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Culture

« Nat & Alice in the Morning », deux youtubeuses pop-culture déjantées !

Nat & Alice sont deux youtubeuses qui parlent pop-culture, analysent des œuvres en allant parfois à contre-courant et méritent vraiment d’être (plus) connues !

Nat et Alice, ce sont deux youtubeuses débordantes d’énergie qui analysent des sujets de pop culture avec humour, finesse, pertinence et pyjamas dans leur matinale Nat & Alice in the Morning. Avec le comparse Pierre-Louis qui apporte une aide forte en moustache, ces deux pimpantes jeunes femmes passent jeux vidéo, films indépendants, séries animées et blockbusters à la loupe sans oublier de tacler au passage les clichés les plus irritants qui y sont liés !

Les sujets sont variés, il y a à boire et à manger alors jetez-y œil sans tarder… ou faites plus ample connaissance avec elles dans cette interview.

D’autres youtubeuZ en interview

Nat & Alice en interview

  • Pouvez vous vous présenter et présenter votre travail ?

Nat —Bon bah apparemment c’est moi qui commence ! Donc, je suis Natacha, Nat de mon petit nom, j’ai 27 ans et je parle trop…

Côté chaîne, je suis tellement tentée de qualifier ça de gros délire entre potes ! Mais ça fait pas très sérieux, donc on va plutôt dire que nous réalisons des vidéos analytiques sur différentes œuvres issues de la pop culture : des jeux vidéo, des films, des séries, etc. Tant que ça rentre dans le champ un peu vague de la pop culture, on peut en parler !

Nous réalisons des vidéos analytiques sur différentes œuvres issues de la pop culture : des jeux vidéo, des films, des séries, etc.

Nos analyses se focalisent généralement sur le scénario, l’intrigue, l’histoire. On laisse de côté la réalisation des films et séries et le gameplay des jeux vidéo, sauf quand c’est pertinent d’en parler par rapport à ce qu’on dit de l’histoire. Mais comme nous ne sommes pas vraiment expertes dans ces domaines plus techniques, on préfère les laisser de côté, il y a assez de gens talentueux sur YouTube qui en parlent très bien !

Alice — Moi c’est Alice, j’ai 26 ans. Nat est ma meilleure amie, je la connais depuis la première. On a commencé notre chaîne Nat&Alice il y a un an et demi.

  • Comment en êtes-vous venues à vous lancer sur YouTube ?

Nat —Personnellement, je me suis mise très tard à regarder des vidéos sur YouTube. J’étais plus familiarisée avec le monde des jeux en ligne, ayant fréquenté les MMORPG quelques temps. Donc je connaissais la culture Internet, juste pas celle des vidéastes. Mais une fois que je suis tombée dedans, je suis devenue accro !

S’intéresser à la pop culture ne veut pas dire se couper d’autres œuvres culturelles considérées comme « intello »

En fait, je suis issue d’un milieu assez intello et mon amour de la pop culture était à la fois un sujet de honte (genre : « je cite pas Freud dans le texte, papa et maman doivent me trouver bêêête ») et une fierté parce que… au moins, je me démarquais ! Puis, avec le temps, je me suis rendue compte que c’était débile. Déjà, parce que s’intéresser à la pop culture ne veut pas dire se couper d’autres œuvres culturelles considérées comme « intello ». Et deuxièmement parce qu’il n’y a pas de sous culture !

Sans m’en rendre compte, malgré mon amour de la pop culture, je crois que j’avais un rapport un peu élitiste à tout ça. Du coup, quand des amis me disaient : « Mais tu perds ton temps et tu abrutis tes neurones à jouer à des jeux vidéo et à mater des films pourris », j’ai commencé à leur répondre : « On peut avoir des réflexions intelligentes sur TOUT et ce n’est pas plus bête de commenter intelligemment un film de Peter Jackson que de commenter intelligemment un film de Bergman ».

