Le harcèlement de rue, ça touche énormément de monde. Et pourtant, on se sent souvent seul•e face à ce fléau. Ville Sans Relou, un collectif qui s’est constitué pour lutter contre le harcèlement de rue et dont vous pouvez retrouver le site Internet ici, le Twitter là, et le Facebook dans ce coin, a réalisé une vidéo pour sensibiliser à ce problème.
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Le harcèlement de rue, ça vous concerne ? Ça concerne votre entourage ? En parlez-vous autour de vous ?
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Les Commentaires
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@Neverland90 : tout à fait d'accord. Il y a une vision caricaturale du pédophile façon Marc Dutroux, qui ne correspond qu'à une minorité de criminels ayant de gros soucis psychiatriques. Ce qui empêche de pointer du doigt les comportements tendant à la pédophilie ou l'encourageant. Quand un styliste propose des strings taille enfant, qu'un photographe prend des clichés suggestifs d'une enfant de 14 ans, qu'un adulte siffle une fille de 12, ça relève de la pédophilie ou de son apologie. Quant aux intellectuels dont parle l'article, je suis effarée. Et ce "Place Colette"... Je me souviens aussi du traitement médiatique de l'affaire d'une enseignante qui abusait de son élève de moins de 15 ans. Partout des "un amour interdit", "l'incompréhension de la famille". Même dans Causette, un magazine féministe, c'était ça, avec en plus une remarque comme quoi un amour lesbien ne "passe pas" dans la famille musulmane de la petite. Parce que bien sûr ne pas accepter que ta fille de 12 ans couche avec sa prof de 30, c'est un truc de barbu intolérant.
@LapinouFourbe : c'est toujours pareil, dès que j'entends parler de harcèlement dans les médias c'est très souvent des intervenants masculins qui parlent, et zéro référence à la parole, à l'opinion des victimes. Une fois sur deux pour expliquer doctement qu'elles exagèrent. C'est fatigant.