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Amours

Vous hésitez à faire le premier pas avec votre crush ? Elles ont osé, elles racontent

Vous l’aimez, l’adorez, mais n’osez rien faire de plus que de répondre des émojis à ses stories ? Histoire de vous inspirer à faire le premier pas avec votre crush, 11 lectrices racontent comment elles ont pris les devants, pour le meilleur et pour le pire.

Un ajout sur Instagram

Parce qu’un premier pas virtuel peut être aussi terrifiant qu’un premier pas IRL, il a fallu un peu de temps à Malysse, 27 ans, pour oser prendre contact avec son crush. Et plus précisément, une story de… sa sœur !

« Il y a deux ans, une copine me parle du frère d’une amie à elle. Elle m’a montré une photo de lui et… le crush fut total.

Elle me parle de ses passions qui sont communes aux miennes, et j’ai hâte de le rencontrer ! Nous prévoyons alors de boire un verre avec son amie et le frère de celle ci, mais le plan tombe à l’eau et je ne le rencontre pas. Trois mois passent et par hasard, je vois passer une story Instagram de sa sœur sur Instagram où elle met plein de photos de lui et termine par Célibataire les filles, go go go !”

Je ne réfléchis pas plus : je l’ajoute sur Instagram et sur Facebook directement. Au final, c’est lui qui viendra me parler ! Nous nous rencontrons plusieurs fois pour discuter et par la suite, nous admettons tous les deux que nous avons envie de plus que ça.

Le premier confinement tombe. Cela ne nous empêchera pas de nous parler tous les jours et de nous revoir dès le premier jour de déconfinement ! Aujourd’hui cela fait 18 mois que nous sommes ensemble, nous avons adopté un chien et nous allons nous pacser dans les semaines qui viennent.

Tout ceci grâce à la story de sa soeur ! »

Les réseaux sociaux ne fonctionnent pas toujours

Lu a 20 ans, mais son histoire de premier pas remonte au lycée, il y a quelques années. Un peu trop flippée à l’idée d’aller parler à celle qui lui plaisait tant, elle passe elle aussi par les réseaux sociaux… Sauf que l’effet n’est pas celui escompté :

« C’était une pote de pote de pote avec qui je n’avais aucun contact. On avait juste un cours en commun pendant lequel je la voyais.

C’était nouveau pour moi, parce que c’est la première fois que j’avais un crush sur une fille et je ne savais pas trop trop comment m’y prendre, sachant que je flippais d’aller lui parler ! La seule option qui m’a paru atteignable, ça a été de la suivre sur tous les réseaux sociaux que j’ai trouvés — ce qui peut être un peu creepy, je l’entends.

Elle avait un compte curious cat où les gens posent des questions anonymes, ce que j’ai fait en disant “Je n’ose pas venir te parler”. Elle a répondu quelque chose comme “Je suis sûre que je sais qui tu es, viens me parler”. LA PANIQUE ! On a échangé sur Twitter et je lui ai dit que je ne savais pas vraiment comment m’y prendre, mais sa réponse a été très froide : “C’est un peu flippant, ça me gêne. De toute façon, j’ai pas envie qu’on fasse connaissance, j’ai assez d’amis comme ça”. Comment vous dire mon état après…

Ça m’a un peu refroidie la concernant et on ne s’est plus jamais adressé la parole. Si c’était à refaire, je recommencerais vraiment pas, y a sûrement mieux et subtil comme méthode… »

« Je me suis sentie fébrile, vulnérable, bouillonnante, et tellement soulagée d’avoir posé cette question »

« Est-ce que je te plais ?»

Parfois, le crush est un collègue de travail devenu confident, ce qui peut rendre le moment de la déclaration risqué. Mais Soleil , 25 ans, a choisi d’être directe :

« Pendant une soirée tous les deux, après une sale journée où il avait été mon rayon de soleil, j’ai senti au fond de moi que je devais saisir l’occasion. Après un instant de silence je lui ai demandé, le cœur battant, “Est-ce que je te plais ?”, il a pouffé de rire et m’a dit “Bah oui, évidemment”.

J’ai attendu quelques secondes, puis je l’ai embrassé. Nous avons eu une relation de sex friends, basée sur la confiance et beaucoup de bienveillance. Depuis, j’ai déménagé dans une autre ville ; lorsque je suis de passage nous nous voyons pour un très bon moment d’échange amical, parfois plus selon l’envie.

