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4 histoires de Noël qui font peur, à se raconter au coin du feu

Il n’y a pas qu’à Halloween qu’on peut se faire peur. Ces histoires de fantômes vont transformer tes « Ho Ho Ho » en « AHHHHHH » effrayés !

Avant que la Noël ne soit surtout connue pour être la période magique et joviale qu’elle est aujourd’hui, il y a une époque plus lointaine où ce moment de l’année était célébré de manière bien différente…

La grande tradition était de se raconter des histoires de fantômes !

Et comme j’aime bien tout ce qui fait partie de la lugubre-vie, compte sur moi pour perpétuer cette tradition en te contant 4 histoires qui vont te faire frissonner.

Les histoires de fantômes à Noël, une vieille tradition

Dans le temps, les gens se réunissaient donc avec leurs amis et leur famille pour échanger des histoires de fantômes la nuit du solstice d’hiver, qui arrive quelque jours avant Noël.

Selon Justin Daniels, qui étudie les coutumes religieuses, voici ce qui explique cette coutume qu’on aurait plutôt tendance à associer à Halloween :

En Europe et aux États-Unis, Noël était à l’origine lié aux célébrations « païennes » du solstice d’hiver et du festival connu sous le nom de Yule.

Le jour le plus sombre de l’année a été considéré par beaucoup comme une époque où les morts ont un accès particulièrement facilité avec les vivants.

Tu connais sûrement déjà A Christmas Carol (Le Drôle de Noël de Scrooge), qui a bénéficié de nombreuses adaptations animées ou filmées.

L’Étrange de Noël de Monsieur Jack est également une histoire un peu lugubre avec des fantômes.

Mais ces histoires restent accessibles aux enfants… À l’inverse de celles que je vais te raconter !

Alors installe-toi au coin du feu, ou dans le noir total avec pour seule lumière une lampe torche placée sous ta tronche pour l’effet flippant, et prépare-toi à frissonner !

Un tueur vicieux et un mec qui veut juste partir en vacances

Je vais te raconter l’histoire de The Kit-bag de Algernon Blackwood, parue en 1908.

Je te la résume moi-même à partir de ce que j’en ai lu, mais si tu souhaites parcourir la version intégrale en anglais, sache qu’elle est disponible ici.

L’intrigue se déroule à Londres, quelques jours avant Noël.

Johnson, secrétaire d’un avocat de la défense du nom d’Arthur Wilbraham, décide de se rendre dans les Alpes pour les vacances.

Plus tôt ce jour-là, l’avocat avait proclamé « non coupable » un meurtrier vicieux du nom de John Turk, avec comme la justification sa démence. L’accusé était en procès pour le meurtre d’une femme qu’il avait démembrée.

Johnson, l’assistant de l’avocat, a assisté à chaque audience et connaît l’affaire par cœur.

Autant dire qu’il en a soupé, et qu’il est bien content que tout cela soit enfin terminé afin de pouvoir enfin sortir de sa vie le visage pâle, la frange brune et les yeux démoniaques du tueur…

Johnson s’apprête donc à partir en vacances pour les fêtes, et demande à son patron s’il peut lui emprunter un sac de voyage. (Étrange qu’il n’en possède pas déjà un, cela dit, mais passons.)

Son chef lui promet alors de lui envoyer un de ses serviteurs le soir même pour le lui livrer.

Quand Johnson rentre chez lui ce soir-là, dans une vielle maison de Bloomsbury où il loue un étage, le sac de voyage l’attend déjà.

Vers 10 heures du soir, alors qu’il monte dans sa chambre pour aller chercher ses affaires, il entend des bruits de pas dans les escaliers. Il va voir, mais il n’y a personne.

Lorsqu’il décide de soulever le sac pour commencer à le remplir, il se rend compte qu’il est très sale et abîmé.

En le regardant de plus près, il a l’impression que le sac prend la forme d’un visage… Un visage qui lui rappelle celui de John Turk.

Johnson se ressaisit et se dit en riant que c’est simplement cette sale affaire qui lui monte à la tête.

Il entend de nouveau des bruits, cette fois venus de sa chambre. Et va voir, mais encore une fois il n’y a rien. En revenant, il se prend les pieds dans le sac de voyage, loin de l’endroit où il l’a laissé.

Il jurerait qu’il ne l’avait pourtant pas déplacé.

C’est comme si chaque fois qu’il avait le dos tourné, le sac changeait de place, voire le suivait !

