Au cas où vous étiez sur mars ce week-end, sachez que la planète a commencé à jouer à Pokémon Go. Il n’aura pas fallu longtemps pour que certain•es joueur•ses montent leurs Pokémons à 500 points de combats, fassent évoluer leur Évoli en Aquali, ou même se dégotent un Draco.
Vous la sentez, la frustration, là ? Je me sens rien con avec mes deux Évolis et mon mini Draco…
Très vite, l’application est devenue hype comme pas permis, même en France où elle n’est pas censée être officiellement sortie. Vous souhaitez rejoindre les rangs des dresseur•ses sur smartphone ? Je vous explique par ici comment faire ! Et parce que l’Internet est sans limites, voici un petit best-of personnel des réactions liées au jeu.
On se fend la poire sur Pokémon Go
Sur les réseaux sociaux, ce n’est pas juste la compétition du/de la meilleur•e dresseur•se. C’est aussi le concours de celui ou celle qui arrivera à être le/la plus drôle.
Ma petite préférée ? Cette dresseuse qui s’est amusée à renommer ses Pokémons en fonction de la correction automatique de leur prénom !
https://twitter.com/Adnelle/status/751619923944714240
Depuis, j’ai renommé mon propre Nosferalto « Gilbert » parce que je trouve que ça lui va parfaitement. L’équipe de Kotaku s’est amusée à compiler des photos de Pokémons sur des toilettes parce que oui, même sur le trône, vous pouvez recevoir la visite d’un Rattata.
Le jeu propose une infinité de possibilités. Comme il fallait s’en douter, on ne trouve pas les mêmes Pokémons selon les endroits où on se balade.
J’ai trouvé plein de Carapuces et de Bulbizarres à côté de Lyon, j’ai enfin réussi à capturer des Évolis et des Poissirènes en allant à Marseille, et les Soporifiks pullulent près de Paris !
Dans les grandes villes, les Rattatas et les Roucools sont aussi nombreux que les rats et les pigeons. Ça donne lieu à des situations assez insolites.
Certain•es vont même au-delà du jeu, comme Boulet, qui s’est amusé à réinventer le concept. Son compte Instagram regorge d’images de ce type depuis samedi :
On frissonne dans Pokémon Go
Le souci, c’est que l’application ne fait pas que des heureux•ses. Être obligé•e d’activer la géolocalisation, c’est déjà problématique en soi. Mais quand Pokémon Go ne fonctionne qu’avec des smartphones récents, c’est l’assurance de toucher le jackpot pour une personne malintentionnée.
Aux États-Unis, trois personnes se sont servies de l’application pour détrousser des joueur•ses. Malins, les malfrats ont placé un module leurre sur un Pokéstop, permettant à tout le monde d’attraper un maximum de Pokémons à un endroit précis.
Les fans ont alors afflué et ont été dépouillé•es de tous leurs biens ! Une amère expérience qui est pourtant loin d’être la pire, parmi toutes les histoires glauques liées au jeu : Shayla Wiggins, une jeune fille du Wyoming, est tombée sur un cadavre dans une rivière en recherchant des Pokémons.
Pour ma part, je suis obligée de jouer sur tablette, puisque mon téléphone n’est pas assez puissant. Vous n’imaginez pas combien j’y suis cramponnée quand je marche dans la rue. Je pense que je vais même ligoter mes mains à la tablette avec du scotch.
Mais ça ne m’empêchera pas pour autant de jouer ! Pour des conseils, des astuces et des gags à foison, je vous renvoie vers ce compte Twitter Pokémon Go, presque aussi chronophage que le jeu en lui-même. Quant à moi, je vous laisse, je vais chanter Don’t stop believing…
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Les Commentaires
C'est malin Pokemon go, je l'ai installé il y a deux jours maintenant j'suis à fond pour aller chercher les pokemon partout