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Santé

#RecoveryIs, un message d’espoir contre les troubles du comportement alimentaire

Dans la campagne #RecoveryIs, des personnes qui ont guéri d’anorexie ou de boulimie montrent le bout du tunnel.

Guérir d’un trouble du comportement alimentaire demande beaucoup de courage. Parfois, les personnes qui en souffrent ont peur de la guérison, notamment parce que chez les anorexiques elle implique souvent de reprendre du poids. Dans d’autres cas, cela paraît un horizon utopique et inatteignable.

Mais guérir est possible, et ça vaut le coup. Pour le montrer, l’association Project HEAL (« Help to Eat, Accept and Live », soit « Aider à manger, à accepter et à vivre ») a lancé la campagne #RecoveryIs (#LaGuérisonCEst) sur les réseaux sociaux.

Des personnes ayant surmonté un trouble du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, hyperphagie…) posent avec leur définition de la guérison et ce qu’elle leur a apporté. Vous pouvez vous aussi participer en postant vos photos sous le hashtag #RecoveryIs, adressé à @TheProjectHeal sur Twitter ou @ProjectHEAL sur Instagram.

Plus d’images sur la page Facebook de Project Heal. Préparez les mouchoirs, moi ça m’a mouillé les yeux.


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Les Commentaires

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Avatar de MadmoiLue
28 juin 2014 à 01h06
MadmoiLue
Il y a 2 ans, je tombais dans la dépression, au bout de 6 mois je mangeais beaucoup moins. Personne n’étais au courant, vraiment personne. Puis un jour je me suis rendu compte que personne ne découvrirait ma maladie, personne viendrait miraculeusement me "sauver". Donc je me suis dit qu'il fallait que je me sauve moi même, ce que j'ai fait. Je ne pourrais pas vous dire comment j'ai eu ce déclic mais, j'ai réussis à surmonter ça quelques temps après. J'ai grandis, je me suis endurcis, un peut trop même. Ce genre de maladie est la pire chose qui puisse arriver à quelqu'un, il ne faut pas être seul dans ce genre de situation car cela peut aller très loin. Regardez dans votre entourage, aidez les gens si vous voyez qu'ils ne vont pas bien. Aujourd'hui, seul quelques amies savent ce que j'ai vécu. Je ne veux pas dire de détail sur ce genre de maladie, aujourd'hui, je ne sais pas si je vais bien ou pas, mais ce que je sais c'est que je ne vais pas mal, et c'est une priorité pour moi à présent. J'ai 16 ans, des problèmes familiaux, je suis complexé, mais j'avance, sans ma maladie, je sais que je suis assez forte pour avancer maintenant.
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