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Ces objets qui ont changé ma vie de photographe

En photo, il suffit parfois de trois fois rien pour faire des progrès impressionnants. Voici quelques objets qui devraient te simplifier la vie et/ou t’aider à améliorer tes images…

À chaque fois que je vais sur un site de matériel photo, je me mets à baver partout et il faut m’attacher les mains pour que je ne rentre pas mon numéro de carte bleue… Et aussi me surveiller parce que je suis étonnamment efficace pour ce qui est de taper sur le clavier avec mon nez.

taper-clavier-nez On rigole bien à la rédac quand je dois écrire un article super long.

Ma compulsion à acheter du matos a cependant du bon, de temps en temps, puisqu’elle m’a permis de mettre la main sur des produits plutôt très pratiques.

Je te fais grâce de tous les trucs inutiles qui traînent dans mes placards pour ne te livrer que la substantifique moelle : à savoir, les objets qui ont changé ma vie de photographe… et que je me sens très bête de ne pas avoir achetés plus tôt.

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Le sac photo

Le sac photo, c’est vraiment l’archétype de l’achat qui ne fait pas plaisir. Ça coûte un bras, déjà. Ensuite, c’est souvent moche. Et enfin, il faut avoir bac+12 en génie civil pour comprendre comment ça marche… Bref, c’est paupérisant et humiliant (oui, pardon, je suis un peu énervée).

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Ouais, c’est de toi que je parle, fais pas l’innocent.

Néanmoins, un sac photo, ça a trois fonctions importantes : protéger ton matériel de la poussière et des éléments déchaînés, bien répartir le poids pour ne pas te tuer la colonne vertébrale, et absorber au maximum les chocs.

Et pour ça, la fabrication a intérêt à être solide et de bonne qualité… Ce qui coûte des sous. Mais finalement, se rendre au SAV parce que le boîtier a morflé au fil du temps, ça coûte encore plus de sous.

Côté marque, je te conseille de sélectionner du reconnu et du solide. Ce sera un bon investissement, tu ne le regretteras pas. Pour choisir ton accessoire, pense à l’usage que tu en feras. Personnellement, depuis que je suis passée du côté obscur de la Force, j’ai 3 sacs photo en fonction des situations :

  • Un tout petit sac d’épaule (que tu peux voir sur l’image ci-dessus) que je porte en permanence pendant que je shoote. J’y stocke le strict nécessaire : objectifs, cartes mémoires, batterie, chiffonnette, mouchoirs, trucs pour sentir bon de la bouche.
  • Une besace moyenne qui me sert à trimballer plus de matériel jusqu’au lieu de shooting (je peux notamment y ranger mon réflecteur et mon flash — voir plus bas).
  • Un gros sac à dos pour les shootings qui demandent ENCORE plus de matériel et/ou d’accessoires. Il me permet aussi d’emporter mon ordinateur. En revanche, contrairement aux deux autres, il ne me permet pas un accès super rapide à mon matériel. Mais il fait du bien à mon petit dos.

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Le harnais

Il y a quelques mois, je portais encore mon boîtier autour du cou, comme tout le monde. J’avais choisi une sangle en néoprène pour absorber les chocs, mais rien n’y faisait : après chaque reportage, j’avais les cervicales détruites. Je pense qu’à l’époque, j’avais plus souvent recours à l’ostéopathie que toute la rédac réunie.

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Depuis, j’ai troqué ma sangle contre un harnais. Et maintenant, je peux shooter pendant 17h d’affilée (c’est pas une blague, non) sans ressentir trop de douleur, ni trop de fatigue liée au poids de l’appareil.

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Soleil de mes nuits, va.

Le harnais répartit le poids de l’appareil tout autour de mes omoplates et de mes épaules, au lieu de le concentrer sur les cervicales. Je peux même y fixer un deuxième appareil si je veux être d’une efficacité remarquable quand je photographie, sans avoir à m’embarrasser de changer d’objectif. C’est vraiment l’achat que j’aurais voulu faire beaucoup, beaucoup plus tôt.

