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His house // Source : Netflix
Cinéma

Les 15 meilleurs films d’horreur sur Netflix à voir absolument

Vous êtes du genre à chercher les frissons sans finir traumatisée ? Vous êtes adepte de films d’horreur au scénario qui retourne le cerveau ? Ou plutôt fan de bons vieux film gore ? Ne cherchez plus, vous êtes sur la sélection ultime des meilleurs films d’horreur sur Netflix.

Le coeur d’un fan de films d’horreur est rempli par ses classiques. L’exorciste, Shining, Carrie au bal du diablenous autres amoureux du genre n’avons pas à rougir de nos incontournables.

Mais être passionnée de film d’horreur, c’est aussi être curieuse de tout ce qui sort, et être toujours à la recherche du James Wan, du Jordan Peele, du Ari Aster qui viendront se frayer une place dans nos cœurs (et nos cauchemars). Parfois, la tâche n’est pas facile : ayant détecté le filon avec le public fan d’horreur, l’industrie nous bombarbe régulièrement de films nuls qui ne font pas peur. Et, entre nous, on mérite mieux.

Que vous soyez adepte de slasher, de Giallo, de film de zombies, de rape and revenge, de torture porn, de body horror : voilà les meilleurs films d’épouvante disponibles sur Netflix.

La nuée, plongée dans la folie

Virginie (l’incroyable Suliane Brahim) est une agricultrice fauchée. Après avoir essayé d’élever des chèvres avec son mari, elle est désormais reconvertie dans un secteur novateur : l’élevage de sauterelles, un insecte très riche en protéines qui constitue l’alimentation de demain.

Mais ça, tout le monde n’est pas prêt à l’entendre ni à le comprendre. Ainsi, Virginie peine à vendre sa farine de sauterelles, d’autant plus que ces dernières se reproduisent de moins en moins. Un jour, Virginie découvre que ses sauterelles aiment le sang, que l’hémoglobine les rend plus grande, plus vigoureuses, et plus aptes, surtout, à se reproduire. Elle se met alors en tête de leur servir des proies pour faire grossir son élevage. Bientôt, les tentes à insectes se multiplient sur le domaine. Alors que l’agricultrice éprouve une relation de plus en plus trouble à ses créatures, elle se coupe de sa famille et la met malgré elle en danger. En même temps, il n’est pas très safe de garder dans son jardin des sauterelles cannibales

La Nuée
La Nuée

Conjuring 2 de James Wan, un vieux démon dans un corps de petite fille

Les époux Warren se rendent dans la banlieue de Londres à la demande d’un prêtre afin de s’occuper du cas de Janet, une petite fille de 11 ans possédée par un démon. Peggy, la mère de Janet, ainsi que les soeurs de la fillette, sont terrifiées. Ed et Lorraine se rendent rapidement compte que l’affaire est sérieuse, et surtout, qu’ils ne sont pas là par hasard. L’entité qui a pris possession de Janet les connaît, et les hait assez pour vouloir les éliminer…

Si le premier Conjuring est une petite pépite horrifique, Conjuring 2 est quant à lui, une masterclass du genre.

Avec ce deuxième volet, on monte d’un cran dans l’intelligence de la mise en scène. Conjuring 2 est très loin du film de franchise polissé et produit à la chaine. Si l’horreur y est aussi pernicieuse, c’est que James Wan nous donne froid dans le dos avec des mouvements de caméra soigneusement pensés, une ambiance visuelle et sonore glaçants.

À lire aussi : Films d’horreur : on a classé les scènes les plus terrifiantes de l’histoire du cinéma

The Perfection de Richard Shepard, le plus extrême

On y suit Charlotte Willmore, une violoncelliste prodige qui a dû quitter sa prestigieuse académie de musique pour s’occuper de sa mère malade. Un an après la mort de celle-ci, elle rejoint Anton, le directeur de son école à Shangai. Elle y rencontre Lizzie, une jeune musicienne également sourdouée et protégée d’Anton. Après une sortie en boîte de nuit, elle entame une relation amoureuse intense avec celle-ci.

Après leur nuit ensemble, Lizzie se réveille avec une gueule de bois et Charlotte lui offre de l’ibuprofène. Elles partent ensuite en voyage dans la Chine rurale et l’état physique de Lizzie commence à se déliter…C’est le début du cauchemar.

