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3 femmes racontent comment elles ont réussi à quitter un conjoint violent

Quand il s’agit de violences conjugales, l’emprise et l’isolement empêchent souvent les victimes de partir. Trois femmes racontent comment, malgré tout, elles ont fini par s’en sortir.

Au moment où j’écris ces lignes, 101 femmes sont mortes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint en France depuis le 1er janvier 2019. Et cela fait une semaine que je lis difficilement mais avec beaucoup d’attention tous les témoignages que vous, Rockies et madmoiZelles, m’avez envoyé sur les violences psychologiques et physiques que vous avez vécues au sein de votre couple.

Vous avez été très nombreuses à avoir le courage de me raconter votre histoire, nombreuses à faire cet effort pour pouvoir donner un signal d’alerte à celles qui vivent peut-être la même situation où y assistent dans leur entourage.

Merci pour ça, sincèrement. Et la quantité de témoignages que j’ai reçus en seulement une semaine prouve bien l’ampleur systémique de ce fléau.

Il a été très compliqué pour moi de ne sélectionner que trois témoignages pour cet article, mais c’était nécessaire pour vous donner autant de détails que possible.

Le film Vigilante qui traite des violences conjugales

Si je vous ai sollicitées pour parler du sujet des violences conjugales dans cet appel à témoignages, c’est dans le cadre du partenariat entre madmoiZelle, Rockie et Vigilante.

Ce film, réalisé par Sarah Daggar-Nickson, qui sort en DVD et VOD le 11 septembre 2019, met en scène Olivia Wilde dans la peau de Sadie, une ex-femme battue qui vit encore le traumatisme de ce que son mari lui  a fait subir.

Pour se venger, elle décide de venir en aide à d’autres femmes violentées par leur conjoint. Elle trouve dans cette vengeance le moyen de rebondir après son vécu dramatique et traumatique, et devient une sorte de super-héroïne.

Voici les histoires de trois lectrices de Rockie et madmoiZelle qui ont réussi elles aussi à partir, à dire stop, à sortir de l’emprise de l’homme qui les maltraitait et à se reconstruire.

Violences conjugales : des débuts de relation qui semblent idylliques

ndlr : tous les prénoms ont été modifiés

Nul besoin d’être mariée ou en ménage depuis des années avec quelqu’un pour être victime de violences conjugales. Vos témoignages me l’ont plus que jamais montré, puisque pour beaucoup d’entre vous, vous aviez entre 15 et 20 ans lors de vos relations de couple abusives.

En lisant toutes vos histoires, j’ai vu le même schéma se répéter ligne après ligne. Votre rencontre avec un garçon charmant, qui semblait très ouvert d’esprit, avec beaucoup de charisme, blagueur, aimé de tous et qui vous comprenait mieux que personne.

C’est le cas de Solène, 23 ans, qui avait 17 ans quand elle a rencontré son ex-copain. Lui en avait 22 :

« Malgré la différence d’âge, j’avais l’impression d’enfin trouver quelqu’un qui me ressemble, c’était comme un coup de foudre amical d’abord, puis ensuite il m’a très vite mis dans la tête que j’avais trouvé mon âme sœur.

Je pensais qu’il était trop bien pour moi et j’étais comme sur un nuage quand il me montrait qu’il voulait être avec moi. »

Pour Caroline, âgée aujourd’hui de 36 ans, le schéma a été similaire. Flattée de recevoir autant d’amour et d’attention, elle n’a pas su voir les premiers signaux d’une relation peu saine. À l’époque, elle avait 15 ans et son copain aussi :

« C’était ma première histoire d’amour. Il voulait tout faire avec moi, que l’on se voit tout le temps. J’étais vraiment sur un petit nuage. Sauf que déjà sexuellement je le trouvais très pressant sans vraiment oser le lui dire. J’avais envie de faire l’amour avec lui mais de prendre un peu mon temps.

