Barbès est l’un des quartiers les plus populaires de la capitale et où il n’est pas rare de trouver des contrefaçons de grandes marques. Monogrammes exclusifs « made in China », en banane ou en casquette, les marques de luxe sont contrefaites et des imitations plus ou moins grossières et bien souvent grotesques sont vendues à la sauvette. Marc Jacobs a-t-il voulu réagir, non sans humour, à ce phénomène ? Voici l’une de ses dernères créations pour Louis Vuitton: le cabas en toile Barbès, collection printemps/été 2007. Son prix ? 1 200€ et aucun doute sur ce sac, il est bien authentique, encore que sa toile s’inspire très (trop ?) largement des sacs des quartiers populaires… Et maintenant, qui imite qui ?!

Alors, classe ou pas classe ?