Des plot-twist que personne n’a vu venir toutes les vingt minutes, un enfer psychologique et surtout, l’horreur du patriarcat mise en lumière dans tout ce qu’elle a de plus atroce. The Perfection est l’un des films les plus audacieux et inclassables sur Netflix et on parie qu’il vous restera en tête longtemps.

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Get Out de Jordan Peele, le meilleur film d’horreur sur Netflix

Tout simplement, le meilleur film sur Netflix. Et ça tombe bien, c’est aussi l’un des meilleurs films d’horreur de ces dernières années.

Aux petites chanceuses qui n’ont pas encore vu Get Out et qui ont encore tout à découvrir du film, laissez-nous vous mettre dans l’ambiance. À mi-chemin entre thriller psychologique, comédie et film d’horreur, le film suit Chris, un jeune homme noir qui rend visite à la famille de Rose, petite amie blanche dans leur maison isolée. D’abord frappé par une atmosphère tendu, Chris va être confronté à une série d’incidents de plus en plus inquiétants, qui lui feront découvrir l’inimaginable.

De la micro-agression, du fétichisme à l’insulte, Get Out nous fait éprouver la violence pernicieuse du racisme systémique, sans rien perdre de son goût pour le suspens, l’horreur et l’humour.

De loin l’un des meilleurs films de la décennie.

His House de Remi Weekes, le plus cauchemardesque

Un jeune couple de réfugiés sud-soudanais fuyant la guerre civile s’installe dans une ville anglaise, où ils s’apprêtent à vivre un nouveau cauchemar, mais cette fois surnaturel

His House est un film discret qui fait pourtant l’effet d’une bombe horrifique, émotionnelle et politique. Côté épouvante, le film est efficace de bout en bout tant il maîtrise le hors-champ, l’obscurité, mais aussi l’idée que les murs d’une maison peuvent abriter bien des cauchemars, à l’instar des traumatismes qui s’emmurent dans des recoins de la conscience et du corps.

His house // Source : Netflix
His house // Source : Netflix

Le film regorge de propositions visuelles et scénaristiques marquantes, dont certaines absorbent notre regard par leur beauté (la cuisine qui s’éloigne) et d’autres nous font le détourner tant elles sont insoutenables (la terreur s’infiltrant sous la peau…) Jamais vaine, l’horreur se fait le symptôme du traumatisme. Mais le registre intime n’est pas synonyme d’individualisme.

Au contraire : le mal est politique. Le couple devient une sorte de plaie béante qui ne peut pas cicatriser. En cela, il incarne une histoire postcoloniale qui continue de travailler le réel et créer du monstrueux (la banlieue londonienne n’a jamais été aussi hostile). Mais ce que le film montre, c’est qu’une fois l’existence du monstre nommée, confrontée et admise, il redevient possible de l’éradiquer et de faire communauté.

his house // Source : netflix
his house // Source : netflix

Les Autres d’Alejandro Amenábar, le meilleur plot-twist

Certains films n’ont pas besoin de démultiplier les jumpscare, les images traumatisantes. Parfois, quelques gouttes d’horreur suffisent pour vous marquer longtemps. La preuve avec ce thriller horrifique de 2001, rendu culte par la performance de Nicole Kidman, son atmosphère fantomatique et son scénario qui fait décrocher des machoires.

En 1945, dans une immense demeure victorienne isolée sur l’île de Jersey au large de la Normandie, vit Grace, une jeune femme pieuse, et ses deux enfants, Anne et Nicholas.

Les journées sont longues pour cette mère de famille qui passe tout son temps à éduquer ses enfants en leur inculquant ses principes religieux. Atteints d’un mal étrange, Anne et Nicholas ne doivent en aucun cas être exposés à la lumière du jour. Ils vivent donc reclus dans ce manoir obscur, tous rideaux tirés. Un jour d’épais brouillard, trois personnes frappent à la porte du manoir isolé, en quête d’un travail. Grace, qui a justement besoin d’aide pour l’entretien du parc ainsi que d’une nouvelle nounou pour ses enfants, les engage. Dès lors, des événements étranges surviennent dans la demeure…

Sabrina de Rocky Soraya, le plus démoniaque

On sait que vous auriez préféré ne jamais le croiser, mais son « visage » vous a fait cliquer sur cette sélection infernale.

Dans ce cauchemar indonésien, une poupée diabolique se met à terroriser un fabricant de jouets et sa femme quand leur nièce tente d’invoquer sa mère défunte dans un rituel à glacer le sang. 

