Une femme sur 10 est atteinte d’endométriose. Pour en parler, le hashtag #1in10 s’élève sur les réseaux depuis le 1er mars, premier jour du mois de sensibilisation à l’endométriose.
Le samedi 24 mars c’est la journée internationale de sensibilisation et d’information sur l’endométriose.
Une grande marche est organisée dans les grandes villes du monde entier.
Plus d’infos sur Endomarch France et Endomarch.org pour celles et ceux qui ne sont pas en France et mais qui voudraient soutenir la cause.
L’endométriose, c’est une maladie qui a été maintes fois abordée sur madmoiZelle.com. Sauf que l’ignorance autour de cette pathologie continue d’handicaper le quotidien de nombreuses personnes.
Nombreuses, oui, puisqu’une femme sur dix est atteinte d’endométriose, et l’ignore parfois.
Avec le hashtag #1in10, les #endogirls veulent donner une visibilité supplémentaire à l’endométriose sur Internet et sur les réseaux sociaux.
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Oui, ça fait beaucoup de hasthag, mais pas de panique, je vous explique.
Les #endogirls, ou #endowarrior sont les personnes atteintes d’endométriose sur les réseaux sociaux.
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Il s’agit souvent de femmes, mais plus globalement de tout individu qui a des règles.
Quant au hashtag #1in10, il traduit cette statistique qu’1 femme sur 10 se trouve touchée par l’endométriose.
À l’heure où j’écris ces lignes, #1in10 fait l’objet de 11 846 publications sur Instagram.
Il pullule sur les timelines depuis le 1er mars, premier jour du mois de sensibilisation à l’endométriose (EndoMarch), et à quelques jours du début de la semaine européenne d’information et de prévention de la pathologie.
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Au fil des publication, je découvre que les femmes peuvent être une #1in10, vos épouses aussi, vos filles, vos sœurs et vos amies peuvent être des #1in10.
#1in10 : utiliser les réseaux sociaux
Emma, parisienne, a rejoint l’initiative. Sur son post #1in10, elle raconte ressentir des douleurs pendant ses règles depuis quatre ans, mais n’a obtenu son diagnostic qu’en novembre 2017.
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Elle a répondu à quelques unes de mes questions et m’explique avoir découvert #1in10 dans fil d’actu Instagram. Elle a voulu marquer le coup à son tour pour le premier jour d’EndoMarch. Elle m’écrit :
« Plus on en parle, plus on avance. J’ai un trio d’amies qui souffrent lors des règles et qui pensent que c’est normal… Il faut en parler, dès le collège. »
Et les réseaux sociaux servent aussi à cela : à diffuser des histoires à une audience la plus large possible qui ne serait pas au courant de l’existence de la pathologie.
C’est ce que pense Emma :
« Ce genre de campagne fonctionne parce que ça fait *tilt* dans la tête des gens. J’ai reçu plein de messages après ce post, dont celui d’une personne qui m’a confié n’avoir jamais entendu parlé de l’endométriose alors qu’elle a plusieurs symptômes… Elle compte aller voir un spécialiste pour en savoir plus. »
Si un simple hashtag peut libérer la parole sur une maladie méconnue, il est capable aussi d’attirer la curiosité et de pousser les gens à se renseigner. Et c’est déjà pas mal.
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