« Pute », « salope » et autres quolibets visent souvent les jeunes femmes qui osent assumer leur sexualité.
C’est aussi le cas de celles à qui on prête un certain goût pour le cul même sans qu’elles aient fait ou dit quoi que ce soit dans ce sens.
Le slut-shaming : rabaisser les femmes à cause de leur (supposé) goût pour le sexe
Rabaisser et couvrir de honte une personne au prétexte qu’elle couche avec beaucoup de gens, parle de sexe librement, porte une mini-jupe, danse de manière sexy… ça porte un nom.
C’est du slut-shaming. Slut, pour salope, et shaming pour couvrir de honte.
C’est ce concept qui est au centre de la nouvelle vidéo de Noémie Schürch, dans sa série Carte Blanche diffusée sur la chaîne Tataki – le média numérique de l’audio-visuel suisse RTS.
Je te laisse savourer :
Abonne toi aux vidéos Carte Blanche sur Tataki
C’est boooon de dédramatiser avec humour un sujet aussi rageant, non ?
Pour ne pas rater ses vidéos, qui traitent pour beaucoup de sujets féministes sur ce même ton sarcastique, tu peux t’abonner à la chaîne Tataki.
Noémie Schürch y officie toutes les deux semaines !
À lire aussi : Sans soutien-gorge chez ma docteure, j’ai été victime de slut-shaming
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