Je ne disais rien parce que je n’osais pas, mais il ne me demandait pas vraiment mon avis pour glisser sa main dans mon pantalon ou pour prendre la mienne et la glisser dans le sien. Quand je la retirais, il insistait jusqu’à ce que je cède. »

Violences conjugales : des premières violences psychologiques aux violences physiques

De la même façon, Clara, 21 ans, a vécu un début de relation idyllique avec Georges. Elle avait 16 ans, lui 17, et rapidement les violences psychologiques se sont installées :

« Il partageait toutes mes passions, buvait mes paroles et j’avais la sensation de vivre ce fameux coup de foudre dont tout le monde parle.

Très rapidement, nous avons entamé notre relation. Il venait me chercher tous les soirs après les cours et insistait pour que l’on passe tous mes moments libres ensemble. Pour moi, c’était oppressant, mais je me disais qu’il était amoureux et qu’il m’aimait tellement qu’il voulait partager un maximum de temps avec moi.

Il m’a aussi coupée de mes amis et de ma famille. Il prétextait que ces personnes étaient néfastes pour moi et que c’était elles ou lui. Étant folle amoureuse, j’ai pris la décision de couper les ponts avec bon nombre de ces personnes pour le garder.

Une fois qu’il m’avait isolée, les violences psychologiques se sont installées. Au départ, c’était des remarques qui semblaient anodines : « tu n’as pas beaucoup de poitrine », « tu pourrais prendre la pilule car je prendrais plus de plaisir sans capote », « tu as des vergetures ».

Puis au fil du temps, il est devenu de plus en plus jaloux et fouillait sans cesse mon téléphone : je n’avais pas le droit de parler à qui que ce soit sous peine de le rendre dingue. Un jour, j’ai discuté avec un ami très proche de la pluie et du beau temps.

Il s’est alors énervé comme jamais, le ton est monté et la gifle est arrivée. La première que je n’oublierai jamais, d’une violence incroyable pour me faire taire. »

Isolement, jalousie maladive, possessivité déplacée, vous avez toutes décrit les mêmes premiers signes. À force, vous racontez avoir fini par croire que tout était de votre faute, et votre estime de vous-même a été réduite à néant.

Solène explique :

« Il est très vite devenu extrêmement possessif et jaloux. D’abord, il a voulu que j’arrête de parler avec mes ex avec qui j’étais restée en bons termes. Ensuite, je n’avais plus le droit de porter des débardeurs car « on voyait tous mes seins », ni de rouge à lèvres. En fait je ne devais pas « me faire belle pour les autres ». Par contre, chez nous il tenait à ce que je porte telle chose ou à ce que je me maquille de telle manière.

Si je me faisais un ami à la fac et que j’avais le malheur de mentionner son nom, ça créait une dispute horrible et j’ai commencé à faire des crises de panique chaque fois qu’il élevait la voix. »

Caroline, elle, avait donc décidé plus ou moins consciemment de ne pas se focaliser sur le côté « pressant » de son petit ami quand il s’agissait de sexualité, parce que c’était le seul point noir de leur relation, et qu’elle l’aimait. Mais rapidement, la jalousie et les insultes ont pris de plus en plus de place. Elle raconte :

« En seconde, nous nous sommes retrouvés dans la même classe et la jalousie est venue insidieusement s’installer, envers certains garçons de la classe et mes autres amis qu’il connaissait pourtant.

Des crises un peu « mignonnes » ont commencé à dériver. Jusqu’à cette phrase : « de toute façon t’es qu’une pute ». Il s’est tout de suite repris et excusé cent fois. Il était désolé et pendant plusieurs semaines, il n’y a pas eu une crise ni un mot plus haut que l’autre.

Puis le mot « pute » est revenu. De plus en plus souvent. Accompagné d’autres insultes : connasse, salope… À chaque fois, il me servait les mêmes excuses, me disait que c’était la dernière fois et m’écrivait des lettres de dix pages pour me hurler son amour.

