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5 preuves que Brooklyn Nine Nine est la meilleure série

Il y a des choses dans la vie de Louiselle dont elle parlerait pendant des heures. Ça inclut les golden retrivers, l’aligot, sa meuf… et Brooklyn Nine Nine. C’est donc avec plaisir qu’elle t’offre 5 preuves que c’est la meilleure série de la Terre !

À cause de ma désastreuse mémoire, je ne me souviens pas du jour où j’ai lancé le premier épisode de Brooklyn Nine Nine.

C’est probablement survenu après avoir vu passer plusieurs compilations de GIFs hilarants sur Tumblr, ma source sûre.

Brooklyn Nine Nine, amour de ma vie

Qu’importe comment je m’y suis mise, l’important c’est que j’suis tombée en amour avec cette série, comme dirait nos voisins canadiens et cette bon con d’Alix.

Déjà 6 saisons, une 7ème en prépa, et je ne trouve toujours aucun défaut à ce petit bijou d’inventivité et d’humour.

Si Brooklyn Nine Nine figure parmi mes séries préf de tous les temps c’est pour son écriture fine, intelligente, qui peut passer de la boutade de gros lourd à la réplique piquante qui dénonce les discriminations et les problèmes de société.

Et pour ne rien gâcher à tout ça, les acteurs transpercent l’écran de leur talent. Impossible de suivre leurs échanges sans comprendre que les personnages qu’ils incarnent font partie d’eux, qu’ils les ont forgés et qu’ils ont grandi avec.

Bref, Brooklyn Nine Nine c’est la meilleure série, et je te donne 5 arguments qui le prouvent.

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Brooklyn Nine Nine, une série qui célèbre la diversité

Si tu as déjà regardé la série tu l’auras sûrement déjà remarqué : Brooklyn Nine Nine célèbre la diversité.

Une prise de position si inhabituelle que lorsqu’elles ont toutes les deux été retenues pour jouer dans la série, Melissa Fumero (Amy) et Stephanie Beatriz (Rosa) ont eu peur que l’une d’elles soit virée.

Eh oui, car une série avec deux femmes latino-américaines en tête d’affiche, ce n’est pas ce qui court les rues ! Il y en a bien sûr, et de plus en plus, dieu merci. Mais en 2013, c’était encore touchy.

Dans une interview pour Junkee, Melissa Fumero expliquait :

« On a abordé l’idée de porter des coupes de cheveux vraiment différentes dans le pilote, ou d’autres trucs qui maintenant paraissent vraiment ridicules. Mais on avait vraiment peur.

On s’inquiétait sincèrement à l’idée qu’ils ne nous gardent pas toutes les deux, parce que ça allait à l’encontre du status quo. »

Mais ce n’est pas le genre de la maison, non madame.

Chez Brooklyn Nine Nine on n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat et à nager à contre-courant si c’est pour ouvrir un peu les mentalités et donner une meilleure représentation de la société dans toute sa diversité.

Raison pour laquelle le Capitaine Raymond Holt est afro-américain ET ouvertement gay, sans que cela devienne LE trait qui le définit pour autant.

Dans la même veine, après quelques saisons, Rosa fait son coming-out, annonçant à ses collègues et amis sa bisexualité.

En employant le mot bisexualité. À plusieurs reprises.

C’est RARE.

J’insiste parce qu’une fois encore, Brooklyn Nine Nine figure parmi ces rares shows qui ne se font pas timides quand il s’agit de parler des diversités et des minorités.

Qui ne font pas les choses à moitié et surtout ne les font pas par « effet de mode ».

À lire aussi : La Pride expliquée à celles et ceux qui n’y pigent rien

La complicité évidente des acteurs dans Brooklyn Nine Nine

Si Brooklyn Nine Nine est une telle réussite, c’est bien évidemment grâce aux scénaristes qui font un travail formidable, mais aussi aux acteurs.

À l’image de leurs personnages ils sont talentueux, drôles, et d’une complicité évidente.

La sachiez-tu : Andy Samberg (Jake) et Chelsea Peretti (Gina) sont allés à l’école primaire ensemble !

N’est-ce pas fort mignon ?

Moins mignon mais très très drôle, avant de filmer le premier baiser de leur personnage Melissa Fumero et Andy Samberg ont fait un concours pour voir qui aurait la pire haleine

durant la scène.

Après tout, qui n’a jamais rêvé d’un baiser goût « wings et ail rôti » ?

Entre autres farces et respect mutuel, l’équipe de Brooklyn Nine Nine s’est peu à peu transformée en une grande famille.

Quand la Fox a annoncé l’annulation du programme, le cast a créé un énorme groupe de discussion où ils pouvaient pleurer la fin de la série ensemble.

Fort heureusement, Brooklyn Nine Nine a depuis été sauvée par la NBC.

Les acteurs de Brooklyn Nine Nine n’ont pas un parcours classique

Sans nécessairement parler de tremplin, Brooklyn Nine Nine a permis à plusieurs de ses acteurs d’évoluer dans leur carrière.

À part quelques passages dans Gossip Girl, Melissa Fumero n’était pas très connu sur le petit et grand écran. Avant de se mettre à la comédie, l’actrice a eu une carrière de danseuse professionnelle !

Elle donna même des cours de danse classique à une époque.