En voulant commencer à le remplir, il se rend compte que le sac est ouvert, ce qui n’était pas le cas avant.

À l’intérieur, il y a des taches, qui ressemblent a du sang. Il commence également à entendre des murmures imperceptibles.

Pris d’un sentiment d’horreur, Johnson recule et se cogne accidentellement sur le mur, ce qui a pour effet d’éteindre l’interrupteur.

Il entend le sac bouger… Et s’empresse de rallumer la lumière.

Et c’est alors qu’il le voit.

La silhouette de John Turk est debout, face à lui. Les murmure se font plus compréhensibles :

Ce sac est à moi. Et je le veux.

C’est alors que Johnson se souvient avoir déjà vu ce sac. Pendant le procès de John Turk. Après qu’il a tué sa victime et l’a découpée, le tueur a mis les morceaux dans ce sac, puis l’a rempli de chaux avant de l’enterrer.

Jonhson tente de se diriger vers son lit, exténué, ne sachant plus différencier la réalité des illusions. Il perd connaissance.

Lorsqu’il se réveille le lendemain matin, un autre serviteur de son chef vient lui rendre visite pour lui apporter… un nouveau sac de voyage.

Il lui explique alors qu’il y a eu une confusion.

Ce que Johnson avait en sa possession n’était autre que le sac que le tueur utilisait pour y mettre les membres de ses victimes.

Le serviteur lui apprend également que le tueur s’est suicidé la veille… aux alentours 10 heures du soir.

Dans sa note de suicide, John Turk a demandé à être enterré dans le même sac que celui dans lequel il avait tenté de cacher le corps de sa victime.

Comment un mec confond une preuve dans une affaire si importante avec un banal sac de voyage ? Je ne sais pas. Ça n’a pas de sens. C’est pourtant l’une des histoires de fantômes de Noël les plus populaires !

Et si le Père Noël était un pervers ?

Christmas is coming, de Gina L. Grandi, 2015.

Cette histoire est très courte, en voici donc la version complète !

Chaque année, je te regarde dormir. J’aime que tu sois immobile, que tu respires en silence. C’est un jeu de te garder dans cet été.

Parfois, je me rapproche — soigneusement, avec précaution. Je balade un doigt sur ta manche. Je touche tes cheveux avec ma langue. Je laisse ma barbe te brosser le front.

Si je peux, si je pense que tu ne te réveilleras pas, j’ouvrirai un tiroir. Je poserai un pouce sur son contenu, je sourirai à l’idée que tu porteras mon contact, sans le savoir, sur ta peau nue.

Peut-être que j’ouvrirai un placard. Peut-être que je déplacerai quelque chose dans ton dressing, juste un peu. Peut-être que tu le remarqueras… mais je pense que ce ne sera pas le cas.

Je mangerai les cookies, car pourquoi pas ? Je penserai à toi, endormie dans la pièce voisine, et je lècherai les miettes sur mes doigts. Je poserai le plateau sur mes genoux.

Puis, au bout d’un moment, j’irai remplir tes chaussettes de Noël. Chaque cadeau sera manipulé avec précaution, tendrement, avant d’être glissé à l’intérieur.

Je t’imaginerai, le matin, découvrant ce que je t’ai laissé. Et parfois je devrai faire une pause pour reprendre mon souffle.

Je repenserai à l’année dernière, et celle d’avant. Chaque année est meilleure que la précédente.

Avant de partir, je te jetterai un dernier regard. Je te murmurerai sûrement quelque chose. Je me pencherai même contre ton visage et chuchoterai chaleureusement à ton oreille « Joyeux Noël ».

Merci à cette HORRIBLE histoire de rétablir la vérité. Un gros monsieur qui se glisse chez les enfants la nuit, c’est CHELOU. C’est vrai quoi, on sait pas ce qu’il fait !

Une partie de cache-cache dans une vieille maison

Smee, de A.M Burrage. Il s’agit encore une fois d’un résumé, tu peux trouver l’audiobook intégral ici.

Lors d’un Noël entre ami, Toni Jackson refuse de jouer à cache-cache. Étonné de cette réaction, étant donné que Toni est généralement un jeune homme dynamique et joueur, ses proches lui demandent ce qui ne va pas.

Toni assure que tout va bien, mais qu’il a de mauvais souvenirs avec ce jeu en particulier et qu’il a décidé de ne plus y participer. Jamais.

Il explique que dans une très vieille maison, dans laquelle il avait l’habitude d’aller, un évènement lugubre a eu lieu pendant une partie de cache-cache.

