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Vie quotidienne

Nina parle de sa rencontre avec Raiponce, sa princesse alter ego

Sur madmoiZelle, Juliette te présente des lectrices inspirantes ayant un lien fort avec leurs princesses préférées. Et c’est au tour de Nina de raconter comment elle s’identifie à l’adorable et courageuse Raiponce.

En partenariat avec Disney (notre manifeste).

« Je n’ai peut-être pas de cheveux magiques, mais Raiponce et moi nous ressemblons beaucoup. »

Nina n’a clairement pas la même longue chevelure blonde de la princesse Raiponce, mais toutes les deux pourraient être sœurs de cœur.

À 27 ans, la jeune réalisatrice de dessins animés et illustratrice multiplie les passions.

Lorsqu’elle m’énumère ses différents hobbies, je ne peux pas m’empêcher de penser à la scène d’introduction du film Raiponce.

La rencontre avec Raiponce avant la sortie du film

La première fois qu’elle apprend son existence, c’est sur Internet.

« J’ai découvert Raiponce avant la sortie du dessin animé.

C’était la première princesse en animation de synthèse et dès que j’ai vu les première images dévoilées par Disney, j’ai trouvé ça très joli. »

En 2011, Nina décide de rencontrer Raiponce au cinéma, elle est alors âgée de 20 ans. Elle se souvient :

« J’ai grandi avec Disney, mais j’aimais autant Hercule et Le Roi Lion que des princesses comme Mulan et Pocahontas.

Quand j’ai choisi d’aller voir Raiponce au cinéma, je venais tout juste d’arriver à Paris pour suivre mes études. »

Dès les premières minutes du film, Nina s’identifie.

Elle est conquise :

« En regardant la première scène avec la chanson « Où est la vraie vie », je me suis dit : ok c’est moi en fait, on est train de raconter l’histoire de ma vie. »

Raiponce, c’est l’histoire de ma vie !

Évidemment, Nina ne vit pas enfermée dans une tour, retenue par une fausse mère égoïste qui l’empêche de sortir à cause de tous les dangers de dehors.

Au contraire, elle a grandi entourée d’une famille aimante à l’air libre de la campagne.

« Mes parents sont des gens de la ville qui ont repris une ferme dans laquelle j’ai vécu toute mon enfance. Nous vivions près d’une grande ville donc je n’ai pas grandi dans un patelin perdu. »

Son père et sa mère ont toujours tenu à ce que leurs enfants soient habité·es d’une curiosité insatiable.

Si ses frères et sœurs se sont lancés sur des parcours scientifiques, Nina a préféré goûter à l’univers des arts.

Petite, les loisirs créatifs étaient son quotidien :

« Mon pire ennemi, c’était de m’ennuyer et c’est encore le cas aujourd’hui. Je devais et je dois nourrir cette envie de faire des choses.

Enfant, je dessinais (et j’ai beaucoup, mais vraiment beaucoup dessiné), j’inventais des histoires, j’écrivais, je faisais de la couture, je bricolais, j’essayais toutes les activités manuelles possibles.

Je créais des choses comme de petits animaux avec un bouchon et un bout de bois, je confectionnais des bijoux en perles… »

Raiponce, coincée dans sa tour, rythme ses journées de mille et unes activités, tout comme Nina qui redoute plus que tout l’ennui.

Grandir et affûter sa curiosité

L’enfance de Nina semble bien douce : éduquée par des parents agriculteurs, elle n’a jamais été fermée à la culture.

En parlant de ses parents, elle raconte :

« Mon père et ma mère nous ont encouragés mes frangins et moi à découvrir des choses qui nous plaisaient, on pouvait changer d’activité quand on le voulait.

Par exemple, j’ai toujours dessiné et j’ai commencé à prendre des cours à côté du lycée.

En activités extra-scolaires, j’ai fait de la musique, pratiqué tous les sports possibles, du judo à l’escalade, même de l’équitation. Chaque année, je souhaitais connaître un nouveau loisir. »

Concernant l’art et la curiosité, elle pouvait compter sur son papa, passionné de musique.

