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Nos Racines — Nancy Drew, normande à moitié allemande

Nancy Drew est née en Normandie d’une mère allemande et d’un père français. Son rapport à ses racines allemandes a été assez compliqué, et il lui a fallu du temps pour bien les appréhender.

Ma mère est née en Allemagne et mon père en France. Ils se sont rencontrés en Écosse, alors qu’ils étaient chacun•e en vacances avec leurs ami•e•s respectifs. À force de se croiser dans les mêmes campings, ils ont fini par se rapprocher à la faveur d’un orage qui a détruit la tente de ma mère et de ses amies.

Puis chacun-e est reparti dans son pays : mon père en Normandie, ma mère à Francfort où elle faisait ses études. Quelques temps plus tard, après de nombreux allers-retours (et des lettres écrites en anglais), ma mère est venue vivre en France.

Un rapport distant et compliqué à l’Allemagne

Je suis née et j’ai été élevée en Normandie, près de la côte, où l’on est imprégnés très jeunes par toutes sortes d’histoires autour de la Seconde Guerre Mondiale, en particulier l’occupation, la résistance et le débarquement.

Pendant mon enfance, je ne connaissais que très peu de choses de l’Allemagne : les deux guerres mondiales, la région de la Forêt Noire (près du Titisee pour celles et ceux qui connaissent) où nous passions nos vacances de ski et la petite ville de mes grands-parents sur les bords du Rhin, à la frontière hollandaise (29 000 et quelques habitants, mais ça a dû baisser depuis…).

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Je n’ai pas la double nationalité parce que ma mère a été automatiquement naturalisée en se mariant. Sur le moment, comme on ne lui a pas donné les informations nécessaires pour garder sa nationalité allemande, elle n’a pas cherché plus loin.

Et puis elle avait autre chose à faire ; apprendre le français et les mœurs des copains de rugby de mon père, par exemple. Au début, elle nous parlait en allemand, mais on a complètement arrêté à la maison quand je suis entrée au CP, parce que mon père pensait que cela freinerait mes performances scolaires — ce n’était pas encore la « mode » des enfants bilingues.

Mon frère n’avait que 3 ans, il a donc encore moins profité de son début de bilinguisme. Par contre, il fait quand même moins de fautes de grammaire que moi (même s’il a moins de vocabulaire, héhé) !

Nous ne voyions mes grands-parents que quatre fois par an, pendant les vacances scolaires, donc on ne parlait pas allemand très souvent. Mes parents étant tous les deux enfants uniques, nous n’avons pas d’oncles, tantes ou cousins qui auraient pu nous faire découvrir plus de choses sur l’Allemagne moderne.

À lire aussi : Un semestre à Göttingen – Carte postale d’Allemagne

Un lien qui subsiste

Mes grands-parents allemands sont très différents de ma grand-mère française. Déjà, elle était beaucoup plus âgée qu’eux, donc elle ne pouvait pas faire les mêmes choses. Mais aujourd’hui encore, pour moi, un parent/grand-parent français donne des sous et fait des blagues pourries et des leçons de morale, alors qu’un parent/grand-parent allemand te raconte des histoires et fait plein d’activités avec toi (genre des biscuits de Noël ou un bateau à moteur).

Quand j’ai commencé l’allemand au collège (en sixième et en classe européenne, faut pas déconner non plus), on m’a fait remarquer que je parlais un allemand dialectal typique de la région de mes grands-parents, et avec un vocabulaire de personne âgée. Yeah !

Pourtant, je regardais souvent ça :

J’étais SUPER FAN de l’éléphant bleu, j’avais même un porte-clé ! J’aimais d’ailleurs plusieurs dessins animés allemands.

Et au lieu des films de Noël dont parlait Sophie l’autre jour, moi en Allemagne, je regardais les adaptations des contes des frères Grimm, pour cultiver ma fibre romantique ainsi que mon goût pour les sorcières, et des romans d’Astrid Lindgren comme Pippi Langstrumpf qui m’a fortement donné envie de devenir pirate, et ça :

https://youtu.be/UpU8KuwcMpY

C’est bien Fifi Brindacier, et j’ai été très choquée par le nom français, bien que je sois consciente que le nom allemand porte quand même à confusion. Son nom complet est en effet Pippilotta Viktualia Rollgardina Pfefferminz Efraimstochter Langstrumpf.

J’ai eu beaucoup de mal avec la lecture en allemand. Je sais lire, bien sûr, mais j’ai un blocage que je n’ai absolument pas en anglais. Je dois faire beaucoup d’efforts pour lire, donc je lis surtout des magazines (au début c’était Bravo mais aujourd’hui c’est plutôt Neon, dont il existe d’ailleurs une version française depuis mars 2012).

