À 17 ans, Natalia Castellar vient d’être recrutée par une agence de mannequins grâce à ses sourcils, qui avaient été une source de harcèlement et de moqueries…
Dans son enfance, Natalia Castellar Calvani a souffert de harcèlement à cause de ses sourcils. Et quand ils n’étaient pas source de moqueries, ils restaient quand même un sujet d’attention et de conversation pour les gens qui l’entouraient.
Aujourd’hui, à 17 ans, la jeune femme vient d’être recrutée par l’agence de mannequins Next models, grâce à ces mêmes sourcils. Une bonne façon de prouver encore une fois que les complexes sont pourris…
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Natalia a pourtant eu du mal à accepter ses sourcils à cause de la réaction systématique des personnes autour d’elle, comme elle l’explique dans une interview :
« Quand j’étais plus jeune, les gens ne cessaient d’attirer l’attention sur mes sourcils. J’étais beaucoup harcelée à cause de leur épaisseur et de leur longueur, alors j’ai voulu les raser.
Un jour, j’étais sur le point de le faire quand ma mère m’a interrompue. (Merci maman !) Ce n’est que lorsque les sourcils épais sont devenus tendance que j’ai commencé à me sentir plus confiante.
Maintenant, je me fiche qu’ils restent à la mode ou pas, j’aime mes sourcils. Ils me distinguent des autres mannequins. Ils sont ma marque de fabrique et je regrette de ne pas les avoir acceptés plus tôt. »
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Une belle revanche qui n’est pas sans rappeler celle de Khoudia Diop, la Melanin Goddess, harcelée pour sa couleur de peau… devenue un véritable phénomène sur Internet !
Magnifique <3.
Aujourd'hui je suis fière d'avoir des sourcils épais (alors que plus jeune j'en avais honte) je suis contente d'avoir résisté à l'appel de la pince à épiler.
![[Image de une] Horizontale (14)](https://c0.lestechnophiles.com/www.madmoizelle.com/wp-content/uploads/2024/06/image-de-une-horizontale-14-768x432.jpg?resize=300,350&key=4576cf57 "[Image de une] Horizontale (14)")
Les Commentaires
Aujourd'hui je suis fière d'avoir des sourcils épais (alors que plus jeune j'en avais honte) je suis contente d'avoir résisté à l'appel de la pince à épiler.