En discutant avec Alice, c’était évident qu’elle avait un rapport similaire à tout ça, sauf qu’elle était sans doute jamais passée par la case élitiste !

Alice — Han !

Nat — C’était un compliment ! L’élitisme, c’est maaaaaal ! Quand on parlait de jeux, de films ou de séries avec Alice, c’était toujours passionnant, intellectuellement. Du coup, on a dû se trouver siiiiiii intéressantes qu’on s’est dit : « pourquoi ne pas partager nos analyses avec le monde ? ». Ouais, on a visé le monde direct. En toute humilité…

Alice —Avec Nat qui est sur la même longueur d’ondes que moi, on décortique depuis longtemps des jeux, des séries et des films. On adore ça. A côté, je suis les vidéos du Joueur Du Grenier depuis le début je crois, et j’ai naturellement enchaîné avec plein d’autres. Mais à cette époque je ne suivais aucune femme sur YouTube parce que je n’en connaissais pas…

Je ne suivais aucune femme sur YouTube parce que je n’en connaissais pas…

Ça me manquait, et les vidéastes que je suivais avaient toujours les mêmes thématiques, les mêmes point de vue, le même humour. Bref, au bout d’un moment, on s’est dit qu’on serait trop bêtes de pas prendre les choses en main et d’essayer, nous, de faire les choses à notre sauce.

  • Comment se fabrique un épisode de Nat&Alice ? Qui fait quoi ?

Nat —Quand on s’est lancées, honnêtement, on savait pas ce qu’on faisait. Au début on s’est dit qu’on avait qu’à se planter devant une webcam et papoter librement, comme on le faisait entre nous. C’est là que Pierre-Louis (un personnage récurrent de nos vidéos, qui a également une chaîne où il fait de la musique) est intervenu. Il nous a envoyé une vidéo de LinksTheSun où ce dernier explique qu’il est impératif d’écrire ses textes. On a donc commencé à faire ça.

Pendant ce temps, Pierre-Louis, qui avait ses propres projets de vidéos, nous a proposé de s’occuper de l’aspect technique, parce qu’on est des sacrés boulets !

En toute sincérité, les débuts ont été compliqués

En toute sincérité, les débuts ont été compliqués : quelle longueur doivent faire les vidéos ? Faut-il ou non y faire de l’humour ? Devons-nous nous créer des personnages ? De mon côté, j’avais une trouille bleue parce que je n’ai jamais fait de théâtre, jamais fait de vidéo, jamais ne serait-ce qu’enregistré ma voix ! C’est pour ça que mon personnage dans Nat&Alice me ressemble en fait : un peu hystérique, qui parle fort et fait plein de grimaces… Pas besoin de savoir jouer, ça me vient assez naturellement !

Donc ça c’était la première vidéo, par la suite, la répartition des tâches s’est faite assez naturellement : on commence par décider du sujet, on en parle, on échange nos analyses et avis. Alice écrit une première version du texte, me l’envoie, je lui fais un retour. Ensuite on tourne, aidées de Pierre-Louis et enfin, on monte la vidéo !

Alice —Au début on se répartissait vachement les tâches. Maintenant c’est plus souple. Ce qui est important c’est de faire une navette, constamment : pour échanger les idées, pour enrichir le texte, pour renchérir sur un sketch. ça arrive qu’une de nous commence le montage, et laisse l’autre terminer. ça dépend aussi pas mal des disponibilités de chacune. Si l’une a moins de temps à un moment donné, l’autre peut compenser dans une certaine mesure. Et on essaye de faire en sorte que chacune trouve son compte, et ce qui l’amuse, à faire telle ou telle vidéo.

  • Vous critiquez un tas de formats, des émissions de téléréalité aux jeux vidéo. Qu’est-ce qui détermine le choix de vos sujets ?

