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Amours

Les madmoiZelles nous racontent leur premier amour

À l’occasion de la sortie de Tamara le 26 octobre, des madmoiZelles nous racontent leur premier amour, ses joies et ses difficultés… et ce qu’il représente aujourd’hui pour elles.

Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec UGC Distribution. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.

À l’occasion de la sortie de Tamara le 26 octobre, nous avons souhaité aborder le sujet du premier amour. C’est celui des premiers grands émois, des premières approches, des premières déceptions ou des premiers grands bonheurs amoureux…

Des madmoiZelles nous emmènent dans leurs souvenirs plus ou moins révolus de cette expérience charnière.

Des premiers amours sous le signe du tourment

Pour Joséphine comme pour beaucoup d’autres madmoiZelles, le premier amour n’était pas réciproque. L’objet de ses sentiments était « un très beau jeune homme aux cheveux noirs bouclés, super pote de mon cousin avec lequel je m’entendais super bien ».

Elle l’a rencontré par hasard et a tout de suite craqué pour lui :

« Ce first love n’était pas dans le même collège que moi, il avait un an de plus, beaucoup de charisme et un succès certain auprès des filles.

Je l’ai rencontré à une soirée par le biais de mon cousin. J’ai eu un « coup de foudre » en le voyant qui s’est confirmé en entamant la discussion avec lui. J’avais 14-15 ans et je ne parlais QUE de lui aux autres. Encore aujourd’hui, l’évocation de son prénom fait sourire mes ami•es d’enfance. »

Joséphine a tout fait pour se rapprocher de lui : elle s’est improvisée musicienne pour rejoindre son groupe de rock et ainsi le voir toutes les semaines, et en est petit à petit venue à vivre complètement en fonction de lui, s’habillant suivant ce qu’elle savait qu’il aimait.

Elle explique qu’elle était « littéralement folle de lui », et passait son temps à s’imaginer avec ce garçon. Cela ne s’est malheureusement pas concrétisé :

« Un jour, sans doute au bout d’un an, j’ai fini par lui dire que je voulais « sortir » avec lui, par MSN. Il m’a répondu qu’il me trouvait géniale mais qu’il n’y « avait pas la petite étincelle ». J’ai été complètement anéantie par cette réponse. »

À lire aussi : Le crush du lycée : chronique d’un échec annoncé

Cela ne lui a cependant pas enlevé ses sentiments, et lui a joué de cette ambiguïté. Jusqu’à une soirée difficile :

« Un jour à une soirée, j’ai vu mon premier amour « choisir » une autre fille que moi. Je n’ai rien trouvé de mieux  à faire que de le prendre à part pour lui avouer mon amour, en pleurant… Ça n’a pas eu l’air de beaucoup le toucher. Ils ont fait leur première fois ensemble cette nuit-là.

J’ai beaucoup pleuré, mais j’ai enfin compris qu’on ne serait jamais ensemble.

J’ai beaucoup pleuré, encore, mais j’ai enfin compris qu’on ne serait jamais ensemble.

J’ai transformé cette passion en fixette complètement nulle pour tenter de retrouver un peu de confiance face à ces râteaux : il fallait que je couche avec lui.

J’ai fini par rencontrer quelqu’un d’autre, je n’étais pas amoureuse de lui mais j’ai fait ma première fois avec. Et puis un soir, peut-être un an après, j’ai retrouvé mon premier amour à une soirée. On a rigolé, on s’est racontés nos vies… et on a couché ensemble. Étrangement c’était vraiment nul, ni lui ni moi n’avons pris de plaisir, mais la boucle fut bouclée.

Je considère que c’est depuis cette nuit que j’ai clôturé cette histoire : d’abord il a fallu une longue période sans le voir puis une partie de jambe en l’air qui a tout désacralisé. Ce manège a tout de même duré presque cinq ans. »

Marie a elle aussi eu un premier amour à sens unique, et pour cause :

« C’était L., une pionne de mon collège. Oui, la pionne, pas une prof, je ne fais jamais rien comme les autres ! Pour moi elle est toujours sortie du lot, elle avait quelque chose de différent.

À l’époque j’avais beaucoup de problèmes personnels, j’étais mal dans ma peau, et elle a réussi à se rapprocher de moi, à ce que je lui fasse confiance pour lui parler de ce qui n’allait pas — et ça, venant de moi, c’était un peu un miracle.