Une jeune fille qui y jouait avec ses amis a un jour poussé une porte pour se réfugier dans une chambre, mais elle s’est trompée d’endroit : celle-ci donnait en fait sur l’escalier du rez-de-chaussée.

La fille est tombée et s’est brisée le cou.

Il assure qu’il n’était pas présent ce jour-là, mais qu’il a un souvenir personnel encore pire.

Ses amis sont curieux d’en savoir plus, et demandent à Toni de lui raconter cette fameuse histoire qui semble l’avoir tant troublé. L’homme accepte.

L’histoire, la voici.

Un Noël, alors qu’il dînait avec 11 amis dans la vieille maison de ses cousins, ils ont décidé de faire une partie d’un jeu du nom de Smee.

Voilà en quoi consiste le jeu.

Chaque joueur se voit distribuer une feuille de papier vierge. Sur une seule seulement est inscrit le mot « Smee

». Seul Smee sait qu’il est Smee.

Le jeu commence quand toutes les lumières s’éteignent. Chacun doit s’éparpiller pour trouver Smee.

Lorsque tu croise quelqu’un, tu dis « Smee ». S’il n’est pas Smee, il te répond « Smee », et vous poursuivez votre chemin.

En revanche, le vrai Smee ne doit pas répondre « Smee ». Il doit rester silencieux. Tu sais donc que tu as trouvé Smee lorsqu’il ne te répond pas.

Tu dois alors rester à côté de lui en silence aussi. Lorsqu’une nouvelle personne vous croise et dit « Smee ? », tout les deux (toi et Smee) ne devez pas répondre.

La personne s’ajoute à vous, jusqu’à ce que tout le monde soit regroupé. Lorsque tout le monde est là, le jeu est fini. Le dernier arrivé a un gage.

Lors de ce dîner de Noël, donc, Toni arrive en retard et remarque une jeune fille grande et pâle en bout de table à laquelle il n’a pas été présenté.

Avant de commencer le jeu, l’hôte leur raconte l’histoire de la fille morte, en leur disant qu’il faut donc faire attention en jouant à Smee.

Tout le monde promet de faire attention.

Les papiers sont préparés puis distribués. Toni n’est pas Smee. Les lumières s’éteignent et la chasse commence.

Tout le monde court, se croise, se répond « Smee ». Toni trouve le groupe de gens silencieux qui ne répondent pas à  son « Smee ? » et les rejoint.

Le dernier arrivé craque une allumette pour vérifier qu’ils sont tous bien là, et compte jusqu’à 13. Les autres lui disent que c’est impossible, qu’il a mal compté. Il utilise alors une lampe-torche pour mieux voir. Tout le monde compte avec lui.

Cette fois, ils sont bien 12.

Une fille du groupe, du nom de Violet, est surprise lorsque les lumières se rallument.

J’étais pourtant sûre qu’il y avait quelqu’un à côté de moi, vous avez bougé ?

Il commence à faire froid. Un malaise inexpliqué s’installe.

À la fin de la troisième partie, Reggie chuchote à Toni :

J’ai cherché Smee dans ma chambre et j’ai senti une main. J’ai cru l’avoir trouvé, et j’ai dit « Smee ? ».

Mais tout d’un coup, je ne me suis pas senti bien.

Alors j’ai allumé ma torche et il n’y avait personne. Et personne n’a pu partir, car j’étais dans le cadre de la porte !

Toni lui suggère qu’il a imaginé toute l’affaire, et Reggie acquiesce.

Les amis lancent une nouvelle partie. Plus personne n’a vraiment envie de jouer… mais personne ne dit rien.

Toni a l’impression de ressentir une présence, mais se dit qu’il est influencé par Reggie et Violet, qu’il se monte la tête pour rien.

Il a décide d’aller du côté Ouest de la maison et rentre dans quelqu’un. La personne est au coin d’une fenêtre, à côté du rideau.

Il touche et sent un bras, mais ne voit pas de qui il s’agit.

Il demande « Smee ? » et n’obtient pas de réponse. Toni demande :

— C’est quoi ton nom ? — Brenda Ford.

Ça ne lui dit rien, alors il en conclut qu’il s’agit de la fille à laquelle il n’a pas été présenté. Toni est content de pouvoir mettre un nom sur son visage.

