ENFIN !
Ça fait des ANNÉES que j’ai envie de faire un podcast sur la masculinité et ce projet de longue haleine se concrétise aujourd’hui ! J’ai du mal à expliquer à quel point je suis émue, là.
Émue de vous dire : bienvenue dans The Boys Club, le podcast masculinité de madmoiZelle.com !
The Boys Club, c’est quoi ?
The Boys Club, c’est, un jeudi sur deux, un homme qui vient parler masculinité au micro de madmoiZelle.
C’est quoi, « être un homme
» ? Est-ce qu’il s’est déjà senti « pas assez un homme » ? Quels sont ses rapports avec les autres hommes ? Et avec les femmes ? Et avec son père ? Et avec sa mère ?
Tout cela et bien plus encore, voilà les sujets qui seront évoqués par Fab et moi pendant ces entretiens croisés !
Et si ça vous semble chelou qu’une meuf veuille causer masculinité sur madmoiZelle, je vous renvoie à cette F.A.Q. qui répondra, je l’espère, à vos questions :
The Boys Club, épisode 1, avec Arthur
Pour ce premier épisode, j’ai choisi d’embaucher nul autre que… mon petit ami, Arthur.
Parce qu’il est à l’aise pour me parler, et aussi parce qu’il a un rapport intéressant à sa masculinité : ni ultra-viril, ni en contradiction avec les codes genrés, Arthur est somme toute « juste un mec ». Comme tant d’autres.
Et je voulais justement commencer avec ce « juste milieu », sans traumatisme lié au genre, mais avec finalement pas mal de choses à dire !
J’espère que ce premier épisode vous plaira ! N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez dans les commentaires. Et rendez-vous dans 15 jours pour la suite !
Abonnez-vous à The Boys Club !
Dans cet épisode, on a parlé…
- De ce TED Talk sur la vulnérabilité
- Du podcast Les Couilles sur la Table
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
C'est dommage de ne pas l'avoir souligner, ces pratiques sont sexuelles. Si elles ne sont pas homosexuelles, dans le cas où l'assemblée est hétéro, c'est parce qu'il n'y a pas de désir pour un autre corps masculin qui s'exprime, chacun convoque son imaginaire à soi avec ses désirs à soi.
Et c'est dommage que pour éviter un "procès en homosexualité" il faille dire que ces pratiques ne sont pas sexuelles.
Il est d'ailleurs intéressant je pense de noter que dans notre société les pratiques impliquant plusieurs hommes (je pense aux plans HHF "classiques" ou Bukkaké ou gang bang) ne laisse pas la place au moindre soupçon d'homosexualité, les hommes ont des pratiques conjointes ou rapprochés et pourtant leurs désirs ne s'expriment pas les uns envers les autres mais envers une tierce personne ou un support. Alors qu'un plan à trois FFH va "automatiquement" impliquer que les deux femmes en présence expriment du désir l'une pour l'autre et en jouent, en tout cas dans l'imaginaire collectif et une grande partie des pratiques calquées sur cet imaginaire collectif..