Par contre, en musique, à part les concerts d’André Rieu que je me suis souvent tapé quand j’étais chez mes grands-parents et la retransmission des soirées du Carnaval de Cologne, j’ai dû me débrouiller toute seule, assez tardivement (notamment grâce à Bravo et MTV). Et j’ai notamment découvert ça (merci MTV) :

Je regrette aujourd’hui de ne pas avoir fait plus d’efforts (surtout en grammaire) et demandé plus à mes parents de mieux connaître la culture allemande ; j’ai l’impression d’être très en retard par rapport à d’autres franco-allemands que j’ai pu rencontrer au cours de ma jeune vie.

Les racines et les autres

Un point de discorde régulier avec mon père à partir du lycée a été qu’il n’accepte pas qu’on continue à parler allemand avec ma mère. Pendant longtemps, j’ai eu un peu honte d’être différente. Je l’étais déjà dans d’autres domaines, je trouvais que ça faisait beaucoup.

Je collais aux clichés qu’on se faisait sur les Allemandes, au moins physiquement : j’étais blonde, j’avais des yeux clairs avec une grosse poitrine… alors qu’en fait, je ressemble bien plus à la famille de mon père. En plus, en Normandie où les enfants connaissaient très jeunes beaucoup d’histoires sur les nazis, ce n’était pas tous les jours facile.

Attention, je n’ai pas subi de violences, verbales (sauf quelques blagues débiles qui ne m’ont pas vraiment gênée parce que je les trouvais débiles, justement) ou physiques. Mais j’avais conscience que d’un côté, mon grand-père cherbourgeois avait combattu dans la marine française, et que de l’autre mon grand-père allemand avait été dans les Jeunesses hitlériennes. Et mes arrières-grands-pères avaient également combattu les uns contre les autres, et ils étaient TOUS revenus vivants de la Grande Guerre (même si plus ou moins abîmés par les gazs des tranchées). J’avais donc les deux sons de cloche.

Si maintenant je considère tout ça comme une richesse, à l’époque c’était déroutant, surtout quand on comparait les photos et avec ce qu’on apprenait à l’école — du style les Allemands sont tous des méchants. Eh oui, c’est assez dur d’être diplomate et d’avoir du recul quand on est gamin ! D’ailleurs, cette situation m’a tellement perturbée que le premier livre que j’ai terminé en allemand avait pour sujet la jeunesse sous le règne d’Hitler.

À lire aussi : Une année Erasmus à Munich #1 — Les préparatifs

Une identité riche

Ce livre, écrit par une Américaine, décrivait les différents groupes de jeunes pendant le IIIè Reich : les Jeunesses Hitlériennes et les juifs bien sûr, mais aussi les communistes, les jeunes handicapés… et les résistants de la Rose blanche (et ça, c’était cool !).

En fait, je pourrais écrire tout un article rien que sur ce que j’ai pu apprendre sur les êtres humains en général grâce à l’expérience de mes grands-parents des deux côtés pendant cette période.

Très tard, j’ai continué à dire que j’étais normande ou européenne, avant d’être française ou allemande. Ça m’évitait de choisir. Ça aurait été aussi débile que demander quel prénom de mon prénom composé (oui, j’ai aussi eu droit au prénom composé, merci la vie) je préfère. Ah ben tiens, en fait on me les a sorties toutes les deux ces questions-là…

Au collège, j’ai eu la chance de partir en échange scolaire dans notre ville jumelée dès la sixième, et également en Autriche en quatrième. J’ai ainsi découvert les hits musicaux en Allemagne, éléments incontournables qui m’ont permis de nouer des liens durables avec mes congénères adolescents, comme par exemple

Das Bo dont je vous ai parlé plus haut ou Fünf Sterne Deluxe, une chanson que j’aime toujours.

C’était assez la classe de savoir traduire Rammstein à 14 ans, je dois l’avouer… Il y a de très belles chansons d’ailleurs, comme Spieluhr, qui parle d’un enfant qu’on enterre mais qui en fait n’est pas mort, et qui fait jouer sa boîte à musique qu’on a enterrée avec lui pour qu’on le sorte de la tombe. Et on l’entend jouer dans la nuit. C’est un peu creepy mais c’est beau.

J’ai appris beaucoup de vocabulaire cool (mais difficile à utiliser si on veut rester poli•e) en traduisant leurs chansons pour mes copains. C’est (re)devenu l’une de mes cultures. À 15 ans, j’ai commencé à passer une partie de mes vacances d’été chez ma marraine allemande à Francfort (mon parrain, lui, est français), et surtout avec sa nièce qui avait mon âge et était très cool (et l’est toujours, d’ailleurs !).