Si je n’avais pas sauté le pas, je n’aurais jamais ressenti cette adrénaline suivie de cette satisfaction ! Je me suis sentie fébrile, vulnérable, bouillonnante, mais tellement soulagée d’avoir posé cette question qui, je trouve, instaure en plus une vraie notion de consentement. »

L’embrasser, tout simplement

Malysse a 27 ans, et son crush de l’époque n’était nul autre que son meilleur ami depuis presque dix ans. Si celui-ci lui avait déjà déclaré ses sentiments pour elle, elle n’était pas encore sûre de leur réciprocité… Jusqu’à un soir comme un autre :

« On était chez moi, et j’étais sous le coup d’un ou deux verres donc à peine pompettes. Et puis on était physiquement proches, assis sur mon canapé. Il me parlait et moi je ne l’écoutais plus du tout : je ne pensais qu’à l’embrasser. C’est ce que j’ai fini par faire tout d’un coup !

Ce n’étais pas du tout prémédité, même si j’avais beaucoup pensé les quelques jours précédents à ce que devenait notre relation. Mais j’ai décidé à ce moment-là que l’embrasser ne gâcherait pas ce que nous avions déjà et que, finalement, je ne cherchais rien de mieux que mon meilleur ami au monde.

Lui il a été surpris de prime abord mais il m’a rendu mon baiser sans hésiter et il n’est plus jamais rentré chez lui. Depuis (ça fait donc plus de 6 ans) on est pacsés, fiancés et on a deux filles de 3 et 1 ans. C’est le bonheur d’être en couple avec son meilleur ami… enfin pour nous ! »

Quelques mots pour s’assurer du consentement de l’autre

Oui, parfois un peu de courage liquide aide à se lancer, et oui, parfois on brûle les étapes… Mais n’oublions pas la modération avec l’alcool, et n’allez pas mordiller une personne sans son consentement ! Il n’y a rien de plus désirable qu’un « Je peux t’embrasser ? » pour quelqu’un qui en a envie — et cela permet aussi à l’autre de refuser gentiment s’il ou elle ne le sent pas.

Un numéro sur un ticket de caisse…

Il n’y a pas que ses collègues qu’on peut avoir envie de pécho au détour de leur lieu de travail. Toussietta, 29 ans, a vu son cœur chavirer au moment de ses courses, en passant à la caisse après une séance de cardio-boxe :

« On ne se connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Je fais mes courses juste après une séance de sport — autant dire que pour la première rencontre, j’étais fraîche. Les deux semaines suivantes, on s’est vues à chacun de mes passages à sa caisse. On en profitait pour échanger des regards intenses et discuter un peu, et j’ai été séduite.

J’y retourne avec l’envie de la voir, et je prends un paquet de biscuits fourrés au chocolat. Parfait pour se donner du courage, se récompenser de la performance et se consoler si jamais… Pour la première fois, je la regarde dans les yeux, sans détourner mon regard du sien. Elle est d’autant plus troublée. Ça dure plusieurs secondes, c’est doux et intense. Je me sens alignée. Au moment de partir, je vois un stylo sur la caisse : la vie me tend la main ! Je lui demande si je peux lui laisser mon numéro. J’écris derrière mon ticket de caisse en m’efforçant de ne pas trembler.

Elle était séchée. Elle a acquiescé mais avec énormément d’interrogation et d’étonnement. Et pour cause : elle a une compagne… On en discute de vive voix. Elle est troublée mais elle reste fidèle à sa compagne. C’est tout à son honneur. Elle adore me voir à sa caisse mais elle refuse de me voir en dehors de son travail.

Je ne regrette rien. Ce sont l’intensité de ces rencontres qui rendent le moment magique et la vie belle. Si c’était à refaire, banco, je referai ! Je me sens vivante quand je suis actrice de ma vie. »

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Leonardo Sanches / Unsplash

Ou sur une place de cinéma

Claire aussi a choisi de noter son numéro de téléphone sur un ticket, ou plutôt une place de cinéma. Âgée de 36 ans aujoud’hui, la scène se passe quand elle en avait 25 :

« C’est un employé du cinéma où j’allais souvent . Je le trouvais tellement charmant, un regard pétillant et un sourire discret. Moi, je suis quelqu’un d’extrêmement timide, et j’ai beaucoup de mal à parler aux gens.

Après des mois à échanger des regards sans jamais s’adresser la parole, un jour en allant rentrer dans le cinéma, j’ai vu que c’était lui qui découpait les tickets. Sur un coup de tête, j’ai écrit mon numéro de téléphone dessus et lui ai tendu en lui bafouillant un “Il y a mon numéro de téléphone dessus, si jamais… Rouge de honte et de confusion.

Il m’a appelée le lendemain pour prendre un verre. On a parlé très timidement au début, n’osant pas trop se regarder. Il m’a dit qu’il avait adoré, ma façon de l’aborder, que je lui plaisais beaucoup depuis longtemps, mais que jamais il n’aurait osé m’aborder car il complexait à cause de sa petite taille — il faisait 10 centimètres de moins que moi , je n’avais jamais remarqué. Le sexe était dingue .