Elle m’a pas mal aidée, et j’ai mis longtemps à me rendre compte que ce n’était pas juste de la reconnaissance que j’éprouvais à son égard. J’étais amoureuse d’elle, j’étais amoureuse d’une autre fille. Et ça m’est tombé dessus comme ça, sans n’avoir rien demandé. Et ça m’a terrorisée.

Je m’en suis rendu compte beaucoup trop tard pour tenter quoi que ce soit, et puis surtout elle était pionne. Et elle avait la vingtaine, elle était mariée, elle avait deux enfants. Et moi à ce moment-là, j’étais juste une ado mal dans sa peau. »

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Il lui a fallu du temps pour se remettre de ce premier amour.

J’ai fini par tourner la page, même si ça m’a pris plusieurs années.

« J’ai fini par tourner la page, même si ça m’a pris plusieurs années — d’autant plus que je ne me sentais pas « légitime ».

J’en parlais très peu parce que j’avais peur du regard des autres, du jugement, de ce qu’on allait me répondre. Puis j’étais jeune, et quand on est jeune et qu’on parle d’amour, on ne nous prend pas forcément au sérieux.

Donc avant de pouvoir passer à autre chose et avancer, il m’a d’abord fallu l’accepter, et m’accepter moi. »

Des histoires d’amour comme dans les films

Pour certaines, non seulement le premier amour fut réciproque, mais il a duré. Pour cette madmoiZelle, cela a commencé comme une amourette de vacances :

« Notre rencontre était plus qu’hasardeuse. J’étais en vacances avec ma famille à Center Parcs. Un matin, j’avais pour une fois décidé de me lever tôt et tout le monde dormait encore dans le bungalow, alors je suis partie nager seule dans la piscine histoire de me dérouiller un peu. Alors que je faisais mes longueurs, une bande de garçons chahutait pas loin.

L’un d’eux me regardait avec insistance de ses yeux bleus. J’ai essayé de l’éviter, mais on a fini par se croiser et il m’a demandé si je voulais l’accompagner à une soirée dansante « cow-boy »… Moi ?! N’ayant jamais eu de petit ami ? Timide comme pas permis ? J’étais réticente mais j’ai fini par accepter.

Après de nombreuses discussions durant des promenades dans les magnifiques forêts de pins de Center Parcs, il s’est avéré que 500 km séparaient nos lieux de résidence : pour moi ce premier amour de vacances ne durerait donc pas, il ne serait qu’une amourette. »

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Mais leur histoire a largement dépassé le cadre de ces vacances :

« Sauf qu’en fait il a duré quatre ans, grâce à des échanges de lettres, des week-ends et des vacances ensemble. Il s’est accroché parce que j’ai mis énormément de temps à vraiment tomber amoureuse de lui — pour moi, les garçons n’étaient pas sérieux et ne pensaient qu’à jouer avec les femmes…

J’étais très méfiante parce que je pensais qu’il était impossible qu’un garçon s’intéresse réellement à moi.

Il a été mon premier en tout.

Il a été mon premier en tout… Mon premier baiser, ma première fois.

On a vécu ensemble quasiment un an dans un petit appartement à Paris, nos familles se sont rencontrées… J’ai espéré qu’on se fiance dans notre quatrième année mais notre relation s’est finalement arrêtée avec une excuse qui m’a semblé plus que bidon : il m’a quittée par téléphone en me disant « je ne supporte plus ton père qui me harcèle ».

En entendant ça, je vous laisse imaginer ce qu’il s’est passé dans ma tête… Et bien figurez-vous que ça doit faire un an ou deux (sachant que ça va faire six ans qu’on est séparés) que j’ai appris qu’effectivement mon père le harcelait vraiment, car quelqu’un dans ma famille avait lancé la rumeur comme quoi il me battait… Ce qui était complètement faux. »

Pour les madmoiZelles dont le premier amour a duré, il en a généralement résulté une relation unique qui les a vus se construire à deux à un âge charnière. Ce fut le cas pour Anaïs, qui a eu une relation fusionnelle avec son premier amour :

« Comme pour beaucoup de personnes, mon premier amour était aussi mon meilleur ami de lycée.

Cet amour est né progressivement alors que je n’avais que 15 ans et lui 14. Il était mon confident, mon alter ego au masculin. Et si au départ les sentiments que j’éprouvais pour lui étaient refoulés, du statut de meilleur ami il est devenu beaucoup plus. Je me suis progressivement rendu compte que je voulais qu’il soit le meilleur ami et l’amant.