Pour elle, ses deux parents ont joué un rôle clé dans la passion qui l’anime aujourd’hui.

Elle ajoute :

« Ils nous ont apporté de la curiosité.

Cela nous a permis de vouloir toujours plus apprendre de choses et de vouloir les comprendre. »

Nina, jeune passionnée et positive

Raiponce n’a clairement pas grandi aussi entourée que Nina.

Alors qu’est-ce qui les rapproche mises à part toutes les passions qu’elles accumulent ?

D’abord, la jeune femme possède ce caractère positif et très actif qu’a également la princesse coincée dans sa tour.

« Je ne peux pas rester sans rien faire plus de quelques minutes. Je ne suis pas d’un naturel calme. »

Nina trouve un certain apaisement dans la pratique de son métier d’animatrice de dessin animé.

Un métier qu’elle décrit comme méticuleux et qui nécessite patience et rigueur.

« J’ai été la première étonnée à constater que j’aimais l’animation malgré toute la patience que cela requiert. Je peux passer des heures à travailler sur seulement deux secondes d’images sans broncher.

Le sentiment de satisfaction une fois que les deux secondes d’animation sont achevées est très fort et unique. »

Quitter sa tour et voir l’extérieur

Avec un sens de la créativité très développé et ce côté dynamique et toujours enjoué, Nina incarne parfaitement la princesse Raiponce.

Mais comme la jeune princesse, l’animatrice et dessinatrice n’affronte pas le monde extérieur sans peur, ni appréhension.

« Les nouvelles étapes de ma vie sont des moments qui me paralysent. Aller au lycée, quitter ma ville pour aller faire une école d’art à Paris.

À chaque fois, il y a eu une méchante belle mère dans ma tête pour me dire que je n’allais pas y arriver, que j’allais me faire bouffer au bout de deux minutes. »

Quand elle vit ces instants angoissants, Nina se rappelle l’humeur indécise de Raiponce une fois qu’elle sort de sa tour.

Une minute elle est ravie de découvrir le monde autour d’elle, celle d’après la voici qui s’effraie à la moindre petite bête cachée dans un buisson.

Pour Nina, la solution à ses craintes c’est de se lancer aidée par ses proches :

« Une fois partie et dehors, je suis très contente ! Il faut juste qu’on me pousse un peu. »

La tour de Nina n’a rien à voir avec celle de Raiponce. Elle n’est pas cachée au fond d’une clairière et ne mesure pas plusieurs dizaines de mètres de haut.

« Ma tour à moi, c’est la bulle dans laquelle je m’enferme, avec mes passions, mes histoires et mon imagination. »

Raiponce m’accompagne et me motive

Raiponce résonne en elle de temps en temps, en particulier lors des moments de mous que vit Nina :

« Elle m’accompagne, je pense à elle parfois. Je regarde le dessins animés pour me motiver un coup. Sa détermination et son énergie m’inspirent. »

Nina n’a pas d’objectif clair et précis. Elle voudrait toucher à tout, et sa situation de freelance lui permet de ne pas se fermer à d’autres activités que le dessin et l’animation.

« C’est un peu effrayant d’être indépendante parce que je me dois d’être très autonome financièrement. Mais j’ai accès à une liberté qui m’est chère. »

Raiponce, quant à elle, garde un objectif en tête : voir les lanternes dans le ciel, le jour de son anniversaire.

Mais comme Nina, elle ne se ferme jamais à la découverte du monde et fait confiance à sa curiosité.

« Certes, elle a un rêve, mais tout a un intérêt. En chemin elle va chanter avec des bandits au grand cœur, elle va danser, prendre un bon repas, rencontrer les gens de la ville, visiter de nouveaux lieux…

Elle aspire à tout découvrir et c’est ça le modèle à suivre je pense. Profiter du voyage autant que du but à atteindre. »

Pour Nina, le voyage s’annonce encore passionnant.

À lire aussi : Aurore de la Belle au Bois Dormant, une princesse moderne qui inspire Héloïse !

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