Au fur et à mesure, je ne pouvais plus rien faire seule. J’ai arrêté le théâtre, le sport… Je ne voyais presque plus ma famille ni mes amis. Ça en devenait comique tellement tout était prétexte à l’insulte : à la plage j’étais une pute parce que je me mettais en maillot de bain. En cours j’avais forcément allumé le prof pour avoir une aussi bonne note. Dans la rue je me faisais draguer parce que je regardais les hommes dans les yeux comme une salope, et j’en passe.

Puis sont venus les coups. Insidieusement aussi. La première claque qu’il m’a mise il n’en est pas revenu lui-même. Et comme les insultes, il s’est excusé, jurant qu’il m’aimait et qu’il ne pouvait pas vivre sans moi.

De mon côté, j’étais comme happée. Je n’arrivais pas à m’en défaire, toujours persuadée qu’il allait changer et que moi j’allais réussir à lui prouver que je l’aimais et qu’il arrêterait. Que ce n’était pas très grave… Et surtout que c’était de ma faute. »

Violences conjugales : prendre la décision de partir

Pourquoi ne pas partir ? Pourquoi continuer à subir ces violences et à les encaisser ? Et pourquoi ne pas demander de l’aide ? Ce sont souvent des questions que l’on entend lorsque l’on parle de violences conjugales.

Mais l’isolement, les difficultés financières ou logistiques, le mensonge pour cacher la réalité, la culpabilité et l’espoir de revenir à une relation idyllique font qu’il est extrêmement compliqué de prendre la décision de partir.

Clara continue son témoignage, et raconte pourquoi elle est restée après la première gifle de Georges :

« Ma mère m’avait répété toute mon enfance « si un homme te violente ne serait-ce qu’une fois, pars et ne reviens plus jamais », et j’étais intimement convaincue que les femmes qui ne partaient pas était stupides, pas assez fortes, trop naïves….

Et pourtant, à cet instant là, j’étais une des leurs. Je n’étais pas naïve, je savais que s’il avait pu le faire une fois pour un simple SMS, il pouvait le refaire quand il le souhaitait, et pourtant je suis restée, car j’étais incapable de vivre sans lui.

Je vivais chez lui, je ne voyais ma famille qu’une fois de temps en temps, je n’avais plus d’amis. Je suis restée car je n’avais personne pour me dire de fuir, loin.

Durant les deux années qui ont suivies, je me taisais, j’acceptais une violence que j’ai fini par oublier. La routine s’est installée et il est devenu de plus en plus redoutable.

Les viols sont devenus monnaie courante. Plusieurs fois, je me suis réveillée et il était en moi, il me faisait mal mais je devais me taire car si je faisais du bruit et que quelqu’un m’entendait, je subissais ses coups.

Je n’avais pas le droit de refuser ses avances, je devais le satisfaire quoi qu’il advienne. Il me forçait à des pratiques sexuelles que je ne désirais pas, notamment la soumission, l’exhibition. Il essayait de me convaincre que cela me plaisait et je finissais toujours par céder pour ne pas me faire frapper.

Un soir, dans un élan de folie, j’ai décidé de lui dire non. Je n’aurais jamais dû puisque ce soir là, il m’a giflée, m’a poussée sur le lit et s’est installé au-dessus de moi. J’étais pétrifiée, incapable de bouger mais j’étais décidée à ne pas me laisser faire et à lui tenir tête.

J’ai vu son regard se noircir, ses mains se sont posées sur mon cou et il a serré. Je ne pouvais plus respirer. Il voulait me tuer et je me suis laissée mourir. J’ai fini par revenir à moi complètement sonnée, j’ai voulu prendre mes affaires et partir et pourtant je n’y arrivais pas. Quelque chose me poussait à rester. »

Réussir à quitter un conjoint violent

Vous avez été nombreuses à raconter les déclics et les réflexions qui mises bout à bout ont fini par vous permettre de prendre la décision de partir, et de trouver les ressources et l’aide pour le faire.

