Ça y est, Iron Fist, Luke Cage, Jessica Jones et Daredevil sont enfin réunis dans The Defenders, la nouvelle série Marvel de Netflix.
Ils se la jouent en équipe et non plus en solo, et ça va donner du fil à retordre à ces super-héros qui sont plutôt du type à tout encaisser tout seuls pour ne pas mettre en danger leur entourage.
The Defenders, des super-héros qui apprennent le travail en équipe
Les loups solitaires vont devoir s’habituer au travail en équipe et ça ne va pas être intuitif du tout.
J’ai rencontré Krysten Ritter et Mike Colter, respectivement Jessica Jones et Luke Cage, qui nous expliquent comment leurs personnages évoluent différemment.
The Defenders va avoir un impact direct sur chaque série Marvel. En effet, la première saison de The Defenders ne se déroule que sur quelques jours.
Après ça, c’est retour à la vie normale pour Luke Cage et Jessica Jones — à Harlem pour l’un et toujours Hell’s Kitchen pour l’autre — et leurs galères personnelles mais similaires tous les deux : apprendre à être un héros au grand jour.
Une nouvelle dynamique qui change dans The Defenders
Si Jessica et Luke sont les deux seuls Defenders à partager un passé commun, ça fait plaisir de voir ces quatre super-héros interagir tous ensemble.
Jessica et Matt (Daredevil) vont développer une relation un peu spéciale. Ce n’est pas tant qu’ils s’identifient l’un à l’autre, mais plutôt qu’ils se comprennent tacitement et ça promet une belle amitié (ou du moins, une relation privilégiée).
Iron Fist est probablement le plus foufou de la bande car plus jeune et idéaliste, mais ça ne l’empêche pas d’être un moteur pour les autres. Sa motivation pousse ses collègues à garder la foi et à croire qu’ils peuvent battre la Main.
Puis au niveau de l’action, voir l’Iron Fist avec Luke Cage bastonner des gens, c’est plutôt stylé.
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— The Defenders (@TheDefenders) August 4, 2017
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Une atmosphère plus pop dans The Defenders
Y a quelque chose qui m’a un peu surprise dans les premiers épisodes de The Defenders que j’ai pu voir : c’était les effets de transition avant que l’histoire ne se focalise sur un personnage en particulier.
Une sorte de flash accéléré relie une scène à une autre, et je trouvais ça d’abord un chouïa ringard. Puis ça a fini par m’amuser et j’anticipais le petit bruit de froissement qui accompagnait le changement.
Bref, tout ça pour dire que j’ai l’impression qu’autant les autres séries étaient hyper dark et sérieuses et là, la production a voulu apporter une touche d’humour. Et ça marche plutôt bien car les héros sont franchement les types les plus obstinés du monde et ils vont se chamailler comme des gosses.
Peut-être se sont-ils inspirés de Suicide Squad ?
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— Jarett Wieselman (@JarettSays) July 25, 2017
Un pour tous, tous pour un
Ce qui fait l’unité des Defenders c’est la volonté de détruire leur ennemi commun : la Main — même si tous les héros n’avaient pas mis de nom sur l’organisation qui les embrouille tous depuis le début.
Que peut-il arriver dans cette saison ? Qu’ils démantèlent la Main ? Ou alors qu’on se rende compte que ce n’était que la surface visible de l’iceberg et qu’une autre organisation bien plus complexe, secrète et puissante agisse dans l’ombre de l’ombre ?
En tout cas, il faudra bien que ces personnages retournent à leurs vies « normales » (et aux saisons 2 de Luke Cage, Jessica Jones, et Iron Fist) à l’issue de cette première saison de The Defenders pour que les quatre héros embrassent leur rôle respectif dans leur quartier de New York.
J’attends de voir en tout cas !
Les huit épisodes de The Defenders se bingent dès ce vendredi 18 août… only on Netflix.
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