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Vie quotidienne

Comment vous avez vécu les attentats de Charlie Hebdo

Où étiez-vous ? Que faisiez-vous ? Vous racontez votre vécu des attentats de Charlie Hebdo.

Publié le 7 janvier 2020

En partenariat avec PKJ (notre Manifeste)

J’ai mis quelques minutes pour me souvenir de ce que je faisais et où j’étais le 7 janvier 2015, jour des attentats à la rédaction de Charlie Hebdo, qui ont causé la mort de 11 personnes.

Cela m’a pris quelques minutes parce que finalement, cette journée était d’une banalité sans nom. J’étais en hypokhâgne, assise sur ma chaise du lycée Molière dans le 16e arrondissement de Paris, en cours de littérature.

Et je ne réalisais pas, au moment où ma prof annonçait cet évènement meurtrier, que c’était bien réel, ni même à quel point ce moment était grave et tristement historique.

À la place du cœur, un récit d’amour et de traumatisme

Il y a quelques jours, je ravivais en vous le souvenir peut-être encore frais et douloureux de cet évènement, dans le cadre de la sortie en format poche le 9 janvier 2020 du livre À la place du cœur d’Arnaud Cathrine.

a la place du coeur

Ce livre, c’est le récit de 6 jours de janvier 2015 où la France entière, et même le monde, ont basculé dans l’effroi. Et c’est aussi le récit de 6 jours dans la vie de Caumes, 17 ans, qui vit son premier amour.

Alors qu’il doit rejoindre son frère à Paris, le 6 janvier 2015, Caumes ne pense qu’à Esther, qui l’a enfin remarqué.

Mais l’histoire d’amour naissante de Caumes et Esther, avec comme perspective l’obsédante première fois et la passion, va se juxtaposer avec l’histoire tragique et traumatique des attentats.

Quelques jours d’amour, mais aussi une semaine rivée sur les écrans à tenter de mesurer l’horreur à l’œuvre, à tenter de ne pas confondre l’information en flux continu avec un thriller télé de plus.

Tout au long de ces pages, on va suivre à la fois la réalité ingénue et adolescente du quotidien de Caumes et Esther, les cours, les profs, les disputes avec les parents…

Et à la fois l’horreur et la violence du présent : la peur, la volonté de faire partie du mouvement de soutien, et l’impuissance face à l’actualité.

Comment l’amour cohabite-t-il avec la mort et l’Histoire en marche ?

C’est la question à laquelle À la place du cœur tente de répondre, en nous faisant découvrir des personnages jeunes, fougueux et très attachants, le tout à travers des dialogues décomplexés et spontanés qui nous font revivre ce début d’année 2015.

Je te conseille de te procurer ce bouquin, et de le lire, car il t’offrira une lecture légère, mais qui va aussi te happer et te procurer beaucoup d’émotions, en plus d’œuvrer pour le devoir de mémoire.

Face à un évènement traumatisant, chacun et chacune a ses propres mécanismes de défense, et vous avez été nombreuses à m’écrire et à raconter votre vérité.

Merci à vous toutes pour cela, et voici donc les mots de quelques unes d’entre vous.

Elisa, 14 ans le jour des attentats à Charlie Hebdo

Je me souviens du 7 janvier 2015, c’était un mercredi. J’étais une jeune fille de quatorze ans en classe de 3ème, encore naïve et peu affirmée.

Comment je l’ai su ? J’ai la scène complète encore dans ma tête.

J’étais devant le poêle à bois de chez moi, en train de me réchauffer par cette après-midi froide d’hiver. Il était 13h, j’avais finis ma journée de cours (eh oui, c’était la belle époque du collège, avec des cours seulement le mercredi matin).

J’avais mis la table pour le déjeuner et attendais que ma petite sœur rentre, accompagnée de mon père, de son cours de musique au conservatoire de ma ville.

C’est à ce moment-là que ma mère m’a appelée pour savoir si mon père était déjà rentré, je lui ai dit que non, elle m’a demandé de lui faire passer un message.

Je devais lui dire qu’il y a avait eu une attaque au siège de…

Sur le coup je n’avais pas compris ce qu’elle voulait dire, je ne connaissais pas ce journal, ce Charlie Hebdo, qui venait tout juste d’être attaqué.

À ce moment-là, cette information était « banale », je ne savais ni ce qu’était Charlie Hebdo, ni où se situait ses locaux, ni si tout cela était important à mon échelle.

Quand mon père est arrivé, je lui ai dit, il a instantanément allumé la radio sur France info. Et c’est comme ça que la radio est restée allumée toute l’après-midi, puis la soirée, puis par intermittence les jours d’après.

