Après un épisode 2 sur Rollerball dans lequel Karim Debbache avait souligné l’importance de la bonne entente entre le réalisateur et les producteurs (aussi essentielle que la bonne entente entre une rédaction et sa régie commerciale), ce nouvel épisode zoome sur Highlander 2.
Highlander, le premier du nom, avait Christophe Lambert en rôle éponyme et un Sean Connery
en guise de mentor. Le pitch ? Il existe des immortels de par le monde ; pour redevenir mortels, il faut qu’ils réussissent à tuer leurs homologues. Ils s’accaparent alors leurs pouvoirs jusqu’à devenir le dernier des immortels. Vous vous rappelez peut-être le générique de la série télé ?
Dans le premier film devenu culte malgré un semi-échec commercial, Duncan McLeod avait mérité une fin digne de ce nom. Mais comme Highlander a connu une seconde vie, Russell Malcahy a décidé de réaliser une suite. Highlander II : le retour, se déroule en 2024… avec une histoire vraiment à dormir debout qui efface complètement l’intrigue du premier.
Je vous laisse découvrir le décryptage de Karim Debbache, mais je souhaite mentionner le fait qu’il y une fin alternative à ce film, et Dieu qu’elle est ridicule !
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Au final, il y a même une troisième option, la fin director’s cut, qui semble plus proche de la version (même si c’est absurde) de l’idée d’origine. Et quand t’as besoin de trois films pour te faire comprendre, c’est qu’il y a un souci…
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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