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Le musée du Louvre s’engage à mieux transmettre la « mémoire de l’esclavage colonial »

Cet accord signé pour un minimum de trois ans prévoit notamment le soutien à la recherche sur la place de l’esclavage et de sa mémoire dans les collections du musée du Louvre, et souhaite toucher un large public.

Ce n’est pas trop tôt. Ce mercredi 5 juillet, le musée du Louvre a signé une convention avec la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, pour « favoriser la transmission » ainsi que les « combats pour son abolition », peut-on lire dans un communiqué relayé par l’Agence France Presse.

Le Louvre veut contribuer à faire connaître la place de l’esclavage dans l’histoire de la France

Ce partenariat, prévu dans un premier temps pour se déployer sur trois ans, veut faire connaître « la place que l’esclavage colonial et les combats pour son abolition occupent dans l’histoire de la France et du monde ».

Le but ? Développer le champ de connaissances autour de l’histoire de l’esclavage dans le monde, mais aussi en France, et ceci, auprès du « public le plus large possible, en particulier les groupes scolaires », le musée accueillant plus de huit millions de visiteurs par an.

C’est ainsi que le partenariat prévoit « le développement d’actions de médiation au sein des espaces du musée, la production de ressources pédagogiques ainsi que la formation des enseignants et des accompagnateurs de groupes », peut-on lire dans le communiqué.

Mais cet accord prévoit également de lancer un fonds de soutien à la recherche sur la place de l’esclavage dans les collections du musée du Louvre, mais aussi dans la valorisation de ces travaux. La démarche, peut-on lire dans le communiqué, s’inscrit dans un « mouvement international qui questionne l’empreinte laissée par cette période sur les arts, la culture, le patrimoine et les institutions chargées de les préserver ».


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