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Cinéma

Parasite, la nouvelle claque par le réalisateur de Okja, a remporté la Palme d’or !

Après Snowpiercer et Okja, le réalisateur sud-coréen Bong Joon-Ho continue de faire sensation avec son film Parasite, qui a remporté la Palme d’or au festival de Cannes 2019 !

Mise à jour du 27 mai 2019 — 

Le festival de Cannes s’est achevé samedi soir sous les applaudissements.

Et cette année, c’est le film que j’attendais le plus (avec Douleur et Gloire d’Almodovar) qui a été couronné d’une belle Palme d’or.

Parasite, le tout nouveau film de Bong Joon-ho, ambassadeur de la nouvelle vague de Corée du Sud et habitué d’un cinéma social coup de poing, a remporté le prix le plus convoité de la compétition.

Je suis RAVIE et n’ai qu’une hâte : le découvrir le 5 juin au cinéma.

Article initialement publié le 18 avril 2019 —

Si je trouve que le cinéma français manque d’audace en matière de films à suspens, il y a un endroit dans le monde qui jamais justement ne méprise l’art du mystère : la Corée du sud. 

Elle héberge quelques-uns de mes réalisateurs préférés, dont je te parle souvent dans mes colonnes.

Bong Joon-ho, l’un de mes réalisateurs favoris

okja

Le premier dans ma liste, bien qu’il n’ait réalisé que trois longs-métrages, est Na Hong-Jin, créateur du superbe The Wailing.

Ce film je t’en ai rebattu les oreilles et je risque de le faire encore longtemps, car c’est d’après moi une fiction importante, qui mêle horreur et politique avec une maîtrise implacable.

Je dis souvent n’avoir jamais peur au cinéma, toutefois il m’est arrivé une fois d’avoir peur chez moi au point d’être tétanisée, et c’était devant The Wailing.

Non loin derrière Na Hong-Jin, il y a dans mon cœur Bong Joon-ho, un réalisateur sud-coréen né à la fin des années 60 dont la filmographie est bien plus dense puisqu’il en est à son dixième long-métrage.

Si son nom ne te dit rien, tu as sûrement déjà entendu parler de ses films qui font souvent un carton. Son dernier, Okja, est même sur Netflix.

Mais avant cette petite tuerie qui m’a fait bien chialer, et qui a surtout créé la polémique lors du festival de Cannes, (vous vous rappelez cette gueguerre à base de « Un film Netflix devrait pas être à Cannes » blabla ?) le cinéaste a façonné tout un tas de merveilles.

Bong Joon-ho, une filmographie dense et variée

snowpiercer

Personnellement, je ne l’ai découvert que sur le tard, en 2013, alors qu’il avait déjà quelque 13 années de carrière à son actif, à travers le film Snowpiercer, le transperceneige (adapté de la BD éponyme).

Un film franchement inventif avec un casting américain composé de Chris Evans, Jamie Bell et Tilda Swinton entre autres.

Si je n’ai pas été à 100% convaincue par l’image, j’ai été immédiatement saisie par l’histoire, au point d’en voir le DVD plusieurs fois.

Après, j’ai bouffé presque toute sa filmo, de The Host à Mother en passant par Tokyo!.

Et quelque chose m’a frappée : toutes ses fictions sont très différentes.

Toutefois, elles sont reliées par le fil rouge du suspens et du mystère.

Et son nouveau film n’a pas l’air en reste…

Parasite, un teaser intrigant

Toute la famille de Ki-taek est au chômage.
Sa passion ? Se renseigner sur la richissime famille Park.
Un jour, suite à un incident, les 2 familles se retrouvent mêlées, sans le savoir, à une bien étrange histoire qui va tous les mettre en danger. 

Écoute, je ne sais pas toi, mais moi j’ai été parcourue d’un tremblement en découvrant ces premières images.

Non pas causé par la peur mais bien par l’excitation de bientôt découvrir ce mystérieux OVNI dans son entièreté. 

Enfin, je dis bientôt mais pour l’instant aucune date de sortie n’a été annoncée.

Les infos devraient toutefois tomber rapidement, je te tiens bien sûr au courant.

En attendant de découvrir Parasite, je t’encourage à te faire ou te refaire toute la filmographie du cinéaste, qui devrait en quelques coups de caméra t’attraper dans ses filets !

À lire aussi : Ce que dit Matrix de l’humain et de nos sociétés actuelles


Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.

Les Commentaires

4
Avatar de Issunn
10 avril 2019 à 22h04
Issunn
@grenouilleau Ah je comprends mieux !
Je ne l'ai personnellement pas interprété ainsi, mais davantage comme une forme de pessimisme fataliste de la part du réalisateur. J'ai vu ce film comme une sorte de naturalisme au sein d'un conte: montrer une vision de la réalité de manière complètement désabusée. Une manière de nous mettre le nez dans le caca quoi...
Ceci dit je comprends ton raisonnement. Merci de l'avoir explicité !
2
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