De la pandémie de rose dans un nombre impressionnant de tenues aux séances de cinéma à guichet fermé, on savait que Barbie était un phénomène. Mais ce qu’on avait moins imaginé, c’est qu’il ne suffirait que de quelques jours pour que sa réalisatrice Greta Gerwig, entre dans l’histoire des femmes de cinéma.
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Greta Gerwig : un nom qui entre dans l’histoire du cinéma
Vendredi, Barbie est enfin sorti en salles aux États-Unis. Il lui aura fallu trois jours pour rentrer dans l’histoire : entre le 21 et le 23 juillet, le film de Greta Gerwig a engrangé pas moins de 155 millions de dollars, ce qui en fait le meilleur démarrage de l’histoire pour un film réalisé par une femme, comme le rapporte le Hollywood Reporter.
Avec sa poupée bien plus féministe qu’il n’y parait au premier abord, Greta Gerwig a même distancié les 103,3 millions de dollars du Wonder Woman de Patty Jenkins, sorti en 2017.
Mieux qu’Oppenheimer ou Avatar 2
Contrairement à la France où Barbie est arrivé derrière Super Mario Bros, le film a réalisé le meilleur démarrage de l’année aux États-Unis, distanciant largement son concurrent Oppenheimer, qui a tout de même réalisé le joli score de 80,5 millions de dollars. Aux États-Unis, la comédie féministe mordante a dépassé les 146 millions de dollars de Super Mario Bros mais aussi Avatar 2, la suite très attendue de James Cameron, qui avait engrangé 134 millions de dollars à sa sortie en décembre 2022.
La France, 7ème marché pour Barbie
Par ailleurs, le public français avait particulièrement hâte de découvrir le film de Greta Gerwig : la France arrive en septième position dans le classement des meilleurs démarrages de Barbie à l’échelle mondiale.
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