Florence Porcel vous emmène sur la planète rouge avec Mars Horizon, sa bande dessinée !

Mars Horizon est une bande dessinée scénarisée par Florence Porcel et dessinée par Erwann Surcouf, publiée chez Delcourt. Elle sort ce mercredi 8 mars dans toutes les librairies !

Mars Horizon inaugure Octopus, une nouvelle collection de vulgarisation scientifique dans laquelle des spécialistes ou grands connaisseurs de certains domaines s’associent à des dessinateurs pour aborder ces thématiques.

La collection est dirigée par un certain Boulet, dont on connaît l’affection pour les sciences grâce à ses réseaux sociaux.

Florence Porcel est scientifique, auteure, comédienne et animatrice, et sévit notamment sur sa chaîne YouTube La Folle Histoire de l’Univers, en étant aussi très active sur les réseaux pour relayer toutes les nouvelles de l’Univers.

Sa spécialité, c’est l’espace et plus particulièrement la planète Mars. Elle a publié il y a quelque temps son premier livre, L’espace sans gravité

, et se lance ici dans un nouveau défi : la bande dessinée.

Mars Horizon imagine la première installation humaine sur la planète rouge en 2080 par une équipe de spécialistes : médecin, psychiatre, botaniste ou encore pilote.

Récit d’anticipation tout en étant une fiction documentée, la bande dessinée nous donne un avant-goût de ce qui pourrait véritablement avoir lieu d’ici une grosse soixantaine d’années.

Spoiler alert : il y aura des gros robots.

La fiction ne laisse pas de côté la précision scientifique et s’attache à répondre à des questions très terre-à-terre (tu l’as ?).

Elle est un habile mélange entre prédiction scientifique mais aussi psychologie humaine, puisque c’est aussi toute la palette des émotions qui est explorée : comment vivre (et gérer) l’éloignement avec la Terre ? À quel point le quotidien est-il bouleversé par le changement de gravité ? Comment se nouent les liens entre toutes les individualités ?

À noter également que l’album ne manque pas de personnages féminins admirables : des ingénieures et scientifiques qui ont elles aussi leur place dans un milieu qui apparaît comme surtout masculin dans l’imaginaire collectif.

Il est plus que temps de rendre exemplaires des femmes astronautes !