L’histoire de l’amour, c’est tout d’abord un livre, un très beau roman écrit par Nicole Krauss qui défie le temps. Comme dirait 500 jours ensemble, ce n’est pas une histoire d’amour, c’est une histoire qui parle d’amour et qui s’étale sur plusieurs générations, ce qui en fait une œuvre intergénérationnelle.
New York, de nos jours.
Alma, une ado un peu trop blasée pour son âge, et qui ne croit plus en l’amour, tombe un jour sur un livre dont l’héroïne porte le même prénom qu’elle. Sous ses yeux se déroule une magnifique histoire, une romance épique qui va l’ébranler et qui va remettre ses convictions en cause.
Parallèlement, le spectateur suit également l’histoire de Léo, un Polonais juif immigré plus trop dans la force de l’âge, qui n’a pourtant pas perdu son envie de vivre ni d’aimer.
Et quelque part, leurs histoires sont liées.
Ces drames intemporels me plaisent énormément : c’est la preuve que l’amour, ou quelque que soit le thème abordé, reste avant tout universel. Sur un ton résolument optimiste, L’histoire de l’amour aborde il y a une histoire d’exil, de destin, de tragédie, et d’amûûûr bien entendu. La bande-annonce mélange déjà humour et tragédie
, j’achète complètement.
En plus, L’histoire de l’amour est réalisé par celui qui était derrière Le concert ou encore La source des femmes, et il y a tout plein d’acteurs britanniques dedans ! Okay, y a surtout Gemma Arterton et Derek Jacobi qui m’interpellent, mais la petite Sophie Nélisse a bien grandi depuis Le voleur de livres.
Plusieurs avant-premières ont déjà eu lieu dans certaines villes, peut-être la vôtre et vous avez eu la chance de le voir ? Sinon il faudra attendre le 9 novembre !
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