Nat — En général, on se rend compte en discutant qu’on a toutes les deux vu tel film, joué à tel jeu et qu’on a des tas de trucs à dire. S’il y a de quoi construire un propos un peu intéressant, s’il y a de quoi faire un analyse qu’on trouve stimulante, c’est bon, on se lance. Parfois, l’une de nous va voir un film et dit à l’autre : « je pense qu’il y a de quoi faire une vidéo, tu devrais aller le voir ! ».

Peu importe le format, l’important c’est ce qu’on peut en tirer

En fait, peu importe le format, l’important c’est ce qu’on peut en tirer. Quelques fois, si le propos nous semble intéressant mais pas hyper riche non plus, on en profite pour faire des sketchs, des mises en scène de contextualisation un peu plus ambitieuses (ce qu’on fait de plus en plus parce que ça nous éclate). Le principal pour nous, c’est de nous amuser et de faire des vidéos qui nous plaisent : on veut avoir assez de choses à dire pour éviter de rester plantées devant un texte sans rien pouvoir écrire, et on aime pouvoir faire quelques sketchs idiots par-ci, par-là.

Alice — Oui, on détermine nos choix à l’envie. Je pense que c’est important, quand on est vidéaste, de garder en tête qu’il faut faire des choses qui nous font plaisir avant tout. C’est une activité qui demande beaucoup trop de temps, pour parfois si peu de « succès » derrière, qu’il faut vraiment au moins en retirer une satisfaction personnelle ! Surtout quand on est nombreux à aborder les mêmes sujets…

Donc, ne pas se mettre trop de pression avec des objectifs irréalistes, ou en essayant de suivre ce qu’on croit percevoir des goûts du public. Vive la liberté ! Si c’est assez « pop culture » selon nous, si pour X raison ça nous plaît, et si on a une réflexion à tirer au-delà de « y a ça qu’est bien et ça qu’est pas bien », pour nous c’est un sujet Nat&Alice.

Nat et Alice s’attaquent à une œuvre qui a mis (presque) tout le monde d’accord : même si vous avez aimé la série, c’est très intéressant !

  • On sent un engagement de votre part pour ce qui est des représentations de minorités dans les médias. Comment en êtes-vous venues à cette thématique ?

Nat — Je pense que c’est un sujet qui nous tient toutes les deux à cœur, et pas seulement en tant que femmes.

De mon côté, j’ai grandi dans une famille super tolérante. J’ai passé des vacances chez un couple d’amies de mes parents et je ne les ai jamais perçues comme différentes parce qu’elles étaient homosexuelles. Pour moi c’était un couple comme les autres et j’adorais aller chez elles parce qu’elles avaient des chiens et un chat ! Donc quand j’ai été confrontée à des gens homophobes, j’ai pas bien compris ce qui se passait. Ou même lorsque certaines de mes amies me disaient que ça les mettait mal à l’aise que je lise du yaoi : je comprenais pas.

C’est parce que j’étais tellement habituée à voir et à entendre parler d’homosexualité que ça me semblait si normal. Donc, il faudrait que le reste du monde en entende aussi plus parler, et voit plus de couples homosexuels ! Et le meilleur moyen pour ça, c’est encore la culture, et surtout la culture populaire qui touche le plus grand nombre. Je sais que ça paraît débile dit comme ça, mais c’est vraiment la réflexion que j’ai peu à peu développée. À partir de ce moment, je suis devenue obsédée par la représentation de l’homosexualité dans les médias…

Quant aux questions liées au genre, c’est encore autre chose. J’ai longtemps refusé qu’on réduise mon identité à mon genre. Je n’avais pas envie de me définir en disant : « je suis une femme ». Peut-être parce que, enfant, j’étais un garçon manqué, ou parce que, ado, j’avais du mal à supporter ma féminité ? Bref, je voyais le genre comme une construction sociale et surtout comme une grosse étiquette qu’on voulait à tout prix me foutre sur la gueule. Et moi, j’en voulais pas.

