« L’Idéal », la suite de « 99F », a une première bande-annonce !

Mis à jour le 25 avril 2016 – Quasiment un an après les premières infos sur L’Idéal, voici la bande-annonce qui débarque. Direction la Russie avec Octave Parango interprété par Gaspard Proust pour cette suite de 99F.

L’écrivain et réalisateur français Frédéric Beigbeder revient sur le grand écran le 15 juin prochain avec L’Idéal, l’adaptation d’Au secours pardon.

https://www.youtube.com/watch?v=JxLMzbSR5cg

Je dis oui à Audrey Fleurot dans le rôle de la boss bitch de la marque de cosmétique, et à son duo avec Gaspard Proust ! Ils ont l’air d’avoir une dynamique énorme pour un film bien mouvementé et bien osé.

Des filles prétendant au titre de mannequin, mineures bien sûr car ce serait pas cliché sinon, et du cynisme à la Beigbeder… c’est ce que promet L’Idéal

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Sortie du film prévue le 15 juin.

Mis à jour le 22 mai 2015 – C’était en 2007 : Jan Kounen dégainait sa caméra et immortalisait les cheveux gras de Jean Dujardin dans le rôle d’Octave Parango, publicitaire cynique et drogué jusqu’aux sourcils, héros de romans signés Frédéric Beigbeder. 99F sortait en salles et séduisait le public français.

En 2011, il y a eu L’Amour dure trois ans, réalisé par l’auteur/chroniqueur mondain lui-même ; Gaspard Proust y tenait le rôle-titre, celui de Marc Marronnier, critique littéraire désabusé en quête d’amour.

Et en 2016, il y aura L’Idéal. Gaspard Proust est de retour, cette fois dans le rôle d’Octave himself, pour l’adaptation d’Au secours pardon, la « suite » de 99F. Cette histoire parallèle nous présente le héros en Europe de l’Est, chargé d’une lourde tâche : repérer les jeunes filles qui seront les mannequins de demain. Le tout, bien sûr, entre abus de substances plus ou moins licites, dépression et grandes réflexions sur la vacuité de cette existence (mais en mangeant du caviar : on est pas des bêtes).

Le film n’est même pas encore tourné mais a déjà sa bande-annonce, parce qu’on vit dans le futur. Enfin, c’est plutôt un teaser… dans lequel on voit bien qu’Octave n’a rien perdu de sa modestie.