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9 erreurs de plongée que les héroïnes de 47 meters down auraient dû éviter

Envie de plonger avec des requins blancs, alors que vous n’avez aucune expérience en plongée ? Voici de quoi éviter de finir par 47 mètres de fond.

On est samedi, j’ai pas plongé depuis un an, et je regarde un film sur deux plongeuses débutantes, enfermées dans une cage pour observer les requins. Forcément, ça me démange.

47 meters down est disponible en e-cinema sur les plateformes de vidéo à la demande, donc je me fais un petit plaisir en matant cet espèce de thriller sous-marin tout en m’enfilant des cookies aux noisettes.

À lire aussi : Plongez dans l’enfer de 47 Meters Down avec ce trailer truffé de requins !

Mettons tout de suite les points sur les i : 47 meters down est une œuvre de fiction, pas un documentaire. Je n’en veux donc absolument pas à ses auteurs pour l’absence totale de réalisme, et l’absolue loufoquerie des évènements.

Je saisis juste l’occasion d’évacuer quelques idées reçues à propos de la plongée et des requins, deux sujets qui me tiennent particulièrement à cœur.

ATTENTION JE VAIS TOUT SPOILER PARCE QUE J’AI AUCUN RESPECT POUR LES GENS QUI NE RESPECTENT PAS LE NOBLE ART DE LA PLONGÉE.

47 meters down : le pitch

47 meters down, c’est donc le calvaire de Lisa et Kate, deux soeurs venues passer quelques jours de vacances au Mexique. Kalindi présente le film plus en détail dans les sorties de la semaine.

Tout ce qu’il faut savoir pour comprendre la suite de cet article, c’est que Lisa et Kate n’ont pas d’expérience en plongée.

Elles rencontrent 2 mecs en soirée, qui leur proposent de plonger dans une cage pour observer des requins. Brillante idée ! Si ça t’arrive lors de futures vacances, voici la liste des erreurs qu’il convient d’éviter.

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Plonger quand on a zéro expérience et aucune formation

Lisa et Kate acceptent de plonger alors qu’elles n’ont pas été formées à l’utilisation du matériel, qu’elles ne l’ont jamais testé, qu’elles n’ont aucune expérience (pour Lisa en tout cas, c’est une découverte).

Oopsie.

Un baptême de plongée se fait accompagné d’un ou une monitrice diplômée, entraînée à gérer les situations de panique ou tout type de problème pouvant survenir lors d’une plongée. Même lorsqu’on reste à 5 mètres, oui oui oui.

Au-delà de 3 mètres de profondeur, on peut déjà se faire très mal au tympan, et on peut aussi se blesser aux poumons en bloquant une inspiration à 5 mètres, et en remontant à la surface.

Donc, Pro Tip : ne pas plonger avec n’importe qui, dans n’importe quelles conditions.

Pas besoin de requins géants pour faire de la plongée une activité dangereuse, ne pas savoir ce qu’on fait est amplement suffisant pour mettre sa vie en danger.

Plonger sans palmes

J’aimerais bien qu’on m’explique dans quel univers parallèle on laisse des gens plonger sans palmes. Ce n’est pas possible. Qui a séché les cours de physique sur la poussée d’Archimède ?

Science fiction.

Lorsqu’un corps est complètement immergé dans un fluide, il déplace le volume qu’il occupe. Tu te déplaces dans l’eau non pas parce que tu bats très fort des pieds, mais parce que tu déplaces des volumes d’eau (je simplifie).

Les palmes servent à déplacer un plus grand volume d’eau, qui compense notamment le volume de tout ton équipement de plongée.

C’est très, très difficile de trouver son équilibre sous l’eau quand on a un gilet et une bouteille sur le dos, et pas de palmes aux pieds. Et c’est encore plus difficile de nager dans ces conditions.

Alors pour faire la course avec un requin blanc, on oublie. Michaël Phelps a tenté d’égaler la vitesse de nage d’un requin, avec une mono-palme spécialement pensée pour imiter la queue du squale.

Pieds nus, c’est juste pas possible. Ne faites pas ça chez vous.

Attirer des requins en balançant des litres de sang dans l’eau

C’est vraiment pas la peine de reproduire l’une des sept plaies d’Égypte pour attirer l’attention des requins. Leur odorat leur permet de détecter le sang même dilué au ratio d’une portion dans un million.

Donc il suffit juste de l’appâter avec l’odeur de ses proies, pas la peine de balancer des litres.

