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J’ai traversé tout les États-Unis… En train !

Audrey a voyagé en solo à bord du California Zephyr. Elle nous raconte son épopée ferroviaire extraordinaire, à la conquête de l’Ouest américain !

Il y a un peu plus d’un an maintenant, j’ai découvert l’existence du California Zephyr, un train qui traverse les USA d’est en ouest.

Mon voyage de rêve, entre nostalgie ferroviaire et conquête de l’Ouest

Le California Zephyr part de Chicago et arrive à San Francisco : c’est le trajet des pionniers qui allaient à la conquête de l’Ouest ! Plutôt stylé, pas vrai ? D’ailleurs, cette ligne a véritablement été créée pour eux.

Ce qu’il faut savoir, c’est que j’adore le train.

C’est mon moyen de transport préféré, alors quand j’ai découvert ce trajet qui est considéré comme l’un des plus beaux au monde, ça m’a tout de suite fait rêver. Je n’arrêtais pas d’y penser !

Le projet d’un voyage par ce train a donc germé dans ma tête, mais j’y ai pensé pendant une année complète avant de lui donner des couleurs plus concrètes.

À l’époque, j’étais avec quelqu’un. J’ai donc un peu réfléchi à le faire à deux, mais finalement, au mois de septembre, ma vie a pris un nouveau tournant.

Désormais, c’était sûr, j’allais le faire toute seule.

Quand j’ai réalisé que finalement, je pouvais le faire !

Je vis à Montréal et comme mon visa se terminera en juillet 2017, ce voyage était donc mon dernier sur le continent américain avant de retourner en France, et je le voyais aussi comme un périple initiatique.

Comment on planifie un voyage en train ?

À partir de l’automne 2016, j’ai commencé à penser à ce projet plus concrètement, et j’ai étudié plusieurs itinéraires.

Est-ce que je devais faire le trajet en une seule fois ? Est-ce que je ne pouvais pas envisager de m’arrêter sur la route ?

Le parcours complet du California Zéphyr dure environ cinquante-et-une heure, il s’arrête dans trente-six gares, fait 3 924 km et traverse sept États.

Rien que ça, hein.

Les réactions de mes potes quand je leur ai parlé de mon projet.

C’est un trajet quotidien, un train par jour part de la gare de Chicago.

Le train n’est pas un moyen de transport très populaire aux USA. En effet, souvent, les trajets sont très longs et les retard sont réguliers.

Le principal avantage du train, c’est que c’est un moyen de transport vraiment peu cher (environs 160$ pour le trajet complet) et qui permet de se reposer tout en voyageant. Du coup, de nombreux américains l’utilisent tout de même.

Je me suis finalement décidée à faire le trajet en deux fois : je ferai une escale à Sacramento, en Californie, et je rejoindrai San Francisco par la suite.

Les deux villes se trouvent à une heure et demie de train, donc c’est un peu comme si je faisais tout le trajet en une seule fois.

Il y a deux sortes de billets, le train couchette et la classe éco avec des sièges. J’ai personnellement opté pour la deuxième option, surtout pour une question de budget.

J’avais tout de même lu à plusieurs reprises que les sièges étaient très confortables (rien à voir avec les TGV en France), et puis je m’étais dit qu’au pire, ce ne serait pas les deux plus belles nuits de ma vie, mais c’est aussi ça, l’aventure !

Comme j’habite à Montréal, mon voyage ne commençait pas de Chicago : j’avais planifié d’aller d’abord à Toronto en train, puis je me rendrai ensuite à Chicago en bus.

À ma grande tristesse, il n’y a effectivement pas de train pour se rendre à Chicago directement (j’aurais bien aimé effectuer un voyage « full chemin de fer », mais il fallait faire un gros détour de vingt-quatre heures, donc je me suis résignée à prendre le bus).

Pour moi, mon vrai périple ferroviaire commençait donc à Chicago.