Lorsque mon père m’a expliqué que Charlie Hebdo était un journal, composé de journalistes qui réalisent des caricatures ; et qu’à cause de cela, ils venaient de se faire attaquer par un groupe d’individus armés, je n’ai pas compris.

Comment pouvait-on blesser, tuer, pour des dessins, des caricatures ?

J’ai participé le week-end qui a suivi à ma première manifestation, avec mes parents et ma petite sœur.

Un quart de la ville avait été réquisitionné pour nous emmener à Paris sur les lieux de la manif et nous n’avons ensuite que très peu marché du fait de la masse de monde qu’il y avait.

Nous étions là, nous étions présents pour commémorer les victimes. Et nous avons soutenu la liberté d’expression. J’avais quand même peur à l’idée d’aller marcher, d’être avec autant de monde, une cible si facile.

Mes parents m’ont expliqué, m’ont fait comprendre l’importance et la signification de cette marche. Alors j’ai marché, avec un autocollant et un porte-clé que je m’étais fabriqué et accroché à la fermeture de mon manteau.

Il y était inscrit : Je suis Charlie.

À lire aussi : Charlie Hebdo, un an après

Laetitia, 26 ans le jour des attentats à Charlie Hebdo

Je bosse dans le 15e arrondissement de Paris depuis 2 ans. C’est l’hiver, il fait froid dehors, mais c’est une matinée totalement ordinaire. On papote avec ma cheffe, elle a posé sa démission.

Elle part bientôt, ce sont nos derniers moment en tant qu’équipe.

Fin de matinée, j’envoie des messages à l’amie avec laquelle j’ai prévu de déjeuner ce midi. Elle me dit qu’en m’attendant elle va faire les boutiques à Beaugrenelle.

Vers 11h/11h30 je crois, l’info pop sur mon téléphone… il se passe quelque chose, à Charlie Hebdo. J’en fais part à ma cheffe.

Je lis les articles qui tombent à toute vitesse, sur mon PC :

« Je crois qu’il y a des morts… oh putain, je crois que Charb et Cabu sont morts… c’est grave, regarde, regarde ! »

Je ne sais plus si c’est dans le même temps qu’on commence à entendre les hélicos qui survolent la zone, mais il me semble… Évidemment nous sommes dans le 15e à deux pas de la Tour Eiffel.

Nous suivons minute par minute les maigres infos qui sortent et vers 12h30 je finis par rejoindre mon amie pour déjeuner.

En arrivant dans le restaurant, elle m’attend, avec ses sacs de shopping. Ça me paraît un peu décalé, là d’un coup. Il faut que je précise que cette amie est journaliste, pour un média TV mais que c’est son jour de repos.

On s’installe, on commande, on papote, et puis d’un coup je lui dis :

« Tu n’es pas au courant je pense.. il s’est passé quelque chose, je crois que c’est important… »

Je lui explique, elle ne sait rien, même si elle a bien noté pendant ses essayages dans les magasins que l’attitude des vigiles avait changé.

On se regarde, on continue de regarder nos téléphones pendant le repas. D’un coup c’est l’avalanche sur son téléphone, son employeur l’appelle, les collègues, ses amis journalistes, ils essaient tous de savoir ce qu’il se passe…

Elle me dit qu’elle doit écourter le déjeuner, il faut qu’elle aille à sa rédaction : ils ont besoin de tout le monde et surtout, surtout, elle veut savoir, elle veut « en être », c’est trop dingue, elle veut débriefer avec ses collègues.

Au moment de se séparer, elle me dit :

«  Ce soir, il va y avoir quelque chose, vers Nation ou République, un rassemblement, on se tient au courant, il faut que je file. »

Le soir, l’ambiance est étrange dans le métro, mon mec avait peur que je me rende là-bas, il n’est pas rassuré, la traque a commencé, on ne sait rien ou si peu.

Mais il faut que j’y aille c’est impératif, c’est un besoin, pour encaisser, pour réaliser, que oui putain c’est pas un cauchemar.

Arrivée à République, le silence d’abord, il fait nuit et froid, j’essaie de localiser mes amies, c’est compliqué, beaucoup de monde. J’en retrouve une, elle est sonnée, elle fait une tête…

J’imagine que j’ai la même tête en fait.

Parfois on entend la Marseillaise de ci de là, parfois on voit des gens pleurer, d’autres qui les prennent dans leurs bras, c’est triste mais c’est beau.

On navigue un peu dans le rassemblement on observe les gens, ceux qui mettent les bougies, ceux qui ont déjà des pancartes, le Je suis Charlie qui commence à fleurir partout.