Avant Brooklyn Nine Nine, Stephanie Beatriz donnait des cours de sport et son compte en banque tirait vers le rouge. Avant de jouer Rosa, l’actrice n’avait pas réellement d’expérience en comédie, ayant fait ses armes sur Shakespeare.

Terry Crews, après sa carrière de footballeur professionnel, s’est essayé au dessin avant de se tourner vers la comédie. Il a même été dessinateur lors de l’audience de l’une des pires affaires de meurtre de l’histoire du Michigan !

Il a également tenté sa chance auprès de Disney, leur envoyant ses croquis.

Brooklyn Nine Nine a créé des rôles sur mesure

Ce qui met plaît énormément avec Brooklyn Nine Nine, et qui m’a fait tomber amoureuse de la série, c’est l’authenticité des personnages.

Tout semble naturel, à peine joué, comme si les acteurs ÉTAIENT réellement ces agents de police loufoques.

Oui bon, tu me diras, ils sont payés pour ça. Il n’empêche que le soin porté aux personnages donnent l’impression qu’ils ont été créés sur mesure.

Avant d’écrire le pilote, Dan Goor et Mike Schur, les créateurs du show, ont rencontré les acteurs, qui les ont aidé à intégrer des éléments de leur propre personnalité dans leur personnage.

Plus que ça, le rôle de Gina a été créé spécialement pour Chelsea Peretti !

À l’origine la comédienne et humoriste avait auditionné pour le rôle de Megan, qui s’est transformé en Rosa. Mais les créateurs ont préféré écrire un personnage qui lui collerait plus à la peau.

Et autant dire qu'ils ont bien fait.

Même histoire pour Terry Crews.

Terry, géant tout en muscle et en douceur, a été écrit juste pour l’acteur, les créateurs de Brooklyn Nine Nine adorant l’idée d’un gars qui aurait l’air d’un super-héros tout en faisant preuve de timidité et de sensibilité.

Brooklyn Nine Nine, une série qui traite de problématiques sociétales

Au-delà de casser les codes et s’amuser des conventions, Brooklyn Nine Nine a également traité de plusieurs sujets actuels et politiques à travers ses épisodes.

Depuis ses débuts, la série dénonce le sexisme. Durant sa sixième saison, elle a même abordé le harcèlement sexuel et le mouvement #MeToo avec brio.

Plus généralement, Brooklyn Nine Nine a construit des personnages masculins, certes imparfaits, mais prêts à s’améliorer, à apprendre.

Jake, Holt, Terry… Ils brillent tous par leur masculinité positive et leur féminisme.

Loin de s’arrêter en si bon chemin, la série a également abordé le racisme ordinaire à travers l’histoire de Terry, arrêté dans son propre voisinage par des policiers, simplement à cause de sa couleur de peau.

Une intrigue qui fait écho à une expérience qu’a subie Terry Crews.

Outre le sexisme, le racisme, la masculinité positive, la représentation de la communauté LGBT et le féminisme, au cours de ses 6 saisons, Brooklyn Nine Nine a aussi traité, toujours avec respect et intelligence :

  • des différences culturelles
  • du contrôle des armes à feu aux États-Unis
  • de la santé mentale (de l’anxiété aux troubles post-traumatiques)
  • de la perception de la police et du rôle qu’elle doit avoir dans la société
  • des relations familiales et de couples (n’hésitant pas à dépeindre les toxiques comme les saines)

Et de bien d’autres choses encore qu’il ne tient qu’à toi de découvrir ou redécouvrir !

Bref, pour conclure :

Nombre de shows, meilleurs que Brooklyn 99 :

À lire aussi : Mon amour pour les Drôles de Dames, bientôt de retour


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Les Commentaires

8
Avatar de MorganeGirly
2 septembre 2019 à 10h09
MorganeGirly
Niveau masculinité positive il se pose là aussi ! Il me mettait mal à l'aise au début car il rentrait seulement dans la case "trop gentil qui se fait bolosser" (ce qui me ramenait à ma propre expérience), au final ils ont réussi à enrichir son personnage et à en faire un des plus importants selon moi
Je sais pas si on peut parler carrément de "masculinité positive" quand même vu sa difficulté à identifier les limites dans ses tentatives d'intimité avec les autres et son côté très envahissant. Entre son obsession malaisante pour Rosa saison 1, sa possessivité avec Jake, sa beaucoup trop grande volonté d'implication dans le couple Jake/Amy et dans la vie privée de Gina malgré le fait qu'ils lui fassent systématiquement comprendre que sa démarche est gênante, sa tendance à réclamer un peu trop fort l'affection des autres et à faire savoir qu'il est vexé quand il croit ne pas la recevoir et de manière générale sa propension à imposer ses histoires personnelle aux autres, il flirte parfois avec le Nice Guy un poil toxique, même si les autres le retiennent de tomber dans ce travers.
Mais je suis d'accord que ce qui est cool, c'est que le personnage est globalement bienveillant, qu'il assume totalement qui il est, ne cherche pas du tout à être différent, perçoit même des forces dans ce qui pourrait être vu comme ses faiblesses et est apprécié par les autres en tant que tel. Il n'a absolument rien du mâle badass qu'on voit dans les autres séries policières et ça ne le dérange pas du tout, ce qui est très rafraîchissant.
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