Et pour la grande majorité d’entre vous, c’est l’entourage qui a permis les plus grosses prises de conscience. Caroline raconte :

« Évidemment il a continué à être violent. Parfois c’était discret : des pincements, des croches-pattes… Parfois, il ne pouvait pas se contrôler et il me balançait carrément une chaise dessus ou il faisait semblant de m’étrangler.

Une fois en pleine rue, parce qu’après une soirée j’étais restée dormir chez une copine avec d’autres copains, il s’est jeté sur moi, en hurlant qu’il allait me tuer, à tel point que c’est un type dans la rue qui nous a séparés. C’était la première fois qu’il agissait en public.

Après cet épisode j’ai essayé de le quitter (vraiment, car j’avais déjà essayé plusieurs fois). Mais impossible. En plus du chantage au suicide qu’il me faisait, il me jurait qu’il allait changer.

Le déclic pour sauter le pas est arrivé assez vite. Un jour il m’a extrêmement mal parlé devant une amie à moi qui lui a dit : « tu ne parles pas à Caroline comme ça devant nous. » et je lui ai dit : « tu ne parles pas comme ça à Caroline tout court. C’est terminé. » J’avais acté la chose devant des gens. »

Pour Solène, c’est le fait de réussir à se livrer à ses amies qui lui a servi de déclencheur :

« Par moment, j’avais des déclics, des montées d’énergie où je me sentais capable de le quitter. Mais il revenait à la charge, avec de fausses promesses, des fleurs, des belles paroles. Alors je cédais.

Puis les coups sont venus. Pendant une dispute, je recevais une claque, choquée j’allais me réfugier dans la salle de bain et il venait s’excuser de l’autre côté de la porte. Le lendemain c’était comme si j’avais oublié tout ce qui s’était passé, il était gentil, me traitait bien, me parlait bien, c’était trop beau pour être vrai.

Puis la dispute suivante, c’était un coup de poing, assez fort pour me sonner et me faire siffler les oreilles. Les crises de panique s’aggravaient, j’avais des migraines, je pensais beaucoup au suicide.

La toute dernière fois qu’il a été violent avec moi, il m’a plaquée au sol en m’étranglant. J’ai vu tellement de haine dans ses yeux, et j’ai eu très peur pour moi, pour la première fois. Avant c’était comme si je méritais d’être traitée comme ça dans ma tête. Mais après ça, j’ai atteint un point de non-retour.

Je planifiais la rupture dans ma tête, sans cesse, et quand l’été est venu je suis rentrée chez ma mère avec toutes mes affaires. J’ai tout de suite profité du fait qu’il ne soit pas là pour voir deux copines, et alors qu’on discutait j’ai commencé à pleurer. Elles m’ont posé des questions sur lui, et j’ai enfin osé parler.

Alors je l’ai quitté, immédiatement, par SMS. J’ai dû le menacer d’appeler la police pour qu’il quitte mon appartement, il essayait de négocier, de me faire culpabiliser, puis s’est mis à m’insulter… Mais tout ce que je ressentais, c’était une libération immense. »

Violences conjugales : après la rupture

Même après avoir pris la décision de partir, et l’avoir mise en application, vous êtes nombreuses à raconter qu’il a fallu des mois à tenir bon avant que votre ex-copain violent n’arrête de vous harceler ou de revenir vers vous.

Solène raconte comme s’est passée sa vie, pendant deux ans après la rupture :

« Il a déménagé près de mon appart et a continué à m’embêter pendant un moment. Il laissait des choses dans ma boîte aux lettres, m’a suivie en vélo… Mais après plusieurs passages au commissariat, une main courante et un appel de la police, il m’a laissée tranquille.

