avoir mon bac donc pas de stress de ce côté-là.
Et puis, j’ai vu que j’avais eu la mention très bien avec 18,25 de moyenne générale.
Je vous retranscris ma réaction ici :
– Mais naaaaaan ???
Ce moment d’euphorie a duré six secondes maximum.
Il a rapidement été suivi de :
– Bon bah c’est cool, c’est derrière moi maintenant ! Je vais me rendormir.
Ça peut sembler bizarre mais je l’ai vécu comme un non-événement total et je ne m’attendais pas du tout à ressentir une telle indifférence…
Pourtant, je suis habituée à être assez exigeante avec moi-même et je sais que j’ai tendance à m’attarder d’avantage sur mes échecs que sur mes réussites.
Mais là, j’étais vraiment trop détachée à mon goût, beaucoup plus que je ne l’aurais voulu.
En fait, je crois que sur le coup, j’étais surtout soulagée que ce soit enfin derrière moi et que le reste avait peu d’importance…
Je t’avoue qu’au moment où j’écris ces lignes, une part de moi peut dire qu’elle est plutôt fière d’avoir réussi.
Quand je repense à ces moments où j’avais envie de tout foutre en l’air, mais où je me forçais quand même à taffer jusqu’à 2h du mat’, je me dis que dans mon cas, le travail a payé et que mes parents ont eu raison de me faire confiance en me laissant arrêter le lycée après la seconde.
Bref, je crois avoir fait le tour des moments clés de ma semaine. Ah si !!
Je ne t’ai pas raconté la nuit de samedi à dimanche où j’ai assisté à un orage incroyable entre 4 et 6 heures du matin avec les potes rescapés de la soirée qui tenaient encore debout : le ciel était dingue et on en a pris pleins les yeux.
Franchement, ce spectacle n’avait pas de prix et je m’en souviendrai très très longtemps !
Je vais te laisser sur ce joli souvenir et je te donne RDV la semaine prochaine (tu verras, quelques petits changements de programme sont en cours et il se peut que le week-end à venir soit bien plus chargé que prévu…).
Je n’en dis pas plus pour l’instant et je te souhaite une très belle journée :)
À bientôt !
PS : Et si toi aussi tu as passé le bac, j’espère très très fort que tu l’as eu, que tu as sauté de joie en l’apprenant et que tu as pu fêter ça dignement avec tes potes ou avec ta famille !!!
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Les Commentaires
Et merci de suivre cette saga avec un regard aussi bienveillant, ça me fait super plaisir.
Je te souhaite une très belle soirée