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Le mascara et le crayon de la marque de maquillage clean Urban Decay
Maquillage

La fondatrice d’Urban Decay lance une nouvelle marque de makeup clean

Caliray est une nouvelle marque de makeup clean et elle est signée Wende Zomnir, qui a fondé Urban Decay en 1996. Il n’en fallait pas plus pour titiller notre curiosité.

La Clean Beauty n’en finit plus de faire des petits ! Produits d’hygiène, skincare, maquillage… Les marques poussent comme des champignons, et elles ont toutes le même discours : proposer des alternatives plus naturelles et écoresponsables aux cosmétiques dits « conventionnels ».

Mais parmi tous ces lancements, certains nous intriguent plus que d’autres : c’est le cas de Caliray, la toute nouvelle ligne de maquillage clean imaginée par Wende Zomnir, la tête pensante derrière la marque culte Urban Decay.

Caliray, du maquillage clean inspiré de la Californie

Pour ce nouveau projet d’envergure, Wende Zomnir s’est inspirée du lifestyle californien, qui fait toujours autant rêver malgré la fin de Newport Beach (RIP Marissa). C’est d’ailleurs sur une plage du Golden State qu’elle a rencontré Jenna Dover, son associée. Au magazine InStyle, Wende raconte :

« J’ai fait connaissance avec Jenna à force de jouer au beach-volley toutes les semaines. Elle est très créative et elle avait pris l’habitude de se poser pour brainstormer et réfléchir à des noms de couleurs pour des produits de maquillage. Et puis on s’est mises à penser sérieusement à l’idée de lancer une marque. »

caliray-maquillage-clean
Image @Caliray

Pour le premier lancement de Caliray, la créatrice a décidé de s’attaquer au maquillage du regard, un segment qu’elle connaît très bien, étant à l’origine de deux des plus grands succès d’Urban Decay, le crayon pour les yeux 24/7 ainsi que le mascara Perversion.

Le challenge de créer des produits pour les yeux « propres » était aussi stimulant pour Wende : « Je voulais proposer des cosmétiques à la fois clean et performants, car je ne trouvais rien qui me correspondait sur le marché actuel » a-t-elle confié au magazine Allure.

Niveau formulation, les produits répondent aux propres standards de la marque en matière de clean (pour rappel, le clean n’est pas un label et chaque entreprise a son cahier des charges) : ils ne contiennent ni parabens, ni phthalates, ni huile minérale, ni hydroquinone, ni sulfates.

Il sont aussi cruelty-free (certification Leaping Bunny) et les packagings ont été pensés pour être les plus éco-responsables possible : le tube du mascara est d’ailleurs fabriqué à partir de plastique repêché dans l’océan et les encres utilisées sont d’origine végétale.

Un mascara et des crayons waterproof pour lancer Caliray

Le mascara Come Hell or High Water ($24) est un produit volumateur et longue tenue qui se démaquille à l’eau chaude. Il contient de l’huile d’argan ainsi qu’un complexe de cires naturelles et synthétiques pour nourrir les cils et faciliter l’application de la formule.

Les crayons Surfproof Pencil ($20) sont ultra pigmentés, waterproof, et glissent sur la peau comme Sage Erickson glisse sur la vague. C’est à dire plutôt bien.

Pour l’instant, la marque Caliray n’est disponible qu’aux États-Unis, mais si le succès est au rendez-vous, il y a fort à parier que le soleil californien viendra vite réchauffer nos trousses à maquillage.

À lire aussi : Mariah Carey va sortir une ligne de cosmétiques et c’est all we want for Christmas

Crédits photos image de Une : Caliray


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Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.

Les Commentaires

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Avatar de BravoCharlie
25 octobre 2021 à 11h10
BravoCharlie
@Virginie Lamort de Gail c'est dommage, je croyais que Céline d'Iznogood l'avait fait mais son recensement des labels se concentrent sur la mode (ce qui est déjà un énorme travail).
Mais les Happycuriennes en recensent quelques-uns (les labels vegan, les labels bio) et ici un article de Greenweez.
J'entends qu'obtenir un label n'est pas la panacée dans le sens où certains produits de circuits très courts ou artisanaux n'ont pas la possibilité financière de se payer toute la certification.
En revanche, Urban Decay n'a aucune excuse. Ils ont une assise financière confortable qui leur permettrait, si leur démarche était vraiment honnête, de les obtenir.
Bref des marques qui 1/n'ont qu'une partie de leur gamme qu'ils promeuvent 'clean' 2/ont une capacité d'investissements suffisantes pour payer des vrais labels 3/ ne donnent aucune transparence sur leurs engagements (i.e. le concept "clean" est flou pour une bonne raison), c'est à mon avis un red flag immédiat de greenwashing ou healthywashing d'ailleurs. L'argent mis dans le marketing est pas de l'amélioration réelle de la qualité de ses produits aussi c'est un beau red flag.
Bref, je pense qu'l faut être extrêmement précautionneux à utiliser des termes comme clean qui veulent tout et rien dire et la plupart du temps: rien. C'est même contre-productif à mon sens puisque l'on promeut sans faire l'effort de vérifier l'honnêteté de la démarche derrière donc on se laisse bercer par le marketing que l'on considère suffisant là ou non: il a maintenant été démontré à plusieurs reprises que le marketing est néfaste pour la reconnaissance des efforts fournis par les entreprises vraiment engagées en matière de développement durable (à tous les étages).
C'est d'ailleurs pour cela que j'aime particulièrement le travail d'Iznogood: elle n'a pas accès à plus d'informations que nous, elle se renseigne, elle en a fait son métier et elle décrypte la communication que ces marques font, trop souvent dans le vent d'ailleurs, pour nous donner des preuves par centaine qu'on peut hurler que nos produits sont cleans, ils ne le deviendront pas pour autant miraculeusement.
Je ne m'acharne pas sur toi, Virginie, j'espère que ce n'est pas le ressenti que je te transmets ici, d'ailleurs. Je souligne que la mise en avant des marques, quand on a un profond engagement, ne peut malheureusement pas se faire en les croyant sur parole. Et effectivement, si tu te lances un jour dans la critique de la com° de ces grandes marques qui ne proposent rien d'autre que des chimères qu'ils ne traduisent pas industriellement, je serai ta première lectrice assidue !
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