Le 23 mai 2015 : Ça y est, le clip d‘Allongés dans l’herbe est sorti ! Extrait du nouvel album de Thomas Dutronc, il nous plonge dans un mariage tout en danses joyeuses et en pastels vaporeux… Avec un refrain qui reste en tête !
On en sait également plus sur l’album qui sort dans deux jours, le 25 mai ! Il s’intitule Éternels jusqu’à demain, un titre aussi mélancolique que celui du premier extrait. Rendez-vous lundi pour le découvrir !
Le 31 mars 2015 : Un deuxième extrait du nouvel album de Thomas Dutronc est dispo à l’écoute ! Il s’appelle Allongés dans l’herbe, et cette fois, le retour de la guitare manouche dans ce nouvel opus est auditivement confirmé. Pour l’instant, seul un teaser de 51 secondes a été dévoilé, mais la vidéo me donne déjà envie d’être en été. Elle ressemble à un film de vacances tourné à l’aide une vieille caméra, avec ce qu’il faut de palmiers, de grain dans l’image et de couples amoureux.
Le 6 mars 2015 : Thomas Dutronc est de retour, et ça, ça fait plaisir à entendre, dans tous les sens du terme. Le fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy sort un nouvel album le 25 mai prochain, et joue sur le mystère pour tes mirettes et tes oreilles. Il n’a annoncé aucun titre, ni pour l’album ni pour les chansons qui vont le composer, mais a dévoilé un premier teaser sous forme de clip où l’on entend un extrait d’un morceau !
La vidéo a été réalisée par Yann Orhan, et l’on y voit le visage de Thomas Dutronc (jusque là, ça paraît logique) mêlé à des plans de Londres. Le tout est tourné dans une atmosphère assez brumeuse, à base de lumières de rue, de vues du London Eye, et avec beaucoup de grain dans l’image, ce qui donne un côté un peu vintage façon appareil photo argentique.
Les paroles entendues sont celles d‘une chanson de Léo Ferré, Est-ce ainsi que les hommes vivent, elle-même inspirée par une strophe d’un poème de Louis Aragon, Bierstube Magie allemande :
« Tout est affaire de décor Changer de lit changer de corps À quoi bon puisque c’est encore Moi qui moi-même me trahis Moi qui me traîne et m’éparpille Et mon ombre se déshabille Dans les bras semblables des filles Où j’ai cru trouver un pays »
Tout ceci ne m’éclaire guère : Thomas Dutronc a-t-il décidé de se lancer dans un hommage à la chanson française ? Quoiqu’il en soit, ce premier titre change un peu : plus chanté que ceux des précédents albums de Thomas Dutronc, il n’a plus grand-chose à voir avec le Manouche sans guitare des débuts, et j’avoue avoir hâte d’en savoir plus sur le contenu exact du disque !
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