Michael Scofield (Wentworth Miller) a la fraternité dans le sang : son frère condamné à mort pour un crime qu’il dit n’avoir pas commis, il décide d’organiser son évasion. Seul souci : le frangin séjourne dans la prison de Fox River, forteresse réputée inévadable. La folle échappée aura donc lieu… de l’intérieur. Sisi. Pour cela, Scofield braque une banque et se retrouve derrière les barreaux sans même avoir pris la peine de se défendre.
La série dévoile donc petit à petit le plan du beau ténébreux aux yeux bleus et ses déboires avec les loulous résidant en zonzon depuis des lustres.
Scofield a beau avoir tout planifié jusqu’à s’être fait tatouer les plans de la prison sur son corps, l’environnement extérieur ne va pas toujours lui faciliter la tâche… au contraire. Le souci, c’est que Michael n’a pas tout son temps : dans un mois, le frangin passe sur la chaise électrique.
Pendant ce temps, à l’extérieur de la prison, l’ex de son frangin, avocate, cherche par tous les moyens de remonter à la source de ce qui semble être un coup monté… Et forcément, quand on remue le caca, on ne trouve jamais rien de bon.
Prison Break est la dernière folie aux States en matière de séries télé US. Intrigue captivante, double ou triple histoires parallèles, théorie du compot… certes on y retrouve – comme souvent en ce moment dans les séries US – quelques passages cul-cul et une omniprésence de la religion, mais la série a le mérite de mettre le doigt sur pas mal de sujets sensibles : la peine de mort, les conditions dans les prisons, le traitement des prisonniers (réhabilitation VS punition).
La saison 1 est encore en diffusion actuellement, attendons de voir comment elle se termine avant d’envisager une saison 2…
Merci à Nisa pour m’avoir fait découvrir cette petite merveille, en espérant qu’elle arrive tout bientôt dans notre douce contrée. (la série, pas Nisa, voyons)
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