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Culture

4 animaux marins DÉGUEULASSES qui me donnent envie de ne plus jamais me baigner

Certains animaux marins méritent de repartir loin dans les profondeurs, là où ils ne pourront terroriser aucun•e humain•e. La preuve en 4 points.

Tu prépares ton été à base de plongée et de baignade dans les profondeurs ?

On a réfléchi aux animaux marins qui nous font vraiment criser, histoire de te passer l’envie de tremper le moindre orteil… Derien.

À lire aussi : Le poisson-pénis et autres animaux phalliques

Les poulpes, bien trop malins pour être honnêtes

  • Le choix de Mymy, rédac chef adjointe qui ne va pas là où elle n’a pas pied

J’avoue, j’étais pas partie pour aimer les poulpes. Je me méfie naturellement de tous les animaux pourvu de plus de quatre pattes — et ça inclut les jolis papillons, oui, tout à fait.

Ainsi que les coccinelles.

La plupart des bestioles ayant trop de pattes vivent sur terre, mais d’autres se planquent sous l’eau. Je suis déjà pas trop fan des crabes, homards et autres crevettes, qui ressemblent juste à des insectes aquatiques…

Mais le pire, croyez-moi, le pire, c’est les poulpes.

Car leurs pattes sont molles et malléables, pourvues de ventouses et dotées d’une grande force. Imagine, tu nages, et là, une tentacule s’enroule autour de ta cheville, se fixe, t’entraîne toujours plus au fond…

AH SA RACE

En plus d’être DÉGUEULASSES et très costauds, les poulpes sont foutrement MALINS. Selon l’excellente page Wikipédia Intelligence des céphalopodes :

« La pieuvre est le seul invertébré à avoir démontré sa capacité à faire usage d’outils. Au moins quatre spécimens ont été observés alors qu’ils manipulaient des coquilles de noix de coco pour s’en faire une sorte de carapace protectrice.

Beaucoup d’autres invertébrés usent de divers objets […] mais ces comportements sont loin d’égaler celui de la pieuvre en complexité. »

Je vous renvoie également vers ce focus de France Inter qui rappelle l’histoire du poulpe enfermé dans un bocal, capable d’en dévisser le couvercle et de s’échapper.

Alors voilà, je sais pas pourquoi on se fait chier avec La Planète des Singes : s’il y a un animal qui signera la fin de l’humanité, je vous l’annonce, ce sera le poulpe.

Et je serai sa première victime, lentement ligotée entre ces ignobles ventouses. Encore une raison d’aller vivre sur Mars.

Les méduses, ces sournoiseries semi-transparentes

  • Le choix de Lise, rédac jeux vidéo

Sachez que je suis une amoureuse de la nature. Les animaux, qu’ils soient terrestres ou marins, me fascinent et m’inspirent bien peu de haine. Exception faite pour les méduses.

C’est simple, depuis toute petite elles m’ont toujours terrifiée. Quand j’étais gamine à la plage je rentrais toujours dans l’eau sur la pointe des pieds. Une fois je me suis emmêlée dans un sac plastique, autant vous dire que mon coeur a fait un bond.

Pourtant, je ne les avais jamais vues, ces bestioles. Je savais juste qu’elles dérivent au lieu de nager et que leur piqûre fait très très mal.

Et puis l’année dernière j’en ai vu moult en l’espace de trois virées à la mer.

  • D’abord à Marseille, alors que je m’offrais des petites vacances bien méritées dans les calanques avec mon copain. Vacances gâchées par des grosses méduses roses.
  • Ensuite à l’UCPA, où elles faisaient trempette pile à l’endroit où on se baignait.
  • Et enfin en Thaïlande, sur une île aux plages de sable fin et à l’eau cristalline. Quelle est la dernière chose que tu souhaites croiser alors que tu cherches des coquillages au tuba ? Des méduses, parfaitement.

Le problème avec les méduses c’est que quand il y en a une, il y en a plein. Parce que comme elles se laissent dériver, elles se retrouvent toutes logiquement au bout des courants. Et autour de ta jambe, idéalement.

Alors, bon, je me suis jamais fait piquer. Mais ça pourrait arriver ! Dans le doute, je préfère les éviter comme la peste.

Les oursins, ça pue, ça pique

  • Le choix de Chloé, rédac Devenir Adulte

Contrairement à ma collègue Lise ci-dessus, la nature c’est pas vraiment mon kif. Ou alors de loin. Ou alors en salade.