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Le départ de Chicago : embarquement pour un monde inconnu !

Je suis arrivée à l’Union Station de Chicago en avance et j’ai trouvé rapidement des employés d’Amtrak, la société de train des USA, pour me renseigner sur le départ : il ne fallait surtout pas que je loupe mon train.

Ils m’ont expliqué que je devais attendre dans la gare et qu’une annonce serait faite trente minutes avant le départ.

Je n’avais pas de bagages en soute, mais si cela avait été le cas, il aurait fallu arriver plus d’une heure en avance pour les enregistrer (le service est gratuit, par ailleurs).

Dans le hall, les gens commençaient à arriver. Enfin, j’allais vivre ma grande aventure ferroviaire !

À 13h30, l’annonce du départ a retenti dans la gare : tous les voyageurs se sont donc mis en rang et une employée nous a demandé de la suivre, puis nous avons traversé la gare pour arriver à notre quai.

Un contrôleur a ensuite vérifié nos billets et hop, nous sommes montés dans le train. Le voyage commençait !

Moi quand j’ai réalisé que j’allais passer trois jours dans une boîte volontairement ET QUE ÇA M’ENTHOUSIASMAIT.

Je faisais partie des premiers à découvrir le train à deux étages.

Je me suis installée côté gauche du sens de la marche, à la fenêtre. Une femme s’est assise à côté de moi, puis le wagon s’est rempli petit à petit.

À 14h00, nous avons enfin quitté le quai ! Le train était à l’heure. C’était parti pour 50 heures de voyage !

Ma première escale était donc prévue à Sacramento, deux jours après, à 14h00 (il faut compter les deux heures de décalage que nous aurons durant le trajet).

À lire aussi : La première fois que… j’ai pris le train

Ça ressemble à quoi un train dans lequel on vit pendant trois jours ?

Ce que j’ai remarqué très rapidement, c’est la diversité des profils présents dans la train : jeunes, vieux, famille, couple, personnes seules, hommes, femmes, pauvres, riches… Il y avait vraiment de tout dans notre wagon !

Tout le monde s’est installé tranquillement pendant que le train sortait de Chicago. Il n’y avait que des personnes seules autour de moi, et j’ai décidé d’en profiter pour engager la conversation.

À quoi j’ai l’impression que je ressemble quand j’engage la conversation avec des inconnus.

C’est aussi ça qui fait partie du charme des voyages en train : on prend le temps de faire connaissance avec les voyageurs !

Je me suis donc un peu renseignée sur les destinations des voyageurs près de moi : ma voisine, par exemple, devait s’arrêter à Grand Junction, dans 24 heures. Elle était venue à Chicago pour rendre visite à son père malade.

L’homme devant moi avait prévu de s’arrêter à Reno. Il était dans le train depuis New York, car il ne pouvait plus prendre l’avion à cause d’une opération au cœur.

Le garçon derrière moi rentrait en Oregon pour les vacances d’été, après avoir passé l’année en Virginie pour ses études.

Il prenait ce train pour la première fois et il avait choisi ce moyen de transport car c’était moins cher que l’avion, qu’il avait le temps et qu’il voulait traverser physiquement son pays pour mieux le connaître.

Un homme un peu plus loin de nous était au contraire un habitué de ce train. Comme il avait du temps à revendre et qu’il aimait rencontrer des gens, ce mode de transport était son favori.

Un peu plus loin encore, il y avait une famille amish (il y en avait d’ailleurs beaucoup dans le train). Elle se rendait au Mexique afin de recevoir des questions de santé.

À l’entrée de notre wagon, il y avait un fanatique chrétien. Il nous a répété pendant toute la journée que Jésus était son ami, puis il a disparu le deuxième jour de voyage après que plusieurs personnes se soient plaintes.