Sans m’en rendre compte, j’ai commencé à lutter contre ça et, par extension, contre cette représentation sociale, contre cette notion très formatée du genre. Je me souviens, en école de commerce – où le sexisme latent est omniprésent chez les étudiants comme chez les profs – m’être tirée d’une conversation parce qu’un copain me disait toujours « meuf » quand il s’adressait à moi. Et je lui disais : « arrête de me dire ça, j’ai l’impression que tu me résumes à mon identité de femme »…

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Alice — Moi je l’appelle tout le temps « meuf » et « guuuurl » et elle me tape pas.

Nat — J’étais intransigeante, je crois que c’était à cause de l’environnement ! Donc pareil, c’est encore et toujours mon vécu personnel qui m’amène à tenir tel ou tel discours, c’est un peu égocentrique… Heureusement, Alice met beaucoup plus les formes adaptées à ce genre de problématiques. Mais je pense que ni l’une ni l’autre n’envisagions de faire des vidéos sans adresser ces questions de représentation.

Alice — Bah je pense qu’on peut pas faire de la critique ou de l’analyse d’œuvre sans que le vécu personnel n’entre en jeu à un moment. C’est normal, et ceux qui prétendent être entièrement « objectifs », impartiaux ou rationnels se plantent. Dans mon cas, je suis une femme et ça me pousse à faire plus attention aux persos féminins et à leur traitement, ce qui ressort forcément quand je parle d’une œuvre. C’est pas plus compliqué que ça.

Je n’ai grandi qu’avec des héros masculins, c’est triste

Le truc aussi, c’est que je n’ai grandi qu’avec des héros masculins. C’est triste. On en vient à penser que c’est parfaitement normal si les femmes ne sont pas représentées, et pas « bien » représentées. Et encore, moi j’essayais seulement de trouver des persos féminins à mon goût, mais certaines minorités sont encore moins représentées ! De là découle je pense le fait que je sois également sensible, plus largement, au traitement des divers groupes sociaux.

Et puis, je bosse dans le dessin animé ; je vois comment ça se passe, je vois les barrières qu’il faut abattre à chaque fois, même quand on croit qu’une chose est évidente et acquise. Bref, j’ai pas envie que d’autres enfants grandissent sans avoir des héros pour les représenter et les inspirer. Oui c’est une question de justice !

  • Comment se passe la gestion des commentaires et des retours du public ?

Nat — En général ? Je m’excite un grand coup, je m’énerve, je dis à Alice que j’ai envie de répondre un truc méchant, elle me calme, on oublie ! Et le pire, c’est que je plaisante à moitié…

Alice — C’est vraiment ça, et ça vaut pour les deux ! Perso je trouve que ça nous évite de nous emporter, et donc ça nous évite des soucis… Un commentaire peut faire mal sur le coup, mais très rapidement plus du tout. Bon, ça nous arrive de nous défouler parfois parce que ça fait du bien !

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Nat — C’est assez variable en fait. On essaye d’ignorer les trolls, même si, de mon côté, je suis très agacée par le consensus général autour du « don’t feed the troll ». J’veux dire, du coup, sous prétexte de trollage, quelqu’un peut dire n’importe quoi ! Y compris tenir des propos sexistes, homophobes, etc. Y compris balancer des trucs ignobles à la figure des gens. Y compris dire à deux vidéastes débutantes : « retournez faire la vaisselle ». Même si je sais que ça sert à rien, j’ai toujours envie de répondre…

Alice — Pour l’instant on n’a jamais rien modéré, car tout ce qui est sorti d’insultant (c’est-à-dire quelques commentaires sexistes et misogynes) ne visait que nous et qu’au fond, on s’en fout. On est bien trop fabuleuses pour être atteintes. Là-dessus, on essaye de vivre en gardant en tête les devises de RuPaul.

Je déteste aussi les commentaires passifs-agressifs, en mode « votre vidéo est bien mais je vais quand même pinailler histoire de, même si ça ne change rien au propos », ou « c’est pas grave vous ferez mieux la prochaine fois ». Sérieux…

Découvrez RuPaul ou Mama Ru, grande prêtresse de Nat et Alice.

