Un festival féministe et punk sur la parentalité ? Meilleure nouvelle !

Arrêtez tout ! Le collectif Very Bad Mother organise une nouvelle édition de son festival le weekend du 31 juillet-1er août 2021 à Concarneau, en Bretagne, et la programmation donne hyper envie.

Enfin, on dit festival, mais on devrait plutôt parler de kermesse feministo-punk. Voyez plutôt comment le collectif breton se présente :

« Daron·nes précaires, célibs, racisé·es, queer, antifa… construisons ensemble de nouvelles parentalités qui sortent du cadre imposé « en couple, hétéro, un papa et une maman ». »

Au menu de ces deux jours : des intervenantes utra stylées (Ovidie, Morgane Merteuil, Jena Selle – Nos voix trans -, Charlotte Bienaimé – Un podcast à soi -, etc.), des groupes de paroles et ateliers, des conférences, des écoutes de podcasts et documentaires, des concerts, du théâtre, des expos… Le tout placé sous le signe de la solidarité et de la sororité.

Very bad mother : kermesse féministo-punk, crèche autogérée et cantine solidaire

Pour faire partie des 500 heureuses personnes qui pourront y participer, il faut prendre vos places sur le site du collectif, sachant qu’elles sont à prix « libre et conscient ». À vous d’estimer ce que vous pouvez donner en fonction de vos moyens pour que les comptes du festival ne soient pas dans le rouge à la fin du weekend.

Si vous venez de loin, vous pouvez dormir sur place, en mode camping gratuit. Et une cantine solidaire est aussi prévue pour pouvoir se restaurer pendant le festival.

Enfin, les enfants sont les bienvenus, pour les parents qui n’ont pas de solution de garde ! Une crèche parentale autogérée sera organisée pendant le weekend pour les plus jeunes. Les enfants et les ados pourront de leur côté participer à des ateliers conçus pour eux. Seule condition : s’inscrire en amont, pour pouvoir s’organiser avec les bénévoles pour garder les enfants.

L’événement se tiendra donc le 31 juillet et 1er août 2021 à la Brasserie Ti Martolod à Concarneau, et ça a l’air si chouette, imagine qu’on y reste tout l’été. (Non, je déconne. Mais imagine quand même…).

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