Pour le bien de la planète et de ces animaux majestueux qui ne nous ont rien demandé, il convient surtout de ne pas les appâter à tort et à travers.

Faites ça sur des expéditions scientifiques, avec des équipages formés au respect de l’environnement et des requins, pas avec les premiers baratineurs venus, prêts à embobiner deux touristes américaines sexy venues s’éclater au Mexique. (clin d’œil clin d’œil Lisa et Kate).

C’est très désagréable, mets-toi à la place du requin : il n’a rien demandé, on l’appâte, il vient, en fait c’était une feinte, il mord dans un truc pour vérifier, beurk c’est pas ma nourriture habituelle, oh mais pourquoi on me chasse tout à coup, vas-y j’ai rien fait !

Une vie de requin, trollé par les hommes. Puis tué en représailles.

Alors que l’océan est assez grand pour tout le monde. Sans violence.

Se cacher derrière un rocher pour échapper à un requin

Corollaire du point précédent : le requin n’est pas le T-rex de Jurassic Park. C’est pas parce que l’être humain ne voit rien, n’entend rien et ne sent rien sous l’eau que les autres animaux sont aussi limités que lui.

Donc, la plongeuse qui joue à cache-cache derrière un rocher pour feinter le requin, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi :

  • tu fais DES BULLES, qui font UN BOUCAN DU TONNERRE. Et en plus, ÇA SE VOIT !!!
  • tu as un équipement métallique sur le dos, et le requin a des ampoules de Lorenzini dans le pif, c’est-à-dire un espèce de sonar embarqué, sensible aux ondes électro-magnétiques.

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J’te jure, elle croit qu’elle est cachée

Bref il te voit, il te sent, il t’entend, il sait que tu es là même s’il ne sait pas ce que tu es, ni ce que tu fous là.

C’est pas non plus la peine de crier à ta soeur : « Kate, couche-toi ! » parce que se plaquer au fond n’est pas plus efficace que de se planquer derrière un rocher.

Faire du bruit pour attirer l’attention ou se repérer dans l’eau

Excellent moyen de se repérer quand on est perdu, par exemple dans la campagne : tu cries, et si on te répond, tu cherches d’où vient le bruit.

À l’air libre, le son circule à une vitesse de 340 mètres par seconde, ce qui n’est pas très rapide.

Sous l’eau en revanche, les ondes sonores voyagent trois fois plus vite ! Environ 1 000 mètres par seconde !

La conséquence, c’est que ton cerveau ne sait pas dire d’où vient le son. Il ne sait pas si c’est l’oreille droite ou la gauche qui l’a entendu en premier, c’est simultané pour lui.

Cette situation provoque une sensation étrange : celle d’être entourée du son quand tu l’entends.

Un bateau passe au-dessus de toi ? Tu le sais parce qu’il est logique que le bateau soit à la surface, mais tu pourrais tout aussi bien avoir le réflexe de regarder sous tes pieds.

En plongée, on peut attirer l’attention de ses partenaires en tapant sur sa bouteille avec un objet métallique, mais c’est juste un signal pour dire « lève les yeux et cherche-moi », ça ne permet absolument pas de savoir dans quelle direction il faut regarder.

Le plongeur a un sifflet, pour indiquer qu’il est vivant, pour attirer l’attention. Pour signaler sa position, il utilise un parachute ou de la lumière. Mais pas des sons…

Ne pas savoir utiliser son gilet stabilisateur

Plusieurs rebondissements viennent perturber la plongée de Lisa et Kate, notamment ce léger souci de câble qui lâche, envoyant leur cage par 47 mètres de fond. (Jusque là j’ai pas trop spoilé, c’était dans le titre).

Oops la cage.

Je n’aborde même pas la gestion de l’air, ce point relève plutôt de l’incohérence que d’une erreur de la part des plongeuses.

À 47 mètres de fond, et vu l’état de panique dans lequel elles se mettent, elles auraient dû être asphyxiées en quelques minutes maximum.

Une crise de panique à cette profondeur, ça peut te faire siphonner une bouteille en 2-2.

En revanche, l’équipement qu’elles utilisent très mal dans le film, c’est leur gilet stabilisateur, qu’on appellera « stab » pour m’éviter d’écrire douze fois « gilet stabilisateur ».

Je reviens à l’histoire des volumes : si t’as pas de palmes, la stab est ton seul moyen de te déplacer efficacement, puisque tu peux augmenter ton volume (donc déplacer de l’eau) en y mettant de l’air, et diminuer ton volume en enlevant de l’air.

