On a testé pour vous… le sport en ligne par Domyos !

Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec Domyos. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.

Le sport c’est cool, mais souvent on se dit : « Okay, mais comment m’y mettre ? ». Certain•es se paient des abonnements à la salle de sport, d’autres, comme moi, cherchent leur bonheur sur Internet… Mais pour le coup, Domyos propose ce bonheur gratos à travers tout un tas de cours en ligne qui montrent comment utiliser les accessoires de la marque !

Certaines filles de la rédac ont testé une partie de ces accessoires à domicile, et voici leur ressenti.

Margaux, élasti(band)-girl

J’ai testé l’élastiband, notamment les exercices pour les fessiers, les cuisses, les biceps et le dos. Je fais pas énormément de sport dans la vie, juste des squats et des abdos de temps en temps. J’en fais un peu plus ces derniers temps mais c’est encore nouveau, alors j’ai choisi les exercices les moins chauds pour commencer en douceur !

Ça n’est pas du tout casse-tête au niveau de l’utilisation qui est aussi très ludique !

Ça n’est pas du tout casse-tête au niveau de l’utilisation qui est très ludique ! L’élastiband ne prend pas du tout de place, c’est très cool : on peut le ranger hyper facilement ET faire du sport dans un petit appart comme le mien, ce qui est un vrai plus.

Mon exercice préféré est celui pour les cuisses et les fessiers. J’ai fait trois séries de quinze répétitions avec une petite musique en fond pour m’ambiancer et j’ai trop aimé ! C’est comme les squats de d’habitude mais en un peu mieux, grâce à l’élastique qui demande un petit effort supplémentaire.

J’ai aussi trouvé que c’était un bon moyen de garder la bonne position pour faire les squats, surtout grâce à la vidéo qui montre ça super bien et qui permet de ne pas se faire mal ni de s’épuiser en adoptant la mauvaise posture.

Finalement, je dirai que l’élastiband est un super accessoire, tant au niveau pratique (rangement, facilité d’utilisation) qu’au niveau sportif (on ressent un bon plus), et je continuerai à l’utiliser pour tonifier mon bouli… mais pas que !

Virginie, habituée de la maison Domyos

C’est parfait si on reprend le sport tranquillement ou qu’on veut y aller crescendo.

Domyos, je connais bien

, c’est d’ailleurs grâce aux cours en ligne Domyos Live que je me suis remise à pratiquer une activité sportive de façon régulière ! Malgré ma fidélité envers la plateforme, je ne savais pas du tout que Domyos proposait des petits cours pour apprendre à bien utiliser ses accessoires et à composer ses propres sessions d’entraînement.

Moi qui ai des haltères, j’ai été ravie d’apprendre que je pouvais les utiliser pour de nombreux exercices ciblant tout le corps, et pas uniquement pour travailler mes (micro) biceps.

Les vidéos sont bien faites et classées selon leur niveau de difficulté. C’est parfait si on reprend le sport tranquillement, qu’on veut y aller crescendo ou qu’on ne se sent pas dans une forme olympique. Au moins, il n’y a pas de mauvaise surprise !

Lise et sa corde à sauter

Il suffit de faire des séries de sauts qui font travailler l’ensemble du corps.

J’ai pu tester la corde à sauter (corde confort). Je fais du sport assez souvent, plus particulièrement de la course à pieds et des cours de fitness. En revanche, je n’avais pas touché à une corde à sauter depuis le CE2 ! Alors naturellement, une légère remise à niveau s’imposait.

Évidemment, le petit souci avec la corde à sauter, c’est qu’il faut de la place ! Une fois mon périmètre de sécurité déterminé, j’ai trouvé les explications de Domyos très simples. C’est ultra facile de régler la taille de la corde et j’ai vite maîtrisé les exercices de difficulté 1. Il suffit de faire des séries de sauts qui font travailler l’ensemble du corps.

Les exercices de cardio sont dans l’ensemble réalisables, mais avec quelques séances de pratique à son actif. Car oui, quand il s’agit de ne plus sauter à pieds joints mais de faire des variantes de fentes à gauche et à droite en continuant de sauter, ça se complique !

Honnêtement, la difficulté 3 est carrément acrobatique et les exercices sont très difficiles à suivre pour des débutant•es. En revanche, en essayant plusieurs fois, on sent bien tous les muscles qui brûlent, à savoir ceux des bras, des jambes et les abdos pour ma part. C’est toujours bon signe !

Bon, clairement, je n’ai pas encore un niveau bac +4 en corde à sauter… alors il me faudra encore quelques séances d’entraînement pour maîtriser les exercices les plus difficiles. Mais c’est un accessoire vraiment ludique pour faire du sport. Je continuerai à en faire pour m’améliorer, c’est certain.

Lola découvre le yoga

J’ai pu tester le Natte Yoga pour la première fois. Je ne suis pas une grande sportive, le seul qui me corresponde est le fitness, mais j’avais envie d’en tester d’autres (surtout ceux qui sont connus pour détendre, allonger et muscler) !

On se sent accompagnée en étant tranquille chez soi (un format que j’apprécie !).

J’ai trouvé les exercices très bien élaborés : le niveau de difficulté, quelle partie du corps travaille et même les bonus de la position choisie. Avant de tester le yoga natte, j’avais un tapis bas de gamme qui me faisait franchement mal aux genoux et au dos, mais pour le fitness, je m’en contentais.

Ici, on reste appuyé•e longuement sur certaines parties du corps, alors j’avais vraiment peur de me faire mal aux cervicales en testant la « chandelle sans main », mais au final, le tapis est suffisamment épais et légèrement rigide donc on ne sent pas le sol en dessous et surtout, il ne glisse pas !

En effet, j’ai du carrelage dans mon appartement et clairement, je suis tombée deux/trois fois avec d’autres tapis, mais celui-ci ne bouge pas (et ce pour mon plus grand bonheur).

Pour résumer cette expérience, les vidéos sont rapides et bien expliquées, on se sent accompagnée en étant tranquille chez soi (un format que j’apprécie !) et on peut prendre tout le temps nécessaire pour perfectionner ses postures.

Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.