— Crédit photo © @ary.apache
La première fois que j’ai entendu le titre Childhood Dreams de ARY, il ne m’a pas fallu plus d’une minute pour me dire : « Ça, c’est directement dans les coups de cœur de Radiomad. »
Une production ultra-efficace et une voix envoutante, c’est la recette de la réussite ! NME est d’accord avec moi : le titre est un banger. D’ailleurs, je préfère ne pas savoir combien d’écoutes je cumule sur cette musique.
ARY est le nom de scène de Ariadne Loinsworth, originaire de Trondheim, en Norvège. Childhood Dreams marque, j’en suis sûre, le début d’une carrière prometteuse pour la jeune norvégienne.
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Elle explique que ce morceau a été écrit à une période de sa vie où tout était très nouveau pour elle.
« Je venais de signer avec mon label et je commençais à travailler sur mes démos. À ce moment là, j’ai réalisé à quel point il faudrait travailler dur pour que mes rêves deviennent réalité. »
Ce n’est qu’en écoutant le morceau terminé qu’elle s’est rendu compte d’à quel point il collait avec son état d’esprit du moment. Grandir, rêver, évoluer…
Ce genre de thématiques liées à l’adolescence et aux débuts de l’âge adulte me rappellent le premier album de Lorde, et, finalement, je trouve qu’il y a quelque chose dans la voix qui les rapproche.
ARY devrait nous donner un peu plus de grain à moudre dans l’année. Peut-être un EP ou un album (il semblerait que ça soit dans ses plans) que j’ai hâte de découvrir pour mesurer l’étendue de son talent.
Personnellement, je vais continuer à meumeumer Childhood Dreams en attendant.
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