Lisa se retrouve la jambe coincée sous la cage, qu’elle n’arrive pas à soulever, et elle a effectivement la présence d’esprit d’utiliser le volume de sa stab pour faire se lever la structure. Malin !

Dommage qu’elle ne pense pas à utiliser sa stab aussi pour remonter progressivement à la surface, ça lui serait bien utile, vu qu’elle n’a pas de palmes.

En même temps, vu son manque total d’expérience en plongée, c’était mieux qu’elle n’y touche pas : il faut enlever progressivement de l’air pour maîtriser la vitesse de remontée…

Plus tu montes, plus la pression baisse (puisque le volume d’eau que tu as au-dessus de la tête baisse), donc plus le volume de ton gilet augmente. Si le volume de ta stab augmente, tu déplaces davantage d’eau, donc tu vas… plus vite ! Vers le haut. Merci de suivre.

C’est pourquoi je te renvoie au point numéro 1 : l’expérience requise et l’encadrement minimum obligatoire, c’est la base, vraiment.

Remonter à la surface sans faire de paliers

Alors, que se passe-t-il quand nos vaillantes plongeuses décident de tenter une remontée à la surface, fatiguée d’attendre les secours qui ne viennent pas ?

Quand elles étaient à court d’air, j’ai envie de te dire : oui, shoot for the sky, il vaut mieux prendre le risque d’un accident de décompression, plutôt que de mourir noyée à coup sûr.

Mais si on t’envoie une réserve supplémentaire d’air, alors vraiment, évite de te précipiter vers la surface, surtout après avoir passé 30-40 minutes à 47 mètres de fond.

En respirant de l’air comprimé à cette profondeur, de l’azote contenu dans le mélange gazeux s’est dissous dans tes tissus. Il est évacué progressivement par les expirations que tu fais.

Si tu remontes trop vite, les petites bulles d’azote qui se forment pour retourner dans tes poumons et être expirées prennent alors trop de volume d’un coup, et peuvent rester coincées un peu partout.

Une bulle d’azote coincée dans une articulation, ça peut faire un mal de chien, ça peut te causer une blessure plus ou moins grave, mais ce n’est pas une menace vitale. La même bulle coincée dans un capillaire cérébral peut te paralyser ou te tuer.

D’où cette mesure de précaution : on remonte DOUCEMENT et EN EXPIRANT, pour laisser le temps à l’azote de rejoindre les poumons sans se coincer nulle part.

Et si on est resté trop longtemps au fond — comme Lisa et Kate, qui n’avaient pas prévu ça, il FAUT faire des paliers, c’est-à-dire rester à des profondeurs intermédiaires et respirer, le temps que l’azote dissous dans les tissus puisse reprendre sa forme gazeuse et être expiré progressivement.

Ce processus est incompatible avec sans doute le pire conseil entendu pendant ce film, soufflé par l’assistance radio de nos deux héroïnes :

« Larguez vos gilets stabilisateurs et nagez vers la surface ! »

Oui effectivement, sans palmes, tu vas pas loin avec une stab sur le dos. SAUF SI TU L’UTILISES en la gonflant par exemple ! Quitte à risquer un accident de décompression, autant s’épargner l’effort de nager.

Erreur fatale : mourir d’hypothermie

Kate et Lisa plongent avec seulement une veste en néoprène, et c’est effectivement le plus important : maintenir le torse au chaud, même si on reste à 5 mètres dans une eau à plus de 25°C.

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Dans l’eau, le corps humain perd de la chaleur, environ 20 fois plus vite que dans l’air, parce que l’eau est un meilleur conducteur (un peu comme pour le son, ça va plus vite).

Donc même immergé dans de l’eau à 25°C, le corps humain se refroidit progressivement.

Sauf que nos deux baroudeuses se retrouvent par 50 mètres de fond, donc sous le thermocline, cette frontière de température qu’on traverse aux environs des 20 mètres de profondeur.

J’ai jamais plongé au Mexique, mais j’imagine aisément qu’à 47 mètres de profondeur, la température passe sous les 20°C. Je l’estime à 14-15°C, mais je suis généreuse. J’ai eu du 18°C en Indonésie à 30 mètres, donc je me dis qu’au Mexique à -50 mètres, ça doit piquer un peu.

C’est important parce que le froid est un facteur d’accident en plongée. Pour se réchauffer, l’organisme augmente la ventilation, donc tu consommes plus d’air.