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Grâce à elle, j’ai inauguré ma première cuite (à la bière) cette année-là dans un Klub de Darmstadt, Die Krone. J’y suis retournée dix ans plus tard, et rien n’avait changé — enfin je crois, parce que j’en tenais quand même une bien bonne mais j’ai su retrouver les toilettes !

S’éloigner de ses racines…

Et après ça, bon, ça ne s’est pas super bien passé entre l’Allemagne et moi. Enfin, surtout avec l’allemand — ce qui a beaucoup joué sur le rapport que j’entretenais avec mes racines. Au lycée, mes profs d’allemand n’étaient pas super motivants ni dynamiques. Alors que mes profs d’anglais, elles, l’étaient. Elles ont réussi à me passionner pour la culture anglophone, et je leur en serai toujours reconnaissante.

Plus tard, en prépa, je me suis retrouvée avec des profs d’allemand qui bloquaient complètement sur le fait que je faisais beaucoup de fautes de grammaire. Au lieu de m’encourager, de m’expliquer, ils me descendaient (prépa, mon amour). Ma prof d’anglais, encore une fois, était différente.

Elle a réussi à nous emmener deux jours à Londres alors qu’avec les profs d’allemand, on n’a fait qu’une pauvre journée à Cologne. Sans parler des œuvres au programme — romantisme allemand, tu auras ma mort. En khâgne, j’avais pris option allemand. Ça se passait tellement mal avec le prof qui nous insultait que j’ai arrêté d’aller en cours et au moment de rejoindre les bancs de la fac, j’ai décidé de faire une licence d’anglais…

Bon, cela reste l’un des meilleurs choix de ma vie ! Je me suis éclatée pendant des années. J’ai vécu à Chypre, en Irlande et au Royaume-Uni, rencontré des gens géniaux, adoré mes cours et ce que j’ai appris, et suis devenue complètement bilingue français-anglais. J’ai également travaillé pour un organisme de séjours linguistiques qui vendent des voyages en France dans des centres de loisirs animés par des « counselors » américains (et canadiens, australiens, néo-zélandais, britanniques…) pour favoriser l’immersion totale des enfants : interdiction de parler français, sauf en cas d’urgence !

Ce furent des expériences vraiment uniques, avec des gens qui sont encore mes amis aujourd’hui ! Mais à la fin de mon année en Angleterre où j’étais professeur stagiaire en LVE dans le secondaire, j’ai réalisé que je n’étais pas faite pour l’enseignement, ni pour vivre au Royaume-Uni. Deux de mes rêves s’écroulaient. J’avais 25 ans et j’étais complètement perdue.

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J’ai alors fait des recherches pour trouver un job d’assistante ou de lectrice en Allemagne, je ne sais pas vraiment pourquoi. Je crois que je voulais améliorer mon allemand, prendre l’air et mieux connaître mon deuxième pays. Et réfléchir à comment j’orienterais le reste de ma vie.

À lire aussi : J’ai testé pour vous… être prof stagiaire

…pour mieux les retrouver

J’ai fini par voir une annonce pour devenir lectrice FranceMobil ; j’ai postulé, j’ai été prise. Je suis partie pour Leipzig, où j’ai vécu un an. J’ai eu une chance extraordinaire, étant avec des colocataires géniales, dans un quartier parfait. J’ai rencontré des expatriés super. J’ai renoué avec le rugby, bossé pour plusieurs associations, visité l’Allemagne…

Mais surtout, je me suis retrouvée. J’ai découvert que tout ce qui, dans ma personnalité, dans mes attitudes, dans mes réactions me rendait différente en France n’étonnait personne en Allemagne. Le fait que je voulais prendre mon temps avant de « me poser », mon engagement associatif, mon amour pour la charcuterie au petit-déjeuner… Je comprenais enfin pourquoi je n’arrivais pas à rentrer complètement dans le moule.

Je ne veux pas dire que c’est nul d’être français, que les Allemands c’est mieux et que je me suis instantanément sentie à ma place en Allemagne ; j’ai juste rencontré ma partie de moi-même qui était allemande. Je ne passe pas pour autant complètement incognito en Allemagne non plus. En fait, je ne passe complètement inaperçue nulle part. Mais je l’ai compris, et accepté. Et maintenant, je l’assume !

Je suis plus ouverte, plus tolérante. J’ai une connaissance profonde de plusieurs cultures européennes. Je sais comment travailler avec des étrangers sans les insulter avec des clichés. Je suis particulièrement curieuse, enthousiaste et volontaire — et certainement bien trop idéaliste.

