C’est l’heure de la sélection ciné !
Call Me By Your Name, l’amour au soleil
Avant-hier, je publiais une critique sur LA romance de ce début d’année. Call Me By Your Name, c’est l’histoire d’un amour fou, et d’un désir ardent.
Elio passe l’été dans la villa familiale, dans le nord de l’Italie. Les journée y sont paisibles et ensoleillées. Elio lit des livres, joue du piano, ou fricote avec son amie Marzia, au détour d’une promenade à vélo.
Un jour, Oliver, un homme plus âgé, entre dans sa vie. Il passe également l’été dans la demeure, pour préparer son doctorat avec le père d’Elio, éminent professeur.
Entre les deux hommes, la passion naît.
Call Me By Your Name est le récit de leur été brûlant, celui où ils s’aimeront comme ils n’aimeront peut-être plus jamais.
Ce film est mon coup de coeur de ce début d’année et est même parti pour être celui de 2018. Je te le recommande 10 fois.
Moi, je retourne le voir ce week-end.
Qui sait, peut-être qu’on se croisera dans une salle, et qu’on pourra échanger nos avis sur la performance irrésistible de Timothée Chalamet, qui pour ce rôle a été nommé aux Oscars, catégorie Meilleur acteur.
Rien que ça !
Lady Bird, l’adolescence s’envole pour les Oscars
Lady Bird, c’est un vent de fraîcheur. Impossible de ne pas tomber amoureuse de Saoirse Ronan, qui devant la caméra de Greta Gerwig (dont c’est le premier film) révèle tout son naturel.
Elle incarne Christine McPherson, une lycéenne de 17 ans qui se fait appeler Lady Bird, et qui veut à tout prix quitter sa Californie natale pour s’installer sur la côte Est et étudier dans de prestigieuses universités.
Mais sa famille, et surtout sa mère, ne l’entend pas de cette oreille. Elle restera à Sacramento, un point c’est tout. De toute manière, ses parents n’ont pas d’argent pour lui payer des études à l’autre bout du pays.
Mais il en faut plus pour décourager Lady Bird, qui entre ses amours et ses projets, a le vertige.
Après avoir conquis la presse et le public, Lady Bird s’envole désormais vers les Oscars !
La création de Greta Gerwig a déjà remporté le Golden Gobe de la meilleure comédie il y a quelques semaines, et sera l’un des chouchous de cette 90ème course à la statuette.
Il a en effet été nommé dans quelques 3 catégories : Meilleur film, Meilleure réalisateur et Meilleure actrice.
La fête est finie, un rail d’optimisme
J’ai découvert La fête est finie il y a un mois, et je n’avais aucune idée de ce à quoi je devais m’attendre.
J’ai donc été très surprise. Cette réalisation de Marie Garel-Weiss est d’une délicatesse et d’une honnêteté infinies.
J’ai été retournée, et te conseille vivement de consacrer une heure et demi de ton temps pour aller le voir ce week-end.
Le pitch ?
Céleste et Sihem arrivent le même jour dans un centre de désintoxication. Très vite, elles se lient d’amitié, ce qui ne plaît pas aux autres résidents du centre.
Après plusieurs incartades, les deux jeunes femmes finissent par se faire virer et atterrissent dans la rue.
Désormais livrées à elles-mêmes, elles devront s’entraider coûte que coûte.
Un comédie dramatique française enthousiasmante, un portrait de femmes libres !
Voilà ma bonne dame, c’est fini pour aujourd’hui. On se retrouve la semaine prochaine avec de nouvelles merveilles à découvrir !
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