Si son scénario ne permet pas au d’imposer sa propre mythologie face à ces concurrents américains, les mastodontes Annabelle ou Conjuring, cette poupée à la tête aux yeux beaucoup trop gros vous obligera quand même à vérifier toutes les cinq minutes du film que personne n’approche derrière votre épaule.

Sabrina (The Doll 3) // Source : Netflix
Sabrina // Source : Netflix

Sans un bruit de, John Krasinski, le plus conceptuel

Sans un Bruit, c’est une expérience sensorielle de haute voltige, qui tient son concept de A à Z sans jamais fléchir.

Ce concept, il tient en une phrase : s’ils vous entendent, vous êtes morts.

sans un bruit // Source : paramount
sans un bruit

C’est dans ce contexte qu’on se retrouve plongé dans le quotidien d’une famille contrainte de survivre dans une forêt. Elle tente d’échapper à la menace de créatures terrifiantes et ultra rapides qui attaquent au moindre bruit

Avec un budget équivalent à 2,50 €, un talent d’acteurs rare, un scénario qui n’a pas peur de virer au trash, l’ingéniosité de sa mise en scène et une gestion du silence qui ne cessera de vous faire suer, ce petit film est sans aucun doute l’une des pépites horrifiques de la plateforme. Frissons garantis.

En bonus, on a un fun fact improbable sur Sans un Bruit : le film est réalisé par John Krasinski. Si ce nom ne vous dit rien : est-ce que Jim, le meilleur personnage de The Office vous parle plus ?

Annihilation d’Alex Garland, le plus poétique et psychologique

Lors de sa sortie en salles le 23 février 2018 aux Etats-Unis, Annihilation a fait sensation.

The Guardian en a parlé comme « l’un des meilleurs films de l’année » — ce qui ne l’a pas empêché d’être privé d’une distribution en salles en France. Ainsi, c’est directement sur Netflix qu’a atterri cet OVNI signé Alex Garland, le réalisateur d’Ex machina, qui promettait déjà au réalisateur une carrière soignée et pointue.

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Natalie Portman y campe Lena, une biologiste et ancienne militaire dont le mari a disparu depuis un an, et que personne ne réussit à localiser. Lorsqu’il finit par rentrer, il se met à souffrir d’un mal étrange, qui lui fait cracher tout son sang.

Pour lever le voile sur ce qui est arrivé à son époux, Lena participe à une mission top secrète, dans une zone où un mystérieux et sinistre phénomène se propage le long des côtes américaines.

La zone d’où son mari revient.

Une fois sur place, toutes les femmes de l’expédition souffrent d’une sévère désorientation. Elles découvrent vite que les créatures qui hantent les lieux ont subi d’importantes mutations.

En dépit de la beauté des paysages, le danger règne. Elles le savent. Il peut venir de partout mais aussi d’elles-mêmes…

Sans doute l’un des meilleurs films de genre de ces dernières années.

Le Rituel de David Bruckner, le plus folklorique

Luke et ses amis partent en périple dans les montagnes désertes d’Europe du nord pour rendre hommage à leur ami décédé quelques mois plus tôt, à l’issue d’une agression sauvage. Dans cette nature désolée et mystérieuse, le groupe va vite se rendre compte qu’une présence maléfique veut leur peau…

Netflix nous plonge dans une forêt scandinave, à mi-chemin entre le Projet Blair Witch et The Witch, et c’est efficace.

Le Rituel est un joli produit, à l’identité mi-mainstream, mi-arty dont l’intrigue est vue et revue, mais son traitement subtil, délicat et malin !

Vous trouvez le synopsis bateau ? On ne peut que vous donner raison. Oui mais voilà, c’est parfois dans les intrigues les plus bateaux que résident la surprise, car le diable se cache dans les détails.

Le Bon apôtre de Gareth Evans, le plus sectaire

Horreur + Dan Stevens (alias David dans Legion) + une île = perfection. Ou presque !

Le Bon apôtre, signé Gareth Evans, réalisateur du culte The Raid, démarre son film lentement avant de déchainer toutes ses violences.

Il crée ainsi la surprise en livrant un film gore, archi-brutal, à des kilomètres des films d’horreur souvent plus suggestifs qu’ouvertement violents, abrités par Netflix.

