Le fantasme d’Emilie. : Eva Green
À la rédac, Eva Green, actrice française de 29 ans à la filmographie internationale, nous divise. La moitié la déteste, l’autre la vénère – vous aurez deviné dans quel camps je suis. Bon point, au moins elle ne laisse pas indifférente ! Mais soyons honnêtes, ce n’est pas (encore) par sa filmo qu’Eva brille.
Depuis le début de sa carrière en 2003 dans Les Innocents – The Dreamers de Bernardo Bertolluci, elle ne cumule aujourd’hui qu’une petite douzaine de films au compteur, sans oublier la série anglaise Camelot. Un rôle de sorcière dans À la croisée des mondes et un autre d’artiste névrosée dans Franklyn, c’est à peu près tout ce que j’ai pu voir de ses talents d’actrices. Son perso de James Bond Girl ? Même pas vu…
Eva Green dans la vraie vie me suffit amplement. C’est le genre de nana à la beauté froide, presque glaciale qui me perturbe le système ovarien. Bouche sang, yeux charbonneux et teint limite cadavérique, son allure tantôt de grande prêtresse gothique ou de vamp pin-up réveillent mes instincts de chasse et me met illico en transe hormonale. Je ne saurai absolument pas comment décrire le phénomène magnétique que cette nénette a sur moi. On se contenterait d’un amour platonique mais passionnel. Je me verrais très bien jouer au jeu du je t’aime moi non plus
avec elle, je la prendrais, elle me repousserait et elle ferait pareil avec moi, oh-oui-Eva !
Le fantasme d’Annelise : Louis Garrel
LOUIS GARREL FAIS MOI DES BEBES PARTOUT. Voilà ce que m’inspire Louis Garrel, aka selon moi l’homme le plus beau du monde. J’ai un idéal masculin assez simple : un homme grand, cheveux noirs et nez prononcé (vous pouvez donc penser à un grand nez oui). Louis Garrel a tout ça, mais x100. La classe et la sexytude en plus.
Je l’ai découvert à la sortie du film Dans Paris, où déjà il faisait frétiller mon coeur et tout ce qui s’en suit. Depuis, l’espoir de pécho Louis Garrel ne m’a jamais quitté. L’envie de l’épouser et de fonder une famille avec lui est arrivée après le visionnage du film Les Chansons d’Amour (un de mes films préférés, j’avoue tout), où j’ai découvert qu’en plus d’être méga-sex, il avait une voix qui pourrait me susurrer des mots cochons quand ça lui chante dans l’oreille. Bon ok il n’a pas joué que dans des chefs-d’oeuvre hein, je me rappelle encore de Ma Mère où il se branle copieusement devant un truc bien creepy et à quel point Louis m’avait ce jour-là déçu, mais qu’importe.
Quand j’habitais Paris, j’ai eu la chance de le croiser deux fois dans la rue (dont une où il m’a regardé dans les yeux et alors j’ai failli ne plus jamais cligner des yeux jusqu’à la mort, ou au moins quoi), et deux fois mon mec (qui est grand, brun avec un grand nez, ça va vous suivez ?) a dû subir mes convulsions de surprise tellement je ne m’en remettais pas. Louis, si tu me lis : lâches Valéria please. Allez sérieux, moi j’ai pas les seins qui tombent.
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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