Miraculeusement, je tombe sur mon amie journaliste, par hasard. Elle est avec ses collègues, ils ont bossé toute la journée, mais ils sont là.

J’ai l’impression que tout le monde est là d’ailleurs… Tout Paris, toute la France, on est ensemble, on pleure nos morts ensemble.

À lire aussi : La Marche Républicaine « Je suis Charlie » du 11 janvier 2015, un évènement historique

Vanessa, 26 ans le jour des attentats à Charlie Hebdo

Le jour des attentats de Charlie Hebdo, c’est le jour où j’ai pris l’avion direction le Japon, pour mon stage de M2.

J’étais en Master de FLE à l’époque, à la fac d’Aix-en-Provence, et je devais faire un stage dans un pays non francophone pour mon mémoire.

Je me suis donc envolée le 7 janvier 2015, au départ de Marseille, avec un changement de quelques heures à Francfort.

J’étais donc dans l’avion quand c’est arrivé, et je l’ai appris par hasard, en m’installant dans la salle d’attente devant la porte d’embarquement de mon prochain vol, en Allemagne, car un flash spécial passait à la télé.

Je ne parle pas allemand, donc je n’y ai pas prêté attention au début, remarquant simplement qu’ils parlaient de la France, jusqu’à ce que je comprenne que quelque chose de grave était arrivé.

Je me suis connectée au wifi (très instable) de l’aéroport et j’ai commencé à trouver des articles qui racontaient en direct ce qui se passait.

Je me souviens seulement de ce sentiment de choc, et de cette solitude car je n’avais personne avec qui partager tout ça, seule dans cet aéroport.

Je me suis sentie détachée de l’évènement et proche à la fois, car c’est mon pays, mais cette distance géographique me donnait déjà ce sentiment de ne pas faire complètement partie de ce qu’il se passait.

J’ai dû prendre l’avion alors que les évènements n’étaient pas terminés, et j’avais 11h de vol pendant lesquelles j’ai pu réfléchir de tout mon soûl à ce qu’il venait de se passer.

Alors que je n’avais pas toutes les informations, que le peu que je savais à ce moment-là était non confirmé/enjolivé par les médias.

J’étais dans l’angoisse que quelque chose d’encore pire n’arrive pendant que j’étais dans mon avion. J’avais vraiment besoin d’en parler, mais j’étais seule avec mes pensées et les films à bord n’ont pas vraiment réussi à me divertir…

Je n’ai pas réussi à fermer l’œil.

J’ai attetri à Fukuoka, et j’ai dû pendant quelques heures me concentrer sur mon installation dans ce pays étranger. Je n’ai pu me poser tranquillement que des heures plus tard, et j’ai tout de suite appelé ma mère.

On en a longuement discuté, mais je ressentais encore cet étrange sentiment de proximité et de distance à la fois. J’ai regardé des vidéos en live, lu des articles, j’ai tout fait pour me tenir un maximum au courant.

Malheureusement, j’ai bien senti la différence entre ce que vivaient les gens sur place, et ce que je vivais moi, à 10 000 km.

Personne autour de moi n’en parlait, ou n’était paniqué, je n’avais pas cette ambiance pesante que la France semblait vivre pendant les jours suivant l’attentat.

Ce sentiment n’a pas changé, car au lieu des 6 mois prévus dans mon stage, ça fait maintenant bientôt 5 ans que je suis installée au Japon.

J’y travaille, j’y suis mariée, je ne compte pas rentrer m’installer en France.

Je n’ai pas vécu l’état d’urgence, et j’ai été choquée quand j’ai pu m’offrir des vacances et aller voir ma famille (après 2 ans, quand même), de voir des militaires lourdement armés patrouiller dans la rue.

J’en parle quelques fois avec mes amis expatriés et on a tous plus ou moins le même sentiment.

Nous avons tous été très choqués, et très tristes, mais sans se sentir directement impliqués comme ont pu l’être les Français habitant en France.

C’est peut-être aussi dû au fait que le Japon est un pays qui n’est pas (encore ?) menacé par le terrorisme, et les médias n’en parlent pour ainsi dire jamais.

C’est facile d’oublier quand on est loin…

Maureen, 26 ans le jour des attentats à Charlie Hebdo

C’était un jour légèrement nuageux.

Je me suis réveillée il y a peu. J’allume par réflexe ma télévision et là, je tombe des nues. Je suis absorbée par la télévision. Je veux comprendre : qui, quoi, pourquoi.

Terroriste, Charlie Hebdo. C’est hors du temps. J’absorbe tout.

J’écris à mon petit copain Yacine pour lui dire. Il travaille dans un café, il me dit que c’est en boucle depuis un moment à la télévision.