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J’étais totalement pétrifiée à l’idée de perdre mon ami.

Nous sommes entrés à l’université et mes sentiments pour lui étaient limpides, mais j’étais totalement pétrifiée à l’idée de perdre mon ami.

J’ai finalement décidé de prendre ma peur à bras le corps et le courage a payé puisque l’amitié s’était transformée en sentiment amoureux pour lui aussi.

Nous avons partagé six ans de notre vie et avons vécu deux ans ensemble. Nous nous sommes construits ensemble. De notre vie adolescent•es, nous sommes passés à celle d’adultes. »

Cependant, pour Anaïs comme pour beaucoup d’autres madmoiZelles, le côté très fusionnel de la relation a fini par la rendre indigeste.

« Ce fut jusqu’à présent ma plus belle histoire, mais aussi ma plus terrible. Nous étions tellement fusionnels que les choses se sont envenimées. On dit généralement que de l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas.

On s’est profondément aimés, mais on s’est aussi profondément détestés. Une histoire d’adolescents qui entrent dans l’âge adulte ensemble et qui finissent par s’oublier l’un l’autre.

Je me suis oubliée et j’ai fini par être profondément malheureuse dans cette histoire. Je ne pouvais plus être avec lui, mais j’étais parfaitement incapable de vivre sans lui. »

Son premier amour et elle ont finalement rompu.

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Des premiers amours… uniques

Pour certaines, le premier amour fut cependant « le bon » ! C’est le cas pour cette madmoiZelle, même si cela n’a pas forcément été simple :

« Mon premier amour, c’était un garçon dans ma classe en troisième. Je venais de déménager en pleine campagne à l’autre bout de la France. Venant de Paris, je faisais l’objet d’une grande fascination de la part de mes nouveaux camarades de classe, sauf d’un garçon qui n’en avait rien à faire de moi. Et bien sûr, c’est de lui dont je suis tombée folle amoureuse, dès le jour de la rentrée.

Dès que je posais le regard sur lui, c’était comme si je me téléportais dans un sauna.

Dès que je posais le regard sur lui, c’était comme si je me téléportais dans un sauna : j’avais soudain extrêmement chaud, je devenais rouge tomate, mon cœur battait la chamade.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai découvert le désir : ça me faisait tout drôle quand je croisais son regard et je ne comprenais pas ce qui m’arrivait…

Nos échanges pendant un an n’ont pas dépassé le stade de « On est quel jour ? T’as pas une copie double ? », mais mon amour pour lui continuait à grandir, sans que je comprenne bien pourquoi.

À l’époque ça ne me venait même pas à l’esprit de lui déclarer ma flamme : c’est comme si je me contentais parfaitement de frôler son coude une fois par semaine en cours de musique, j’étais comblée par ces petites choses. »

Au fil du temps, il lui devint cependant impérieux de faire quelque chose.

« Et puis nous sommes partis dans deux lycées différents et là j’ai réalisé que c’était un peu la fin du monde. Je me suis inscrite à toutes les activités auxquelles il participait pour continuer à le voir régulièrement (la fille à peine flippante), mais ça ne me suffisait plus.

Je n’arrivais plus à faire quoi que ce soit sans penser à lui ; ça devenait maladif, je ne pouvais plus garder ça pour moi.

Du coup au courant de l’année de seconde, j’ai profité d’un devoir de français dont le sujet était « écrire un poème sur quelqu’un » pour mettre des mots sur ce que je ressentais pour ce garçon (j’ai eu la meilleure note de la classe héhé), et je lui ai envoyé le poème, tenez-vous bien, par MSN. Comble du romantisme.

Il m’a tout de suite répondu qu’il n’était pas du tout intéressé par une relation en ce moment et qu’il attendait de trouver la bonne personne pour lui ouvrir son cœur (et en plus il était sûr que je n’avais pas pu écrire ce poème moi-même, sympa le mec)… Le gros râteau.

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Pour ne pas montrer à qui que ce soit à quel point mon cœur était brisé, je me suis mise en couple avec un pauvre garçon amoureux de moi depuis très longtemps et pour lequel je n’avais absolument aucun sentiment, la pure relation pansement quoi.

