Quand Zayn a annoncé qu’il quittait les One Direction, ni une ni deux, j’ai immédiatement demandé des explications de la part de l’Elysée. Inutile de vous dire que je n’ai pas reçu de réponse de l’équipe de com’ du Président, ce qui m’a vachement déçue. Le gouvernement devrait être capable de répondre à une telle situation de crise.
Pourtant j’avais demandé poliment.
Heureusement, Stephen Hawking est là pour nous offrir son soutien en cette période difficile !
Le scientifique à la renommée mondiale, connu pour sa Brève histoire du temps et ses nombreux travaux en mathématiques et en cosmologie, est intervenu ce week-end à Sydney pour donner une conférence sur les trous noirs, son domaine de prédilection. Notez bien que pendant cette conférence, Hawking est apparu sur scène sous forme d’hologramme, puisqu’il parlait en fait depuis son bureau à Cambridge, en Angleterre… ce qui rend ce qui suit encore plus cool.
Vers la fin de la conférence, une jeune fille s’est avancée pour lui poser la question suivante :
« Selon vous, quel est l’effet cosmologique du départ de Zayn des One Direction, qui a conséquemment brisé le cœur de millions d’adolescentes sur Terre ? »
Voici la réponse parfaite de Stephen Hawking :
« Enfin, une question à propos de quelque chose d’important ! Mon conseil à toute jeune fille au cœur brisé serait de se tourner vers l’étude des physiques théoriques. Parce qu’un jour, on pourrait bien réussir à prouver l’existence d’univers parallèles. Il n’est pas tout à fait impossible que, quelque part en dehors de notre propre univers, existe un autre univers, différent du nôtre. Et dans cet univers, Zayn fait toujours partie des One Direction. Cette jeune fille apprendra peut-être même que dans un autre univers alternatif, Zayn et elle sont mariés ! »
Il y a plusieurs choses que j’aime dans cette réponse : tout d’abord, Stephen Hawking sait qui est Zayn Malik, ce qui confirme ma théorie selon laquelle Zayn est au centre de l’axe sur laquelle la Terre tourne. Deuxièmement, il répond de manière attentionnée et intelligente, alors qu’il aurait pu supposer que la question n’était qu’une plaisanterie.
J’aime quand tu me parles comme ça, Stephen.
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