Entre 2014 et 2017, j’ai suivi de manière presque quotidienne la BD Comme Convenu, que l’auteure Laurel publiait au fur et à mesure sur son blog.
Cette illustratrice y racontait l’histoire (romancée) de son déménagement aux États-Unis, avec son compagnon développeur et sa fille encore pré-adolescente, dans le but de monter une start-up de jeux vidéo.
Pour réaliser ce rêve, le couple s’est associé à Joffrey et Luc, deux hommes qui se révéleront plus que malhonnêtes…
Comme Convenu, une BD sur les galères d’un déménagement aux États-Unis
Au fil des pages, les rêves se confrontent à une réalité bien loin des attentes que la famille avait.
Elle doit vivre en colocation avec deux stagiaires, les finances tombent dans le rouge et rapidement, à cause d’une question de visa, la situation prend une apparence de piège sans solution…
Le tout se débloque enfin quand le couple et la fille de Laurel réussissent à obtenir une carte de résident permanent aux États-Unis. Ça leur permet de ne plus dépendre de leur start-up pour rester sur le sol américain
.
Les dernières pages de Comme Convenu montraient la famille ainsi que Yann, stagiaire de cette petite entreprise et lui aussi touché par les magouilles des deux associés, fêter leur départ… Et c’est tout.
Alors, bien entendu, après ça je rêvais d’un épilogue !
Laurel a partagé l’épilogue de Comme Convenu
C’est le mardi 5 septembre que l’auteure Laurel a publié sur sa page Facebook, son compte Twitter et sur son blog ce fameux épilogue.
Je vous mets les tweets, il suffit de cliquer pour voir les images en grand !
https://twitter.com/CommeConvenuBD/status/905127604331569152
https://twitter.com/CommeConvenuBD/status/905127827699150848
Tout est bien qui finit bien, donc, pour Laurel, sa fille Cerise et son compagnon Adrien, ainsi que pour Yann, le stagiaire de leur start-up.
Cet épilogue donne par ailleurs l’occasion à l’illustratrice d’annoncer son prochain projet BD qui portera cette fois sur la maternité. Ce thème revenait régulièrement dans Comme Convenu. On voyait ainsi le couple parler de son désir d’avoir des enfants sans pouvoir le réaliser pour des raisons financières.
Ce n’est ici pas précisé, mais celles et ceux qui suivent Laurel sur les réseaux sociaux le savent : depuis son départ de la start-up, le couple a eu deux enfants.
Je suis l’évolution de l’auteure depuis plus de dix ans aujourd’hui (elle m’a même fait une dédicace quand j’avais 13 ans). Je n’ai qu’une hâte : continuer dix ans de plus !
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