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Bien-être

« On souffre en silence » : 3 femmes nous parlent sans tabou de leurs douleurs menstruelles

Elles ont entre vingt et trente ans et partagent une réalité commune : des douleurs de règles qui perturbent leur quotidien. Entre souffrances, effets secondaires des traitements hormonaux, et quête d’alternatives moins invasives. Trois femmes nous racontent leurs parcours pour que les douleurs menstruelles ne soient plus minimisées.

Si les règles et leurs douleurs ont longtemps été un sujet invisibilisé, les lignes commencent à bouger. Le remboursement des protections périodiques réutilisables pour les moins de 26 ans marque un tournant dans la prise en charge des menstruations, tout comme une meilleure connaissance de maladies comme l’endométriose, encore méconnue et sous-diagnostiquée il y a quelques années à peine.

Mais en parallèle de ces avancées, de nombreuses femmes continuent de subir des règles douloureuses et des dérèglements hormonaux, parfois peu compris par le corps médical ou l’entourage. Heureusement, dans cette quête d’un meilleur équilibre menstruel, il existe des alliés naturels comme le complément alimentaire ENDOMELIA d’ISN qui peuvent faire la différence.

Jongler entre douleurs et effets secondaires

Trouver le bon équilibre entre des symptômes menstruels imprévisibles et les effets secondaires d’une pilule souvent prescrite très tôt, par facilité, c’est presque mission impossible ! Sonia, 19 ans, peut en témoigner. Après être récemment passée au stérilet en cuivre, elle a découvert des règles devenues « beaucoup plus abondantes et douloureuses », surtout le deuxième jour, où la douleur est si intense qu’elle se retrouve « limitée dans ses fonctions ». Pourtant, pas question pour elle de revenir à une contraception hormonale. Sautes d’humeur constantes ou « une journée seulement de douleurs » ? Elle a choisi son camp !

« Quand j’étais sous pilule, je n’avais plus de règles, mais je ressentais des vertiges et j’avais complètement perdu ma libido », raconte Elisa, 25 ans. Elisa, qui a arrêté la pilule après six ans d’utilisation, a retrouvé un cycle très irrégulier et des règles extrêmement douloureuses, bien plus que lorsqu’elle était ado. Bien que les choses se soient aujourd’hui régularisées, son syndrome prémenstruel reste contraignant : « c’est vraiment deux à trois jours où je vais être irritable et très fatiguée ».

Marion, 35 ans, n’est pas non plus épargnée par ces montagnes russes menstruelles. Diagnostiquée avec un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et une endométriose modérée, elle se rappelle les règles irrégulières et hémorragiques de son adolescence, accompagnées de douleurs qui la clouaient au lit pendant des jours. Aujourd’hui, même avec la pilule microdosée, ses règles durent encore sept jours, et des symptômes comme des vomissements et des « coups de poignard » au niveau du vagin s’invitent chaque mois, malgré la prise d’antidouleurs.

Un accompagnement médical encore hésitant

Le parcours médical de ces trois femmes montre à quel point il peut être difficile de trouver des praticiens à l’écoute et formés. Marion évoque son premier gynécologue, qui « était super, mais n’avait pas de connaissance avancée sur le sujet des douleurs menstruelles ». Il ne s’est donc pas vraiment inquiété de ses cycles irréguliers et de ses règles hémorragiques. Ce n’est qu’après avoir consulté une sage-femme en 2014 que les choses ont enfin bougée. « Elle m’a dit que ce n’était pas normal », explique-t-elle. Après des examens, le diagnostic est tombé : SOPK et endométriose. Marion se souvient que le gynécologue qui a confirmé le diagnostic « l’a fait rapidement sans explication ». Heureusement, la sage-femme a pris le temps de l’accompagner et de la rassurer sur la suite.

Pour Sonia, c’est surtout le sentiment de ne pas être prise au sérieux qui l’a marquée. Après avoir décrit ses douleurs récurrentes à sa gynécologue, elle a le droit à un « ce n’est pas grave » doublé d’une réflexion sur son alimentation « de jeune qui mange sûrement n’importe comment ». Depuis, elle préfère gérer ses douleurs seule avec de l’ibuprofène, bien que cela ne soit pas toujours suffisant.

Les alternatives naturelles : alliées contre la douleur

Démunies face à un manque d’accompagnement et d’écoute, et de plus en plus conscientes des effets secondaires de certains traitements, elles alternent avec des solutions naturelles pour soulager leurs symptômes. Sonia, par exemple, a remarqué que courir le premier jour de ses règles, lorsqu’elle en a la motivation, peut parfois rendre le deuxième jour moins douloureux. Marion, quant à elle, se fait couler de longs bains chauds pour apaiser ses douleurs. Elisa, elle, ne jure que par sa bouillotte lors des journées difficiles.  Et contre les grosses fatigues et le moral en berne pendant son SPM ? Elle n’a pas trouvé mieux que les cures de compléments alimentaires, surtout ceux à base de rhodiole. Depuis qu’elle en prend « c’est le jour et la nuit, certains mois je ne réalise même pas que mon SPM est passé par là. ».

Dire bye-bye aux douleurs naturellement ? C’est possible.

Le complément alimentaire ENDOMELIA, développé par la marque ISN, associe des actifs de plantes aux propriétés anti-inflammatoires et apaisantes prouvées comme le Safran, le Gattilier, la Rhodiole et l’Alchémille ainsi que le PEA qui est un ingrédient clé pour agir sur les douleurs.

Grâce à des ingrédients naturels tels que le Resvératrol, le NAC ou encore le PEA, ENDOMELIA contribue à réduire les douleurs, apaiser les inflammations, et rétablir l’équilibre émotionnel dès le premier cycle.

Et ça marche ! Une étude menée auprès de plus de 100 femmes a montré une amélioration significative de leur confort menstruel dès la première utilisation. Une approche globale et naturelle pour vivre plus sereinement son cycle menstruel au quotidien ? On dit oui !

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Découvrez le complémentaire alimentaire Endomelia d’ISN

La normalisation de la douleur des femmes

Pour Marion, l’idée que les douleurs de règles soient normales est presque héritée. Elle se souvient que sa mère « a toujours été arrêtée et au lit pendant ses règles » et que c’était « un sujet qu’on taisait ». Cette vision a influencé sa propre perception de ses douleurs, jusqu’à ce qu’elle découvre que ses symptômes n’étaient pas simplement quelque chose à supporter en serrant les dents. « Il faut absolument consulter si tu sens une douleur persistante », conseille-t-elle aujourd’hui.

Elisa, de son côté, se sent presque chanceuse face aux douleurs modérées qu’elle vit. « C’est triste, mais je me dis souvent que j’ai tiré le gros lot, » confie-t-elle, en comparaison de ses amies qui sont pliées en deux tous les mois ou souffrent d’endométriose. Pourtant, la douleur menstruelle ne devrait jamais être prise à la légère. La solution ? Trouver des professionnel·le·s de santé spécialisé·e·s, et continuer à briser les tabous autour des menstruations et des douleurs des femmes. Rien ne justifie de rester dans la souffrance, et il est important de rappeler que de nombreuses solutions existent aujourd’hui.

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