Les péripéties de ce pauvre chat ont déjà fait le tour du Web : il faisait sa cinquante-quatrième sieste de la matinée, pépère, sur une aile d’ULM… et soudain, il se réveille, et il est plusieurs centaines de mètres au-dessus du sol — parce que l’ULM, ben il vole (et ça, personne ne le lui avait dit). Chienne de vie, si j’ose dire.
Mascotte d’un club ULM ou pas, il n’est franchement pas rassuré, accroché qu’il est sur son aile en attendant que ces bipèdes stupides s’aperçoivent de leur boulette et le redescendent sur le plancher des vaches. Ce pauvre bébé me brise encore plus le coeur que lorsque mon chat saute dans un arbre pour taquiner les pies, avant de se rendre compte qu’il a le vertige. Angoisse fois mille, quand même, parce qu’un ULM vole un peu plus haut qu’un arbre.
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Mais que le monde et mon petit coeur se rassurent : le félin aérien, ramené à terre une fois que le pilote s’est rendu compte qu’il y avait un truc poilu sur l’aile, est retourné à ses croquettes sans encombres, et sans traumatisme. (Même si, à mon avis, il a changé de coin à sieste.)
Quant au pilote, confus, il en est encore à se demander s’il a raté la mascotte lors de ses vérifications pré-vol, ou si celle-ci s’est glissée sur l’aile juste après. Nul doute qu’après cette petite frayeur, qui a mis tout l’Internet en émoi, il va redoubler d’attention avant chaque vol !
Bref, tout est bien qui finit bien, et le chat envisage de postuler à un job de mascotte dans un club med.
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