Nos deux plongeuses, si elles ont passé plus d’une heure à 47 mètres avec juste leur petit néoprène, ont donc de sérieuses chances d’être en sévère hypothermie, et donc d’avoir siphonné leur bouteille bien avant l’arrivée des secours.

J’ai pas parlé de la narcose

À un moment, l’assistance radio daigne enfin balancer de nouvelles réserves d’air à Lisa et Kate, et leur explique :

« Je vous ai pas envoyé les bouteilles plus tôt parce que respirer encore de l’air comprimé à cette profondeur, ça va augmenter votre taux d’azote, et donc votre risque de faire une narcose.

Vous devez vraiment vous surveiller l’une et l’autre, vous risquez d’être victimes d’hallucinations ! »

Déjà, c’est quoi cette excuse foireuse ? Elles avaient le choix entre la narcose et l’asphyxie, et tu viens seulement de décider qu’en fait oui c’est vrai que la narcose c’est moins gênant que l’asphyxie ?

Ne plongez jamais sous la supervision d’un blaireau pareil, c’est clair ?! Merci.

La narcose, qu’on appelle aussi ivresse des profondeurs, est un phénomène qui résulte d’une forte concentration d’azote dans ton système. En gros : tu es shooté·e.

Tout le monde subit la narcose, mais nous ne sommes pas à égalité face à ses effets. C’est un peu comme avec l’alcool : certaines personnes ont l’alcool triste, d’autres euphoriques, d’autres encore se lancent des défis débiles, d’autres enfin tombent dans l’apathie la plus totale.

C’est un peu pareil en narcose. Le vrai risque, c’est effectivement d’oublier qu’on est en pleine plongée, et que virer son masque et son détendeur n’est pas une riche idée.

Ni d’ailleurs de suivre un poisson magique droit dans le bleu, ni d’oublier de vérifier sa jauge d’air. C’est pour ça qu’on ne plonge jamais seul·e, mais toujours, toujours minimum en binôme, et jamais, jamais entre débutantes, encadrées à distance par le pire des blaireaux.

Pourquoi les requins sont le cadet de tes soucis en plongée ?

Donc, pour résumer cet exposé qui m’aura pris plus de temps à écrire que de mater le film, je dirais que les requins géants n’étaient vraiment, vraiment pas la pire menace qui pesait sur la survie de Lisa et Kate.

Ce qui les a mises en danger, c’est plutôt leur propre inexpérience en plongée, et leur manque de jugeotte absolu en acceptant de plonger sous l’encadrement du pire directeur de plongée que j’aie jamais vu.

Mon conseil pour vos futures vacances au Mexique (valables également pour les îles du Pacifique, d’Océanie, bref environ tous les paradis marins), afin d’éviter les mésaventures de Lisa et Kate, les voici.

Si vous voulez faire de la plongée sous-marine :

  • Choisissez une école de plongée certifiée FFESSM, PADI, SSI, bref une fédération reconnue pour vous initier. Pas le premier baratineur que vous croisez en soirée.
  • NE MENTEZ PAS à vos formateurs en disant « ouais je sais plonger mdr » alors que vous ne savez pas monter votre équipement.
  • Ne partez pas faire une profonde avec des gens en qui vous n’avez absolument aucune confiance (comme par exemple un mec que vous avez rencontré la veille après 3 Margheritas) (ou alors on parle pas du même type de « profonde »).
  • Suivez une formation sérieuse et choisissez un encadrement (guide, matériel, environnement) adapté à vos besoins.

Et surtout, surtout, si vous ne retenez qu’un seul conseil, merci de garder celui-ci : laissez les requins tranquilles. sSi vous êtes en mal de sensations fortes, mangez un plat épicé.

Bonnes vacances !

À lire aussi : Les dauphins sont-ils à la mer ce que les mecs toxiques sont sur Terre ?


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Les Commentaires

10
Avatar de Aconiti
9 octobre 2017 à 12h10
Aconiti
Laissez les requins tranquil OUAICH !
Ils vous ont rien fait, ils font leur life de poisson, ils sont mignons et ridicules à la fois (surtout les marteaux) (oui j'aime les requins)

Et sinon moi je trouve que justement c'est parce que c'est une oeuvre de fiction qu'on ne devrait pas avoir ce genre d'erreurs scénaristiques. Si tu veux faire un film sur la plongée engage un conseillé.
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Voir les 10 commentaires

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