Nat — Globalement, on a une communauté très sympa et la majorité des commentaires sont gentils, constructifs et intéressants. On a envie de discuter avec les gens en fait ! Étonnamment, seule notre vidéo sur Conan le Barbare est source de plusieurs commentaires un peu haineux… Dans l’ensemble, on a une communauté super cool !

Alice — Complètement ! Là on se lâche sur 2-3 trucs frustrants, mais franchement, notre communauté est hyper sympa — ça m’a même surprise. J’avais peur qu’on s’en prenne plein la gueule au début, notamment parce qu’on parle de jeux vidéo, un média dont la communauté n’est pas toujours tendre avec les femmes.

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Franchement ? Un ou deux commentaires dégueulasses, et sinon aucun souci. On se sent chanceuses ! Ce que je trouve dingue, alors même qu’on est sur Internet, et alors même qu’on n’est pas toujours tendres avec des œuvres qui font le consensus, c’est qu’on a une majorité de commentaires qui disent : « je suis absolument pas d’accord avec vous mais je comprends votre point de vue et je le respecte, c’était intéressant et cool ». C’est juste le meilleur commentaire du monde ! En tant que vidéaste c’est à ça que j’aspire.

 Une vidéo d’Alice en solo sur le monde des séries d’animation françaises

  • Des projets pour la chaîne ? À côté de la chaîne ?

Nat — Sur la chaîne, on ne change pas la formule ! On a juste envie de faire des vidéos un peu plus ambitieuses, avec plus de mise en scène, où on s’amuse à fond avec le contexte. On a prévu un gros tournage en province et surtout, maintenant qu’on a commencé à rencontrer d’autres vidéastes trop sympa, on a envie de faire des trucs avec eux : participer à des vidéos sur leurs chaînes, les inviter à venir faire des sketchs idiots chez nous, pourquoi pas un jour se lancer dans des lives, etc. Bref, que du bonheur !

L’équilibre entre les deux chaînes, c’est ultra chouette

À côté de la chaîne, personnellement, je suis pas mal prise par ma propre chaîne, Na’R’t. A la base, mon truc à moi c’est plutôt à l’art et je me suis découvert une passion pour la vulgarisation ! J’ai donc lancé il y a quelques mois une chaîne solo où je parle de mouvements et de concepts artistiques, d’artistes, d’œuvres que j’analyse, etc. Clairement, l’expérience de Nat&Alice m’aide beaucoup, surtout que je fais tout toute seule.

C’est vachement plus dur de faire des vidéos seule, en fait ! On s’amuse moins sur les tournages, on se prend la tête dans son coin, on emmerde tout le monde autour de soi pour avoir des retours critiques avant de mettre la vidéo en ligne…mais ça m’éclate tellement de parler d’art ! Du coup, l’équilibre entre les deux chaînes, c’est ultra chouette !

Nat en solo sur sa chaîne avec un sujet qui fout les miquettes

Alice — Pour la chaîne, tout comme Nat a dit ! Après moi il faudrait que je dégage du temps pour continuer ma série de vidéos sur le monde de l’animation. Mais ce serait sans doute judicieux de faire ça sur une autre chaîne. À voir !

Merci beaucoup à ces deux vidéastes. N’hésitez plus et filez donc mater leurs vidéos !


Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.

Les Commentaires

7
Avatar de Taraom
3 février 2016 à 12h02
Taraom
J'adore ces filles! Leurs vidéos s'améliorent avec le temps, et même si certains sujets qu'elles abordent dans des vidéos ne m'intéresse pas à la base, j'y trouve toujours mon compte. Elles ont une manière d'expliquer les choses qui est très cool sans être dogmatique. Et puis j'avoue que j'aime bien le nom de leur chaine (c'est bien un clin d'œil à Community, non?)
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