Il tente de faire la conversation, mais elle semble prendre le jeu très au sérieux et reste silencieuse. Il se dit qu’elle doit ne pas aimer les hommes, qu’elle utilise la règle du jeu comme prétexte pour ne pas parler.

De longues minutes s’écoulent. Toni commence à être mal à l’aise. Il pense de plus en plus à la main de cette fille, froide, si froide.

Puis soudain, le rideau bouge, et il entend l’une de ses amis, Mrs Gorman. Toni et Brenda ne répondent pas au « Smee ? » de Mrs Gorman, alors comme le veut le jeu, elle s’installe pour rejoindre ce groupe silencieux.

Il discute avec elle et se sent mieux, mais la troisième reste silencieuse. Toni et Mrs Gorman sont tous les deux d’accord pour dire qu’ils ont envie d’arrêter le jeu.

Ils n’arrivent pas à s’enlever de la tête l’impression qu’il y a un joueur supplémentaire ce soir. Une joueuse.

Puis quelqu’un arrive enfin. C’est Reggie.

— Qu’est ce que vous faites ? On vous attend tous depuis des plombes ! Vous avez tous les deux un gage ! — Mais vous n’avez pas trouvé Smee ! — Bah si, c’est moi, Smee !

Reggie approche sa torche du rideau, et tous se rendent compte qu’il n’y a personne d’autre ici.

Toni se sent alors très mal.

— Il y avait quelqu’un ! Je l’ai touchée ! — Moi aussi ! — Comment elle aurait pu s’en aller sans qu’on s’en rende compte ?!

Reggie décrète alors :

— Quelqu’un s’amuse à nous faire une blague depuis le début. On arrête !

Lorsqu’ils rejoignent le groupe, Toni repère la fameuse fille, et s’exclame :

— Tu as prétendu être Smee tout ce temps, et tu t’es enfuie !

L’inconnue semble surprise et fait non de la tête.

Le groupe décide de se rabattre sur un jeu de cartes. L’hôte de la soirée se dirige alors vers Toni et lui dit qu’il doit lui parler. Il n’a pas l’air très content.

— Eh, ce n’est pas grave si vous êtes amoureux avec Mrs Gorman, mais évitez d’allez vous bécoter au moment où l’on vous attend tous !

Et Toni de répondre :

— Hein ?? Mais on n’était pas seuls ! Il y avait quelqu’un ! La grande fille pâle, miss Ford !

L’hôte considère Toni avec perplexité. Non, avec stupeur.

— Miss… qui ? — Brenda Ford.

Il y a un silence.

— Toni, écoute, si c’est une blague, ce n’est drôle. Brenda Ford est le nom de la jeune fille qui est morte ici. Celle qui est tombée dans l’escalier il y a 10 ans.

Perchta, la déesse de Noël

Ceci n’est pas vraiment une histoire, mais plutôt le portrait d’une certaine déesse/sorcière de Noël, connue sous le nom de Perchta.

Perchta est une déesse celtique et c’est une sorte de père Noël moins sympa. Un peu comme Krampus, finalement.

Elle est apparue dans les régions alpines au Moyen-Âge, et était connue pour être une sorte de gardienne des traditions.

Pendant les douze jours entre Noël et l’Épiphanie, et particulièrement la dernière nuit, on dit qu’elle errait dans la campagne glacée et se faufilait chez les gens.

Si les enfants et les domestiques d’une maison s’étaient bien conduits et avaient travaillé dur toute l’année, elle leur donnait parfois une petite pièce d’argent qu’elle dissimulait dans une chaussure ou un seau.

Si ce n’était pas le cas, elle leur ouvrait le ventre, leur retirait les entrailles et bourrait le trou de paille et de cailloux !

Les filles qui n’avaient pas filé tout leur lin ou leur laine cette année-là deviendraient des poupées de paille à Noël.

(Ah oui, parce que les filles avaient que ça à foutre à l’époque ? Franchement Prechta, un peu de sororité, peut être qu’elles étaient occupées à faire autre chose !)

Elle ouvrait également le ventre des gens et les bourrait de paille s’ils mangeaient quelque chose le soir de sa fête qui ne soit pas le repas traditionnel à base de poisson et de gruau.

Le culte de Perchta en Bavière, sous lequel ceux qui la vénéraient laissaient nourriture et boissons dans l’espoir de recevoir richesse et abondance, fut condamné en 1468.

C’est tout pour mes histoires flippantes. Joyeux Noël, et fais de beaux rêves !

À lire aussi : 7 podcast flippants à écouter le soir d’Halloween


Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.

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