Et là d’un coup, monsieur « j’attends-la-bonne-personne » s’est rendu compte qu’il était sans doute passé à côté de quelque chose et s’est mis à me faire une cour ininterrompue pendant un an, au bout duquel j’ai fini par rompre avec monsieur « pansement » pour enfin sortir avec mon premier amour.

Il avait pris son temps mais avait finalement réalisé que la bonne personne, c’était moi.

On s’est mariés cette année.

C’était il y a cinq ans, et on s’est mariés cette année.

Pour moi, le premier amour a tout de suite été « le bon », même s’il a fallu quelques péripéties et deux ans avant que cela ne se transforme en une vraie relation. »

Le premier amour, cette personne inoubliable

Une chose est sûre pour les madmoiZelles : elles n’oublieront pas leur premier amour. Juliette explique :

« Mon premier amour représente une certaine candeur que j’ai bien vite perdue en quittant le lycée, un amour qui fait presque mal voire qui fait peur lorsqu’on voit l’emprise que l’autre a sur soi (étant une control freak, ça n’a pas toujours été facile pour moi).

Mais ça représente aussi une partie de ma vie sur laquelle j’ai tourné la page, et j’espère m’épanouir avec d’autres personnes maintenant.

Cela dit, je pensais que j’aurais toujours un petit pincement au cœur en le croisant, parce que malgré tout, il restera le premier amour de ma vie. »

Laëtitia conclut :

« Aujourd’hui, mon premier amour représente les premières expériences, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, mais aussi les premières grosses erreurs, les premières grosses tensions. Cette relation représente toutes les fautes que je ne veux plus reproduire. Elle m’a appris ce qu’est réellement l’amour, ce que ça implique et l’engagement qu’on y met aussi. »

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Les Commentaires

1
Avatar de Chlo0
4 avril 2017 à 16h04
Chlo0
Tiens, aucune réaction sur cet article ...
Mon premier amour ... Grand, cheveux noirs, yeux vert-gris, un sourire à tomber par terre.
On s'est rencontré dans une association de musique dont on faisait tous les deux partis. Au début, je ne l'ai pas vraiment calculé. J'étais avec mon premier copain à cette époque. Malheureusement, il vivait loin de chez moi (200 km, mais quand on a 14 ans, autant vivre sur la Lune !). Ce garçon, C., s'est montré gentil et doux avec moi. Il était un peu plus âgé, 16 ans. Je me sentais bien à lui parler, on était devenu proche, au point de guetter avec impatience les soir où ma mère m'autorisait à me connecter sur l'ordi et les mercredis aprem' où l'on pouvait passer des heures à se raconter nos vies.
Adolescente mal dans ma peau, harcelée au collège, avec un petit copain loin et peu présent, je trouvais quelqu'un qui m'accordait de l'importance.
L'amitié est devenue de l'amour sans que je m'en rende compte. Avec R., mon petit copain, les choses se sont envenimés, je trouvais qu'il ne m'accordait pas suffisamment d'intérêt, j'avais le sentiment de ne pas compter. Et tout au fond de moi, le sourire si doux de C. me hantait. Il n'était pas spécialement beau mais je le trouvais drôle, incroyablement intelligent et très attachant.
Il m'a fallut du temps pour l'admettre, malgré l'insistance de mes amies.
Et puis, l'admettre, c'était prendre le risque de voir notre amitié se dégrader ...
Un jour, n'y tenant plus, je lui ai tout avoué. Sur MSN (oui, oui, le cliché).
Râteau.
Le râteau le plus dur de toute ma vie, j'avais le sentiment de suffoquer, de ne plus voir clair. C'était physique tant la douleur m'a assommé. Je ne pensais pas l'aimer à ce point, ça me faisait peur.
Je l'ai aimé pendant trois ans. Trois années chaotiques où je lui faisais des scènes ridicules, trois années où j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps ; aujourd'hui encore j'ignore comment faisait mes amis pour me supporter, j'étais une loque.
Et ça a brisé notre amitié.
Tout ça, c'était il y a quatre ou cinq ans. Je me trouve un peu idiote de me mettre dans des états pareils pour quelqu'un qui ne m'a jamais désiré et en même temps, j'étais tellement amoureuse ...
On est plus en contact aujourd'hui et si j'éprouve toujours une certaine tendresse pour lui, je sais que je ne veux plus qu'il fasse partie de ma vie. Mais il m'a fait grandir, devenir celle que je suis aujourd'hui.
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