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Culture

Trois raisons de tester ARMS, le jeu de combat qui casse les codes

Il y a des moments où on a envie de se vider la tête, se défouler un bon coup, ou encore de passer une bonne soirée entre potes. Ne cherchez plus : ARMS vous permet de faire tout ça en même temps.

Ce vendredi 16 juin sort ARMS sur Switch. L’idée : reprendre le concept du jeu de combat et le réinventer à la sauce Nintendo. Ça donne un jeu facile à prendre en main, marrant, avec une esthétique vraiment agréable.

Dans ARMS, on peut affronter des combattant•es du monde entier en ligne, défier ses potes en local ou simplement se battre contre l’intelligence artificielle. Si on n’est pas fan des simples combats, on peut aussi tout simplement changer de mode, pour des parties endiablées.

https://www.youtube.com/watch?v=k7s3UB_8dFM

Voici trois raisons de tester ARMS, le jeu de combat qui casse les codes (combat, casser… Vous l’avez ou il y a que moi ?).

ARMS plaira aux habitué•es comme aux newbies

Je vais pas vous mentir : les jeux vidéo de combat, c’est pas mon truc. J’aime pas l’idée de me mettre sur la tronche avec mes potes, je préfère les écraser avec une voiture dans Mario Kart ou faire un meilleur score qu’eux dans Rayman.

Du coup, j’étais un peu mitigée vis-à-vis d’ARMS. Parce que je suis quelqu’un de curieux et puis aussi un peu parce que c’est mon métier, j’ai décidé de tester le jeu. Finalement j’ai trouvé ça vraiment top.

Nintendo a à cœur de s’adresser à ceux et celles qui ont moins l’habitude des jeux de combat. La prise en main du jeu est donc vraiment simple et sans chichi

. On vous explique les bases, vous choisissez votre personnage et roulez jeunesse !

L’univers d’ARMS est très sympa

Comme toujours chez Nintendo, les graphismes sont plutôt enfantins, avec un style très dessin animé. Le jeu donne l’impression de pas nous prendre la tête et incite à s’y mettre, sans pression.

Plus que les graphismes, les personnages jouables eux-mêmes sont chouettes. Le roster (la liste des combattant•es) contient dix protagonistes, dont quatre filles. Et l’une d’elles se bat avec ses cheveux : peut-on faire plus stylé ?

J’apprécie cette variété, qui me permet vraiment de trouver un style de combat qui me convient. Un personnage est accompagné d’un chien robotique qui le protège, un autre est élastique et évite plus facilement les coups… De cette façon, tout le monde y trouve son compte !

ARMS, c’est clairement rigolo

Et dernier argument : c’est l’occasion de passer une très bonne soirée entre potes. Comme le jeu est plutôt accessible même pour ceux et celles qui ont moins l’habitude, chacun•e peut prendre la manette pour participer au combat.

Vous n’aimez pas trop taper sur vos potes, même virtuellement ? Le mode coopération est très bien foutu : on peut se battre en deux contre deux et se soutenir mutuellement face à l’ennemi, que ce soit en ligne ou contre l’intelligence artificielle.

arms-capture-decran

Différents modes de jeu permettent de s’affronter : on peut disputer des parties de volley-ball explosives, se défier à qui défoncera le plus de cibles mouvantes, ou encore se lancer dans des parties de basket endiablées. Sauf qu’à la place du ballon, c’est l’adversaire qu’il faut jeter dans le panier !

Avec ARMS, Nintendo continue à diversifier son offre. On peut aujourd’hui difficilement reprocher au géant japonais de ne faire que du Mario. Reste à savoir si suffisamment de joueurs et de joueuses décideront d’acquérir le jeu : si oui, les parties en ligne seront probablement trépidantes !

ARMS est disponible depuis le 16 juin 2017, sur Nintendo Switch.

À lire aussi : J’ai passé le week-end à poutrer du calmar sur Splatoon 2, et je ne regrette rien


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