J’ai appris au bout d’une semaine, par contre, qu’il était déjà en couple avec quelqu’un depuis des années…

Mais je ne regrette en rien d’avoir fait le premier pas, 11 ans après je me rappelle encore de cette sensation d’avoir osé ! Et cela me sert encore aujourd’hui ! »

Le premier râteau d’une vie

Le saviez-vous ? Dans certains cas, les premiers pas ne portent pas leur fruits immédiatement. Ce fut le cas pour Alice, 27 ans, dont le premier pas a débouché sur un râteau sur le coup… mais une relation 4 ans plus tard !

« Coup de cœur à un anniversaire, notre première interaction a été autour d’une part de pissaladière : il l’a entamée, n’a pas aimé, je l’ai finie. Puis on s’est présentés ! J’ai fait plusieurs premiers pas ensuite : l’ajout sur Facebook, le premier message.

Cet été-là on n’a pas arrêté de parler (astuce : faire semblant de s’être endormie en pleine conversation pour la reprendre l’air de rien le lendemain) et on s’est revus deux fois sans qu’il ne se passe rien. Puis vient septembre, chacun rentre dans sa ville. On continue à se parler tous les jours, on s’envoie des des snaps pour lesquels je me remaquille le soir à 23 heures (eh, on a toutes et tous des moments dont on est pas fiers…).

Un soir, on se défie avec ma coloc : si j’envoie un message à mon crush, alors elle se lance avec sa crush.

 J’envoie donc mon message : “Est-ce qu’on sera plus qu’amis un jour ?”. Et me prends mon premier et seul râteau de ma vie — puisque c’est la seule fois où j’ai osé me mettre en position d’en prendre un. Il était perdu, ne voulait pas se mentir ni à lui ni à moi. Je pleure beaucoup.

Ma coloc ne tient pas sa part du deal, alors je boude beaucoup (fun fact : finalement elles se sont mises ensemble quelques mois plus tard, et ça dure encore!).

On s’est revus une quatrième fois avec ce garçon : j’avais décidé que s’il ne se passait rien, alors je passerais définitivement à autre chose. Il ne s’est rien passé, je ne suis pas passée à autre chose. On a continué à s’envoyer des snaps et des stickers avec des cœurs. Et puis, 4 ans plus tard il me dit qu’il aurait besoin de trouver un coin où dormir dans ma ville parce qu’il a une correspondance absurde avec la SNCF.

Je lui propose chez moi et… on s’est finalement embrassés.

 Aujourd’hui je souris de ces quatre années à lui “courir après” et je garde un souvenir doux-amer de ce premier pas. Qui sait, peut-être que sans ce message on aurait fini par s’éloigner et ne jamais se revoir ?

Aujourd’hui on a emménagé ensemble, il me soutient dans ma reconversion pro qui me terrifie un peu, et il a adopté mon chat malgré ses vomis fréquents. »

« Je garde ce mantra pour toutes les choses de la vie : plus c’est gros, plus ça passe ! »

Se dévoiler, et se remballer

Mily a 27 ans, et son premier pas le plus marquant est certainement son premier : celui qu’elle a accompli à 17 ans, avec un camarade de classe. Mais son honnêteté a un peu fait paniquer son crush de l’époque :

« Nous étions camarades de classe, dans une même bande de potes élargie, on se connaissait depuis un peu plus d’un an. Notre lycée avait organisé un bal de Noël pour lequel nous prenions des cours de danse (oui c’est tout un délire je sais) et la prof de danse l’avait désigné comme mon cavalier pour les entrainements.

Quand il a réalisé que je n’avais de cavalier officiel pour la soirée, il a proposé de m’y accompagner, ce qui m’avait conforté à l’époque dans mon impression que mon coup de cœur pouvait être mutuel.

Mais à partir de là, plus d’autre signe de sa part. J’ai commencé à me dire que c’était surement sa timidité qui l’empêchait de m’inviter à aller boire un Coca Zéro, et que si je ne bougeais pas, on pourrait attendre jusqu’à l’invasion de la Terre par les aliens.
Quelques semaines plus tard, lors d’une soirée, j’ai vu passer ma chance. Il était seul dans la cuisine et j’ai décidé de me lancer. Je lui ai expliqué que bon voilà, il l’avait surement remarqué mais que j’avais un gros crush sur lui.

Avant même la fin de ma phrase, mais j’ai pu lire la panique dans ses yeux. Un lapin pris dans des phares ! Mon cerveau a fait une vrille, et j’ai transformé ma déclaration en un plan en trois parties expliquant pourquoi on ne pourrait jamais être ensemble : 1. Tu me plais 2. Mais on est trop différents, donc 3. Il vaut mieux qu’on reste amis. 

