Après avoir vu « Mascarade », Kalindi aimerait bien vivre la vie de Nicolas Bedos

Il y en a qui rêvent de vivre la vie de Beyoncé, d’autres aimeraient se glisser dans la peau de John Malkovich. Et puis, il y a notre Kalindi nationale qui envie les privilèges de Nicolas Bedos très fort, surtout depuis la sortie de son dernier film : « Mascarade ».

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Casting aux petits oignons, budget faramineux et décors paradisiaques, Nicolas Bedos avait mis toutes les chances de son côté pour faire de sa dernière réalisation un chef-d’œuvre. Toutes ? Non. Une zone résiste encore et toujours au talent envahissant de l’artiste : son rapport aux femmes.

Si elle s’est laissée éblouir par la mise en scène du réalisateur, Kalindi discerne clairement la misogynie distillée dans l’intrigue du film. Le seul avis qui compte revient ce vendredi et malgré le soleil de la Côte d’Azur, notre chroniqueuse voit rouge.

Le seul avis qui compte

Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, notre Kalindi nationale tire sur les ambulances et vous offre, non pas des interviews, non pas des portraits mais son avis (et c’est déjà pas mal).

Le seul avis qui compte débarque pour une saison 2 explosive sur toutes les plateformes ! Mi-critique, mi-pilier de bar, voilà une journaliste cinéma qui devrait vous donner du cinéphile à retordre car le pop-corn, elle l’aime salé.

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Crédits

Le seul avis qui compte est un podcast de Madmoizelle écrit et présenté par Kalindi Ramphul. Réalisation, musique et édition : Mathis Grosos. Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos.

Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.

Les Commentaires

5 novembre 2022 à 11h11

Belllinda

Si elle s’est laissée éblouir par la mise en scène du réalisateur

Attention, un participe passé ("laissé" suivi d'un verbe à l'infinitif ("éblouir" ne s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet ("s'" que si celui-ci réalise l'action correspondant au verbe à l'infinitif.
Ici, c'est "la mise en scène" – et non Kalindi – qui éblouit ; il faudrait donc écrire : "Si elle s’est laissé éblouir par la mise en scène du réalisateur".

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