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Mode

Balenciaga poursuit Nicolas Ghesquière en justice

Nicolas Ghesquière, célèbre créateur de mode, comparaîtra mardi au tribunal, faisant face à son ancien employeur, la maison Balenciaga.

Le créateur de génie et autodidacte de 43 ans, qui est aujourd’hui le directeur artistique de la première marque de luxe au monde, Louis Vuitton, n’est apparemment pas apprécié par tout le gratin de la mode…

nicolas ghesquière

Avant de travailler pour Vuitton, le styliste a d’abord fait ses preuves dans la maison espagnole Balenciaga, qui le poursuit aujourd’hui en l’accusant d’avoir violé les clauses du contrat qui mettait fin à leur collaboration en 2012, en tenant des « propos désobligeants

» sur la marque, d’après leur avocat.

La rupture de la collaboration entre la marque espagnole et le créateur avait surpris toute la planète mode en novembre 2012. En effet, depuis 1997, date à laquelle il est arrivé pour travailler en tant que directeur artistique de la marque, Nicolas Ghesquière était considéré comme l’héritier de Cristobal Balenciaga. En quinze ans de travail, il avait réussi à faire revenir la maison sur la devant de la scène, et ses défilés étaient les plus courus des Fashion Week.

La fin de leur collaboration en novembre 2012 avait été présentée comme une décision commune. Le créateur comme la marque n’avaient fait aucun commentaire pour ne pas nuire à leur image respective.

Mais tout s’est envenimé quand le créateur s’est exprimé sur cette rupture, deux semaines plus tard, au magazine System, auquel il confiait son mal-être au sein de la marque :

« J’ai commencé à être malheureux lorsque j’ai réalisé qu’il n’y avait aucune estime, intérêt ou reconnaissance pour les travaux de recherches que j’avais faits, ils [la direction de Balenciaga] s’occupaient juste du résultat en boutique et en ventes. »

Balenciaga reproche donc au créateur d’avoir violé les clauses de leur contrat de fin de collaboration en commentant cette rupture, mais aussi de vouloir faire croire que cette fin de collaboration était une décision de sa part. La marque réclame donc 7 millions d’euros à Nicolas Ghesquière en réparation du préjudice.

Affaire à suivre…


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Les Commentaires

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Avatar de Freehug
1 juillet 2014 à 10h07
Freehug
Chatouilleux chez Balenciaga... Ou alors, plus probable, ça cache un autre litige et ils se vengent de façon mesquine en le faisant chier, peut-être pour lui coller un casier, ce qui n'est jamais agréable, ou pour lui bouffer du temps juste avant un événement important (lequel j'en sais rien, j'extrapole). Je ne vois que ça, sinon c'est vraiment ridicule!
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