Ça devait être ridicule, et je souris encore en y repensant, mais ça a eu l’effet escompté : il s’est détendu et n’a rien ajouté. Notre relation n’a pas changé, et il n’a pas raconté cette scène à ses amis pour se foutre de moi.

Dix ans après, je n’ai plus de contact avec lui mais je repense de temps en temps à cette dissertation… je me dis que certes, j’ai bien fait de lui dire ce que je ressentais, mais j’ai aussi bien fait de ne pas le laisser dans sa panique ! »

Lui offrir un biscuit

Marine a 31 ans, et elle a toujours aimé faire le premier pas. Elle fait avec ses crushs depuis l’école primaire ! Pour cela, elle se fait comprendre par des attentions ciblées qui veulent tout dire, et souvent passent par… la bouffe.

« Un de mes techniques classiques passe par la nourriture (car c’est la vie).

C’était il y a une an, j’avais rencontré un charmant jeune homme via une application de rencontres. Après des jours de discussions par message, on se rencontre une première fois et l’attirance est confirmée (sans qu’il ne se passe rien de concret). La deuxième fois, on se fait une petite randonnée ; pour lui faire comprendre mon envie de rapprochement j’avais emporté dans mon sac à dos des biscuits petits cœurs de Lu.

Au moment de la pause gouter, je les lui tends en disant « Je t’offre mon cœur », assorti d’un petit sourire — timidement charmeur of course ! Il a été surpris et un peu désarçonné car un peu timide lui aussi, mais au final, on est rentré main dans la main et nous avons ensuite vécu une jolie petite histoire de quatre mois.

Je garde un beau souvenir de ces débuts mignons et timides (et puis c’est bon, les petits cœurs de Lu). »

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Diane Helentjarish / Unsplash

« J’ai rêvé de toi cette nuit »

Mia a 28 ans, et se décrit comme n’ayant pas froid aux yeux pour tout ce qui concerne les approches amoureuses. Pour elle, la meilleure approche est un petit message plutôt explicite :

« C’était un collègue avec qui je passais beaucoup de temps et pour lequel j’avais développé quelques sentiments. On se voyait de temps en temps après le travail, parfois avec d’autres collègues, parfois seuls. Un jour, j’ai rêvé que nous sortions ensemble ; après cela, il était impossible pour moi de ne le voir que comme un ami.

Je lui ai simplement envoyé un message disant “J’ai rêvé de toi cette nuit, sans avoir dans l’idée de me jeter à l’eau. Le jour suivant où nous avons travaillé ensemble, il n’a pas arrêté d’essayer de deviner la nature de ce rêve alors que je tentais, rougissante, de changer de sujet.

Lorsqu’il a deviné, ça a ouvert la porte sur une discussion où nous avons envisagé la possibilité de sortir ensemble, ce que nous avons fait quelques mois plus tard.

Il y a très longtemps, Sophie Marie Larrouy expliquait dans une émifion utiliser cette technique pour démarrer du dirty talk. Pour moi, ce n’était pas une technique calculée mais finalement, le résultat a permis de faire évoluer notre relation donc je n’hésiterai plus à partager les quelques scénarios qui me font rougir la nuit ! »

S’exprimer avec de la musique

Et quand il est trop compliqué de dire les choses frontalement, à l’écrit ou à l’oral, il reste toujours la musique ! Comme pour Emilie, 24 ans, qui raconte :

« Un soir, pendant une soirée appartement, on se met à danser (on avait l’habitude de danser à deux, et sans vouloir nous jeter des fleurs, on s’en sortait aussi bien que le duo de Dirty Dancing). Et là, après quelques verres (l’alcool est dangereux pour la santé, mais quand on connaît ses limites, et quand il s’agit de franchir certaines craintes, ça devient intéressant je trouve), je décide de changer de musique, et de mettre la chanson Kiss de Prince. C’était une démarche on ne peut plus spontanée.

Il y avait plusieurs possibilités de réactions : Première solution : il n’aime pas, il danse pas, il ignore le message. Deuxième solution : il aime la musique, on s’amuse de manière très platonique car il n’a pas compris le (gros) message. Troisième solution : il aime la musique, il comprend le message, on danse, et on se rapproche.

Il a évidemment compris ce que le titre de la chantons voulait dire en français. La musique n’est même pas terminée qu’on arrête de danser, et il m’embrasse.

Aujourd’hui, ça fait sept mois que nous sommes ensemble. On rigole de ce souvenir, et on adore encore plus cette chanson ! Et maintenant je garde ce mantra pour toutes les choses de la vie : plus c’est gros, plus ça passe ! »

On espère vous avoir donné assez d’inspiration pour vous lancer… N’oubliez pas de nous raconter ensuite !

À lire aussi : 10 lectrices partagent LE conseil de psy qui a changé leur vie

Crédit Photo : Karolina Grabowska / Pexels

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