Et puisqu’on parle de salade, j’ai eu assez peu de confrontation avec les oursins dans ma vie, mais je pense que je ne suis pas près d’oublier la dernière fois en date.

Je m’étais enjaillée pour les fêtes et je m’étais dit qu’un petit cours de cuisine ce serait pas mal. Me voilà donc inscrite pour l’Atelier des chefs (je cite, parce que c’était vachement bien) (oursins mis à part).

En guise de plat principal, il y avait une sauce à base d’oursins. Outre le fait que le machin ressemble à une mine anti-doigts avec ces longues épines acérées comme des couteaux, me voilà confrontée avec le dedans de l’oursin.

Et ça puait. De ouf. Ça sentait une odeur d’iode vraiment très forte, et en l’occurrence plutôt infecte.

Non contente de se répandre dans toute la cuisine et de ne pas se déloger de mes narines, l’odeur ne s’est pas atténuée avec la cuisson.

Mais ce n’est rien à côté du goût, que je résumerai de façon très philosophique par : BERK.

À lire aussi : Le crocodile, le pigeon et autres viandes surprenantes qui ont fini dans nos assiettes

Maintenant je sais que les oursins sont une cause perdue pour moi, dehors ET dedans !

Les crevettes, ces créatures du sheitan

  • Le choix de Lucie, rédac livres et musique

J’adresse un disclaimer avant d’entamer cette diatribe : les crevettes, c’est délicieux.

Quand elles sont marinées dans l’huile d’olive, le citron et le curry, revenues à la poêle, et dégustées avec de l’ananas, on se rapproche indubitablement du goût que peut avoir le paradis.

Mais ne comptez pas sur moi pour les décortiquer : il est hors de question que la pulpe délicate de mes doigts s’approche d’un centimètre de ces infamies.

À quel moment la nature a-t-elle décidé que c’était une réussite de créer des petits machins gris au frétillement aléatoire, avec de longues antennes immondes et de petits yeux noirs vides et perçants (oui les deux) ?

Regardez-les : ces créatures sont issues du pire des cauchemars ! C’est une incompréhension totale de savoir que des gens possèdent ces monstres comme on met un poisson clown dans un bocal.

À quoi bon avoir la vision de ces horreurs tous les matins en prenant son petit-déj, alors qu’en plus, ces petites cochonneries nous méprisent en nageant à l’envers ?

Au quotidien, il est très compliqué d’avoir peur des crevettes. C’est un combat de chaque instant.

Mon estomac se noue au supermarché, devant des publicités pour les fruits de mer dans la rue (c’est quoi ces services marketing bidons qui pensent que la crevette est bankable), devant Top Chef quand c’est le thème de l’épreuve de la dernière chance (et qu’il y a des gros plans) ou au restaurant, quand mes acolytes optent, après avoir étudié scrupuleusement le menu de 6 pages, pour les gambas à la persillade (le boss de fin du fruit de mer).

À lire aussi : Pourquoi les crevettes, c’est pas net

Pire encore : certains individus mal intentionnés, que j’ai du mal à appeler « amis » dans ce contexte, n’hésitent pas à se venger d’une vanne bien envoyée dans une discussion virtuelle en balançant une photo de crevette, brisant mon cœur et ma vie.

J’en suis réduite à payer une fortune pour des crevettes décortiquées, ou plus simplement à m’en priver. Et je ne peux m’empêcher de me demander : est-ce que si un jour j’ai des enfants, j’oserai leur décortiquer leurs crevettes ?

À toi ! Quels animaux te donnent envie de ne plus jamais, au GRAND jamais, foutre un pied dans la mer ou l’océan ?

À lire aussi : Les dauphins sont-ils à la mer ce que les mecs toxiques sont sur Terre ?


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Les Commentaires

27
Avatar de Lilas DUPONT
20 août 2017 à 20h08
Lilas DUPONT
Mais c est croooo mimi les poulpes vous avez deja vu un bb pieuvre croooo mimiii
Sinon jsuis decue vous avez pas parlé de Ze creature de mes cauchemars et mes terreurs quand je vais a la mer : les crabes. Horrible. Deja petite Lui dans les supers nanas (les vraies savent) me faisaient pleurer
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Voir les 27 commentaires

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