J’ai aussi rencontré un acteur/réalisateur qui essayait de percer et qui se rendait en Californie voir son père. Il prenait ce moyen de transport depuis ses treize ans (il en a désormais trente-quatre) et il me disait que le trajet lui plaisait toujours autant, bien que le train ait beaucoup changé depuis toutes ces années.

J’ai donc appris qu’avant, dans ce train, on pouvait fumer à l’intérieur et qu’il y avait aussi des télévisions un peu partout. Je suis bien contente que ces deux choses ne soient plus d’actualité.

D’ailleurs, j’ai oublié de le préciser mais il n’y a pas de wifi dans le train. C’est donc un voyage coupé du monde, sans Internet… et ça fait un bien fou !

À lire aussi : Les 7 plaies du voyage en train

Comment la vie s’est organisée dans notre wagon ?

L’un des principal intérêt du train, c’est qu’on prend le temps de regarder le paysage changer doucement autour de soi. J’ai donc passé un certain nombre d’heures à regarder le monde à travers ma fenêtre.

Le paysage jusqu’à Denver, dans le Colorado, que nous avons rejoint tôt le lendemain matin, est majoritairement constitué de plaines.

C’est joli mais un peu répétitif ! Sur le chemin, nous avons tout de même traversé le mythique fleuve du Mississippi, ainsi que deux États, l’Illinois et l’Iowa.

Quand l’heure du dîner a approché, un steward a fait un appel pour les personnes désirant manger dans le wagon restaurant. Pour ma part, j’avais fait des courses pour tout le voyage, dans le but de faire des économies.

DES PRINGLES. DU BONHEUR

À ce stade du voyage, le train commençait à devenir une petite maison pour chacun. D’ailleurs, comme cela est dit sur la notice de sécurité :

« We’re all in this together… Literally ! ».

J’ai donc eu l’impression qu’une réelle cohabitation s’était créée : chacun essayait de faire son possible pour être respectueux de l’espace des autres.

En effet, nous allions tous (plus ou moins) être là pendant trois jours, donc tout le monde faisait des efforts pour bien vivre en communauté.

Côté hygiène, il est sûr que nous n’allions pas pouvoir nous doucher pendant ces trois jours, mais nous avions de nombreuses toilettes dans chaque wagon, ainsi qu’une pièce pour se préparer, avec des sièges, un miroir, des lavabos… et une « dressing room » pour se changer tranquillement.

Le ménage était également fait régulièrement par le personnel de bord.

La tombée de la nuit approchant, je me suis rendue au wagon panoramique ; c’est un lieu où il y a plus de fenêtres, des sièges tournés vers le paysage ainsi que des tables où les gens peuvent manger ou jouer à des jeux.

C’est aussi l’endroit le plus propice pour faire des rencontres et avoir des discussions avec des voyageurs, surtout entre 22h et 7h du matin, où le silence doit être maintenu dans les wagons.

Ensuite, il était déjà l’heure d’aller se coucher. La majorité des gens se sont mis en pyjama : j’ai suivi leur exemple, puis c’était parti pour une première nuit dans le train !

À lire aussi : La méthode 10-3-2-1-0, une technique toute simple pour trouver le sommeil facilement

Les Rocheuses au petit dej, on a vu pire, non ?

Je me suis réveillée au petit matin.

Nous étions maintenant dans le Colorado et nous avions gagné une heure ! La nuit s’était plutôt bien passée et comme l’a d’ailleurs dit ma voisine :

« Vu les conditions, on a bien dormi ! »

Nous, fraîches comme des fleurs au réveil.

Je me suis préparée mon petit déjeuner et je me suis rendue en pyjama vers le wagon panoramique pour admirer le lever du soleil tout en dégustant mes tartines.

Je n’étais pas la seule à avoir eu cette idée évidemment, et le wagon était déjà bien plein pour cette heure matinale.

Plus nous approchions de Denver, plus nous commencions à voir les Rocheuses, premier spectacle de notre voyage.

C’était tout de même assez intrigant de voir un train pareil gravir une montagne.