J’ai l’impression de passer ma journée à suivre cet événement depuis mon canapé, impuissante, bouche bée. Le soir, on en parle longuement avec lui.

Il ne comprend pas non plus, ça le rend triste.

Il vient de la banlieue parisienne, celle où quand tu as 25 ans la moitié de tes amis d’enfance sont soit morts, soit en prison.

Je viens de la campagne, moi. J’ai passé mon enfance à construire des cabanes dans la forêt. Je sens pour la première fois un décalage entre nous.

Il me raconte le racisme, les dealers en bas de l’escalier, le voile de sa mère. D’ailleurs il ne l’aime pas ce voile, il appelle sa mère Batman quand elle le met.

Mais c’est un choix qu’elle a fait a 50 ans, pour se rapprocher de son Dieu. Je la trouve courageuse, moi.

C’est tellement loin de moi tout cela. Je suis laïque, je viens de la classe moyenne. La misère, je ne la vois qu’à la télévision. Et là, l’homme que j’aime me raconte tout ça, toute son histoire.

Quelques jours après cet attentat, il me dit qu’un homme a refusé que Yacine ne le serve. Lui disant que les Arabes sont tous des terroristes et qu’il ne veut pas être servi par un terroriste.

Je suis instantanément révulsée, je suis en colère, j’ai envie de vomir ! Comment peut on traiter une personne comme ça ?!

Yacine, qui a un physique imposant, aurait pu virer cet homme par le fond du pantalon. Il n’en a rien fait. Il lui a proposé d’aller s’installer à un autre bar car il est le seul à pouvoir le servir.

L’homme a décidé de partir.

J’imagine sa tristesse et le sentiment de honte qu’il a dû ressentir. Il a été rabaissé en public pour ce qu’il est. Il me dit que toute sa vie il a subit ce genre de remarques, qu’il est habitué.

Qu’on ne peut pas battre une marée d’idiots, ça serait se fatiguer en vain. Mieux vaut ne rien dire et faire le dos rond.

Mais moi qui vit ça pour la première fois réellement, intimement, je suis chamboulée : j’ai à la fois une rage en moi inouïe et aussi tellement d’admiration pour lui.

Je veux battre cette injustice. Soulever des montagnes pour que les gens ouvrent les yeux !

Et mêlé à cette rage, j’ai de l’admiration pour toutes ces personnes qui subissent une injustice quotidienne. Une couleur, une origine, une tête, une différence.

J’ai regardé Yacine dans les yeux, pleine de compassion et d’impuissance, je l’ai embrassé, et j’ai prié pour ne plus jamais avoir à entendre que ce genre de chose lui arrive.

Mais cette date m’a profondément changée, comme si j’avais ouvert les yeux sur une réalité qui m’était invisible jusqu’à présent.

Je n’ai pas été touchée en plein fouet par ce drame. Mais j’ai été un écho parmi des millions qu’il a du y avoir. Je suis un écho de Charlie Hebdo.

Charlie Hebdo et vous

J’aurais aimé retranscrire tous vos témoignages. Beaucoup d’entre vous étaient à l’étranger, beaucoup en province.

L’une d’entre vous a appris qu’elle était atteinte d’un cancer ce même jour.

Certaines d’entre vous s’en sont voulues de n’être pas aussi touchées que leurs proches, et vous avez regretté ce sentiment de n’être pas vraiment concernées.

Vos vécus et vos réactions ont été diverses, mais une chose est sûre, vous étiez toutes Charlie.

À lire aussi : Je suis musulmane, et je suis Charlie

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Les Commentaires

12
Avatar de Ada Lovelace
10 janvier 2020 à 10h01
Ada Lovelace
Je me souviens très bien du jour des attentats de Charlie Hebdo, je me souviens d'avoir dit à la sortie du boulot à un collègue "t'as vu ce qu'il se passe?" et qu'il m'ait répondu d'un air triste et atterré "qui n'a pas vu ce qu'il se passe... ça m'a vraiment rendue triste que des gens puisse mourir juste pour des caricatures et des opinions. Après, c'est vrai que je n'ai pas du tout ressenti de peur, parce que c'était un assassinat visé, j'étais plus triste qu'autre chose. Rien à voir avec ce que j'ai pu ressentir le 13 novembre (où j'avais d'ailleurs eu cette pensée tristement prémonitoire dans le RER bondé le matin "on est vendredi 13, tiens, si une bombe sautaient là, ça ferait beaucoup de mort". Là, il y avait bien plus de projection. Même le 11 septembre m'avait causé plus de peur alors que j'étais bien plus jeune (mais j'ai toujours été, même enfant, bien trop préoccupée -_-).
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