La première année suivant la rupture, j’étais incapable de sortir de chez moi, et ma vision de moi-même était totalement façonnée par ses reproches. Je me trouvais dégoûtante, mauvaise, faible. Mais pourtant je sentais une force grandir en moi en même temps.

J’ai commencé à voir une psy qui m’a beaucoup aidée à me séparer des pensées négatives qu’il m’avait mises en tête. Les cauchemars, les migraines et les douleurs ou problèmes de santé faisaient partie de mon quotidien, mais chaque jour le bonheur d’être sans lui me donnait la force de continuer, de prendre soin de moi, de me laisser le temps d’aller mieux.

Cette longue période que j’ai consacrée à ma santé mentale a été extrêmement difficile, avec des rechutes qui m’ont terrifiées car j’avais des migraines ou des chutes de tension si fortes que j’avais peur de manquer les cours.

Deux ans après, je peux dire que je suis presque « guérie » de ces séquelles, bien que je sois totalement transformée. J’ai perdu une part d’insouciance et d’innocence que j’essaye de cultiver à nouveau mais j’ai aussi gagné en discernement et en maturité. »

Demander de l’aide, oser en parler à ses proches, s’appuyer sur la justice quand c’est possible, se sentir écoutée et soutenue par son entourage, et avoir le courage de faire un suivi psychologique…

Ce sont les choses qui sont le plus souvent revenues dans vos témoignages et qui vous ont aidées à prendre la décision de partir, puis à tenir, et enfin à vous reconstruire, petit à petit. Parce que oui, il est possible de se reconstruire, et c’est ce dont témoigne aujourd’hui Caroline, à qui je laisserai le mot de la fin :

« J’ai mis beaucoup de temps à m’en remettre, à comprendre que l’amour ce n’était pas ça : une passion toxique et destructrice. Il m’a fallu du temps et des hommes pour m’en remettre. Des hommes qui m’ont aimée vraiment. Qui n’étaient pas jaloux, qui me laissaient vivre ma vie, qui n’avaient pas peur de ma liberté, qui étaient même flattés que je plaise à d’autres.

Du temps pour comprendre que ce n’était pas moi qui déclenchais ce genre de réactions mais lui qui avait un problème. Il m’a fallu des amis aussi à qui j’ai raconté et raconté encore. Pourtant, je me suis rendue compte que j’édulcorais toujours l’histoire, que je l’épargnais toujours.

Aujourd’hui, ma vie sentimentale va très bien. Je ne suis jamais retombée sur un mec comme lui. Je suis dans une relation de couple saine et épanouissante mais j’ai aussi été très heureuse dans le célibat. J’estime que je ne me suis pas construite contre cette histoire mais avec.

Je ne la regrette pas car je ne peux pas revenir en arrière, elle fait partie de ma vie et de mon parcours, mais j’aimerais qu’elle serve à d’autres pour ne pas tomber dans le même schéma que le mien. »

Le 3919 est le numéro le plus accessible et complet pour demander de l’aide ou simplement discuter et poser des questions. Même les personnes qui n’ont pas vécu de violences peuvent appeler pour demander conseil pour une proche.

Si tu veux te renseigner en ligne, il existe aussi un site officiel : Stop Violences.

Pour plus d’informations et de conseils, tu peux aussi aller lire l’article Mon mec vient de me frapper pour la première fois, que faire ? sur madmoiZelle, ou l’article Comment aider une proche victime de violences conjugales sur Rockie.

N’hésite pas à te procurer le film Vigilante en DVD ou VOD à partir du 11 septembre 2019 pour découvrir l’histoire de Sadie.

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Ces témoignages t’ont interpellée ? Tu as une expérience à partager ? Viens en parler dans les commentaires.

Violences conjugales : les ressources

Si vous ou quelqu’un que vous connaissez est victime de violences conjugales, ou si vous voulez tout simplement vous informer davantage sur le sujet :


Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.

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