Nous sommes donc monté petit à petit (autant vous dire que le train n’a pas la vitesse d’un TGV) : on avait une très belle vue de la ville, d’en haut, c’était magnifique.

Les montagnes étaient enneigées. Nous ne les avons pas toutes franchies par les hauteurs et nous avons donc traversé toute la journée des tunnels (trente-et-un en tout !)

C’était vraiment très beau et je me suis sentie enthousiaste : j’avais hâte de découvrir la suite.

Nous avons ensuite suivi la Colorado River durant toute la descente.

Nous sommes arrivés à Grand Junction dans l’après-midi : c’était le départ de ma voisine et l’entrée du train dans l’Utah ! Les paysages ont changé rapidement et nous étions désormais au milieu d’un canyon, puis nous nous sommes retrouvés au milieu du désert de l’Utah.

C’était mon moment préféré de tout le voyage !

Le wagon panoramique était plein : tout le monde essayait de distinguer les différentes espèces d’animaux que nous pouvons trouver dans les environs.

Ensuite, nous avons assisté à un coucher du soleil sur les montagnes du désert à couper le souffle.

Puis je me suis mise en pyjama, et hop, il était déjà l’heure de dormir.

Ce soir-là, j’étais seule, j’ai pu donc prendre les deux sièges, qui s’inclinaient presque complètement.

Royal !

À lire aussi : J’ai tout plaqué pour partir en voyage — Témoignages de madmoiZelles

Dans un voyage en train, on apprend à attendre et à être moins pressé

Le lendemain, j’étais censée me réveiller dans le Nevada, mais le conducteur nous a appris que nous avions accumulé deux heures de retard durant la nuit à cause du trafic (!).

Ce n’est pas grave, cela fera deux heures de plus pour admirer le paysage, et puis au bout d’un tel trajet, deux heures de plus ou de moins, ça ne fait pas bien grande différence ! J’étais plutôt étonnée de ne voir personne râler.

Les gens qui voyagent en train prennent beaucoup plus les aléas du voyage avec du recul : ils font partie de l’aventure !

Mon seul message pour vous.

Il était encore très tôt ce matin lorsque je me suis réveillée, c’était donc encore l’occasion de voir le lever du soleil !

Durant la matinée, nous avons croisé la route d’un train accidenté. Nous sommes restés coincés en plein milieu du désert pendant deux heures !

J’en ai profité pour faire ma toilette et discuter avec mes voisins. Puis nous sommes repartis, avant d’arriver dans le Nevada.

Le conducteur avait certainement un peu poussé les machines, car sur les quatre heures que nous avions perdues, nous en avions rattrapé une !

Après être partis de Reno, nous avons commencé à voir au loin la Sierra Nevada, qui est la deuxième chaîne de montagne que nous croisions pendant le voyage. C’est par elle que nous allons entrer en Californie.

Sacramento étant de l’autre côté, j’approchais de la fin de mon épopée.

L’ascension de la Sierra Nevada était tout aussi chouette que les Rocheuses et c’était quand même intrigant de voir de la neige alors que nous étions si proches du désert !

Et quand nous avons terminé l’ascension de la Sierra Nevada, nous sommes descendus vers l’océan : on commençait à voir des palmiers au loin, autant vous dire que le décalage avec les montagnes enneigées était impressionnant !

J’avoue que les dernières heures de train ont été un peu longues, à cause du retard que nous avions accumulé, mais le voyage est quand même passé très vite ! J’étais aussi très étonnée de voir que personne n’a râlé à cause du retard du train : les voyageurs sont tous restés très calmes et détendus.

Le temps de regarder le paysage, de prendre des photos, d’écouter de la musique, de lire, d’écrire dans mon carnet et de parler aux autres voyageurs et voilà que j’étais déjà arrivée à Sacramento.

