La Peta, l’association américaine de protection des animaux, a fait une proposition généreuse – et imbécile… enfin, ce n’est que mon avis – à Aretha Franklin contre un peu de ménage dans son dressing-room. Pas pour des raisons de bon goût (on aurait pû le croire), mais dans un souci éthique.
Contre la promesse de ne plus porter de fourrure, l’asso s’engage à régler les dettes de la chanteuse. (Parce que c’est bien connu : plus on a gagné d’argent, plus on a de dettes ensuite. Les impôts, c’est trop pas juste…)
"Notre offre est donnant donnant : vous gardez votre maison et les animaux gardent leurs vies". Aretha n’a pas encore répondu à la proposition.
Tu crois qu’il y a moyen de moyenner le sacrifice de mes bottes en cuir contre le paiement de mon loyer par la SPA ?
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