J’ai découvert d’autres styles musicaux comme Peter Fox ou Kraftklub :

Des gens qui disent que Berlin, en fait, c’est pas si original que ça.

J’ai expérimenté le barbecue dans les parcs municipaux parce que oui, en Allemagne c’est autorisé, les gens respectant bien plus leur environnement. J’ai constaté l’absence de harcèlement de rue au point que ça m’a presque manqué. J’ai vu une manière différente d’appréhender le rugby, surtout par rapport aux femmes, par rapport à celle que j’avais apprise pendant mon enfance. J’ai vu l’équipe nationale d’Allemagne en Coupe d’Europe contre la République tchèque. J’ai rencontré des gens pas nécessairement super ouverts mais tout de même curieux et intéressés, qui ne s’arrêtaient pas aux clichés sur les Français. Il y avait moins de machisme.

Des vêtements de toutes les couleurs, des vélos cool, des relations professionnelles moins minées par les préférences personnelles (en Allemagne, le boulot, c’est le boulot) que j’ai trouvées plus saines, le goût pour de la nourriture simple et des soirées pas trop compliquées, passées entre amis à papoter en buvant de la bière légère, des lectures en plein air, plus de cinéma en V.O… J’en passe et des meilleures, mais que de belles découvertes !

En rentrant, je suis passée par la Bavière et je me suis offert un dirndl, juste parce que j’étais contente d’avoir enfin retrouvé mes racines (même si on vient de la région de Cologne…).

À lire aussi : J’ai testé pour vous… être entraîneuse de rugby

Une double identité décisive

Depuis, j’ai fait un master d’experte en projets européens. J’ai passé six autres mois en Allemagne (deux en stage à Leipzig, quatre en Erasmus à Göttingen). J’ai organisé des rencontres franco-allemandes, j’ai pris des responsabilités au sein de mon club de rugby en France.

Je me dis que mon envie de voyager, de découvrir d’autres cultures vient aussi beaucoup du fait que j’en connaissais déjà deux à la base. Je cherche encore du travail mais j’y crois, car j’ai trouvé ma voie : faire en sorte que les gens comprennent ce que l’Union Européenne fait pour eux, et ce qu’ils peuvent faire pour en faire pleinement partie et l’améliorer. Je me suis dit qu’après tout, j’étais la parfaite représentante des pays fondateurs de l’UE…

Je ne sais pas où je vais vivre. J’ai plus d’attaches en France, mais l’Allemagne m’attire aussi. Je m’y sens aussi chez moi. J’ai 15 000 projets. Sans jamais oublier d’où je viens, ce que je suis sera toujours une richesse de plus que d’autres n’ont pas. Et que ça me rend bien plus forte que ce que je pensais.

À lire aussi : Nos Racines – Romy et ses grand-mères chinoises

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Les Commentaires

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Avatar de nezentrompette
30 novembre 2017 à 09h11
nezentrompette
Je suis française née de parents français, mais j'ai grandi à la frontière allemande et mes grands-parents paternels étaient français tandis que mes grands-parents maternels étaient allemands.
Je suis un joli mélange de France et de spécificités régionales saupoudrées d'une touche de culture allemande. (et je m'aime)
Je ne conçois pas de retourner dans ma région sans prendre la voiture et pousser jusqu'en Allemagne pour y passer au moins une journée (Trier, je t'aime) et pratiquer mon allemand que je perds et même que je le vis comme un drame.
Mais il y a aussi le côté sombre: moi aussi j'ai entendu des "ton grand-père c'était un boche" (y compris venant de mon grand-père français. Comment on dit "le cul entre deux chaises" en allemand?). Oui mon Opa était allemand, oui mon Opa a combattu dans l'armée allemande, mais bien avant la guerre mon Opa avait fait sa vie en France et avait eu 4 filles françaises. Quand une guerre éclate, peu importe tes opinions, c'est ta nationalité qui décide dans quel camps tu vas te battre et si tu veux protéger ta famille de toutes sortes de pression, tu t'y plies: mon Opa était un malgré-nous. Quand il est revenu de la guerre, dégoûté de ce que son pays d'origine avait fait, il a demandé à ses amis de franciser son nom quand ils s'adressaient à lui et a arrêté de parler allemand à ses filles. Mon Opa m'a appris qu'il ne faut jamais juger en masse, qu'au milieu du tout noir ou tout blanc il y aussi des taches de gris et que tant qu'on ne connait pas toute l'histoire d'une personne il vaut mieux s'abstenir de la condamner.
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