Histoire de détendre l’atmosphère, le conducteur, qui avait l’air d’excellente humeur, nous parlait parfois au micro pour nous raconter des anecdotes sur les paysages que nous traversions et nous faire quelques boutades. Extrait choisi :

« Sacramento sera une pause cigarette, nous vous demandons de bien éteindre votre cigarette quand vous remontez à bord afin de ne pas mettre le feu au train.

Et si vous vous demandez si c’est déjà arrivé, oui, c’est déjà arrivé ! »

Comment j’imagine le conducteur après chacun de ses calembours

À lire aussi : C’était mieux avant, quand on savait prendre son temps…

Après 73 heures de voyage, mon arrivée à Sacramento, at least !

À Sacramento, le climat était diamétralement opposé à celui de Chicago, où il pleuvait et où le thermomètre était proche de 0 degrés.

Ici, il faisait 35 degrés et le temps était magnifique. Je me suis tout de suite dit :

« Je crois que je vais aimer la Californie ! »

Comme prévu, j’ai donc profité de mon escale et j’ai bien pris le temps de visiter Sacramento, qui est la capitale de l’État de Californie.

San Francisco n’étant qu’à une heure et demie de train de Sacramento, autant vous dire que cette partie du trajet, je l’ai faite « finger in the nose » !

Je suis remontée dans le train avec enthousiasme pour boucler mon aventure ferroviaire (ça m’avait presque manqué !).

Nous avons avons longé la baie avant d’arriver à Emeryville, où nous avons pris un bus pour la « City by the bay », car oui, le train ne se rend pas jusqu’à la dernière étape (c’est un peu dommage d’ailleurs !).

Cette partie du trajet n’a rien d’exceptionnelle, mis à part le fait nous roulions au bord de l’eau, et c’était plutôt agréable.

Soudain, au détour de la route, j’ai aperçu le Golden Gate Bridge et la Skyline ! Et c’est là que j’ai réalisé que je l’avais fait !

J’avais traversé les États-Unis en train !

Que de trajet parcouru ! Que de paysages différents traversés ! Que de personnes rencontrées !

Ce que ce voyage un peu différent m’a apporté

C’était une expérience inoubliable, un voyage superbe que je recommande chaudement si vous souhaitez voir un pays différemment.

Au total, j’aurais mis 75 heures pour arriver à San Francisco, mais ce temps vaut largement les 5h30 d’avion que j’ai eu pour le retour à Montréal, car on voyage différemment quand l’objectif est le parcours et non pas la destination.

Si je devais le refaire, je préparerais juste mieux mes courses.

Qu’on se le dise, j’ai vraiment mangé n’importe quoi pendant trois jours (à coup de chocolat et de cacahouète, j’ai pas été très bonne sur ce coup là) et je partirais certainement avec quelqu’un.

Même si j’ai pu parler de mon expérience avec les personnes rencontrées, c’était un peu frustrant de ne pas pouvoir la partager avec un ami ou mon copain.

Je suis cependant très fière de l’avoir fait, c’était mon premier voyage seule et je suis très contente d’avoir pu mener à bout mon projet.

« I DID IT ! »

D’ailleurs, pendant mon périple, que ce soit à Toronto, à Chicago, à Sacramento ou à San Francisco, je me suis toujours arrêtée dans des auberges de jeunesse où je n’ai rencontré que des femmes qui voyageaient seules : je trouve cela très inspirant et cool que nous soyons si nombreuses à sauter le pas pour partir seule à la découverte du monde !

À lire aussi : REPLAY — Pourquoi (et comment) partir seule en voyage ?

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Les Commentaires

7
Avatar de madmoizelle.cora
21 février 2018 à 10h02
madmoizelle.cora
Cet article m'a beaucoup inspiré.. donc j'ai sauté le pas à mon tour et j'ai fait ce magnifique voyage à bord du California Zephyr en solo. N'ayant pas une très bonne plume, je raconte ce voyage en vidéo
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Voir les 7 commentaires

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