Le Bon apôtre raconte l’histoire d’un homme au passé trouble qui doit se rendre incognito sur une île pour sauver sa sœur des griffes d’une secte aux pratiques macabres. Là-bas, tous vénèrent une sorte de grande prêtresse de la nature, qui vit cachée dans une sombre et grande maison.

Tous pensent que c’est elle qui permet aux récoltes d’être fructueuses.

Une fois sur place, notre héros n’a qu’une chose en tête : retrouver sa sœur et la sortir de cet enfer coûte que coûte. Ce qu’il ne peut pas faire sans y laisser quelques plumes.

Les Affamés de Robin Aubert, traque de morts-vivants

Les Affamés est un film de zombies canadien bourré d’humour et de références, qui s’adresse à un public amoureux de série B.

Si vous aimez l’hémoglobine, les morts-vivants, et surtout l’accent québécois, on vous conseille grandement Les Affamés, un film qui est passé totalement inaperçu en France et a pourtant séduit les plus grands festivals de cinéma internationaux comme la Berlinale ou encore le TIFF.

Réalisé par Robin Aubert, ce film à petit budget se concentre sur la vie de quelques habitants d’un village, qui vont faire front contre des zombies très opiniâtres.

Les Affamés oscille constamment entre drame et comédie, ne choisissant jamais son camp, un peu dans la lignée de la Blood and Ice cream Trilogy d’Edgar Wright.

Un lettre d’amour aux films de série B, bien trop singulière pour demeurer méconnue.

Creep 1 et 2 de Patrick Brice, le plus tordu

Creep, qui n’a l’air de rien si l’on s’en tient à sa simple bande-annonce, est pourtant un excellent diptyque.

Un found footage qui a couté trois fois rien mais séduit dès ses premières minutes par sa loufoque singularité.

La preuve qu’on peut faire du très bon avec très peu.

Le concept est tout simple : un caméraman accepte de se rendre dans un coin paumé pour filmer les derniers jours d’un type qui est condamné à mourir d’une maladie incurable.

Ledit type se comporte bien sûr de manière EXTRÊMEMENT étrange, et ce dès le début. Ce qui ne décide pas notre jeune caméraman à se carapater…

La Plateforme de Galder Gaztelu-Urrutia, le plus anti-capitaliste

Réalisée par Galder Gaztelu-Urrutia, cette dystopie espagnole présentée au festival de Toronto 2020 est un huis-clos.

La presque totalité des scènes se déroule dans « une fosse » composée de plusieurs dizaines d’étages, sorte de tour/prison avec un trou en son centre, par lequel passe chaque jour une dalle pleine de nourriture, qui part de l’étage le plus haut et descend jusqu’au plus bas.

Il n’existe qu’une dalle, et celle-ci n’est approvisionnée qu’en haut de la tour.

Ce qui signifie que les habitants des étages du haut auront à manger à leur guise, et que les derniers n’auront… rien. Rien du tout.

Les étages intermédiaires, quant à eux, devront se nourrir des restes des étages supérieurs. C’est donc la règle du « premier servi » qui s’applique ici. 

Un jour, un jeune homme nommé Goreng se réveille au 48ème étage de cette tour.

Son voisin lui apprend que chaque mois, ils se feront transférer d’étage. Il sera donc possible que la prochaine fois, ils se retrouvent tout en bas, et ne puissent pas se nourrir…

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La Plateforme est un film hardcore. Dedans, ça saigne, ça se charcute, ça se chie dessus, et ça mange avec sauvagerie.

Car dans ce système mis en place par « L’Administration » les habitudes des humains sont mises à rude épreuve.

Impossible en effet, dans la fosse, de ne pas voir son comportement être altéré par le manque de nourriture, puis son trop-plein, puis son absence totale.

Les « prisonniers », qui pourraient décider de se serrer les coudes et de se rationner pour permettre aux étages inférieurs de survivre, ont davantage tendance à l’égoïsme et se comportent comme des animaux quand arrive l’heure de la pitance.

Cette expérience, censée démontrée que la seule clé à la survie est l’entraide, est mise à mal par les plus bas instincts des hommes.

Et c’est effroyablement efficace !


Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.

Les Commentaires

4
Avatar de KtyKoneko
18 avril 2024 à 16h04
KtyKoneko
MERCI DE RESPECTER LES LECTRICES LES PLUS SENSIBLES
& DE NE PAS METTRE EN IMAGE DE TITRE D'ARTICLE DES IMAGES AUSSI CHOCANTES
2
Voir les 4 commentaires

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