Mes conseils pour choisir ton harnais :

  • Vérifie bien la manière dont il se porte : nombre d’entre eux sont pensés pour les hommes et se croisent à l’avant sur la poitrine, au risque d’écraser les seins, ou au contraire de produire un effet Lara Croft pas toujours désiré. Moi, j’ai choisi ce modèle. Si tu veux une idée du rendu, voilà pour l’avant, et tu peux apercevoir l’arrière au début de cette vidéo.
  • Tout comme pour le sac, essaie de l’acheter sur un site ou dans un magasin sérieux : tu n’as pas envie d’y aller à l’économie si c’est pour que les fixations lâchent et que ton appareil se casse la binette…

À ce sujet, si tu as le cœur solide, tu peux regarder la vidéo ci-dessous :

J’en tremble encore.

Le réflecteur

Croisement ingénieux entre une tente Quechua et un miroir, le réflecteur représente une solution pratique et bon marché pour améliorer ta lumière. En plus de ça, pas besoin d’électricité ni de piles, puisqu’il se sert des lois élémentaires de la physique.

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Mon réflecteur 5 en 1.

Le principe est simple : il s’agit de refléter la lumière ambiante pour la renvoyer sur ton sujet et le rééclairer. Si tu ne vois pas de quoi je parle, tu peux faire le test toi-même : par une journée ensoleillée, quand le soleil est encore haut, amène ton modèle dehors. Place ensuite une feuille de papier blanc juste sous son menton : tu verras les ombres sous ses arcades sourcilières et sous son nez se déboucher, comme par magie ! Si tu renouvelles le test avec une feuille de papier alu, l’effet sera encore plus fort.

Si tu as la flemme ou que tu habites dans un endroit où il n’y a pas de soleil (désolée pour toi), tu peux aussi regarder cet extrait, c’est le même principe :

https://youtube.com/watch?v=vyMw74Po_os

Et au passage, c’est un peu culte, alors ça fait pas de mal.

Mes conseils pour choisir ton réflecteur :

  • Bonne nouvelle, pas besoin de t’endetter ! Les réflecteurs ne sont généralement pas très chers et surtout, ce n’est pas la peine de regarder uniquement du côté des grandes marques.
  • Il existe toutes les tailles de réflecteurs, fais bien attention à ce que tu achètes, quitte à aller tester en magasin : l’objet doit rester maniable.
  • Choisis bien le revêtement de ton réflecteur : blanc = débouchage léger, argenté = débouchage plus fort, doré = idem, mais avec des couleurs réchauffées. Le noir, a contrario, sert à augmenter le contraste des ombres. Si l’objet est en toile blanche très fine, il s’agit d’un diffuseur et non d’un réflecteur : il s’utilise en barrage entre ton modèle et la source de lumière, afin d’adoucir cette dernière (mais c’est super aussi, hein). Certains réflecteurs (comme le mien) proposent un ingénieux système de housse réversible qui combine tous ces revêtements.

Le trépied

Personnellement, je n’aime pas shooter au trépied, et pourtant, ça ne m’empêche pas de le compter parmi les objets essentiels du/de la photographe. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on a toujours besoin, à un moment ou à un autre, de garder son appareil totalement immobile sans avoir à le tenir… Et que parfois, le système D ne constitue pas une solution très sûre.

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Ma concession sécurité : l’un de mes trépieds.

D’autre part, un trépied peut te permettre d’améliorer ta pratique. Quand tu n’as pas de souffre-douleur cobaye modèle sous la main, tu peux quand même expérimenter en te retrouvant des deux côtés de l’appareil. Il peut aussi t’aider à  travailler ton cadrage et ta composition de façon plus rigoureuse. Et puis surtout… à toi les poses longues et les photos de nuit sans flou !

À lire aussi : Cadrage et composition photo, les bases pour bien débuter en photographie

Mes conseils pour choisir ton trépied :

  • Pense à vérifier la charge maximale. Certains trépieds sont pratiques car tout petits et tout mignons, mais ça te fait une belle jambe s’ils basculent ou cèdent sous le poids de ton réflex et le cassent.
  • Regarde aussi ses hauteurs minimale et maximale. Selon l’usage que tu voudras en faire, tu auras parfois besoin de pouvoir placer ton trépied au ras du sol ou au-dessus de ta tête… Tous les modèles ne le permettent pas.
  • Si tu prévois d’emmener ton trépied en vadrouille, vérifie aussi son poids. Il ne faut pas que celui-ci soit dissuasif et qu’il te retienne finalement d’aller faire des photos. Si ton trépied est très léger, pense à le lester avec les moyens du bord une fois sur place, pour éviter qu’un coup de vent fasse tout basculer.

La télécommande

C’est un achat qui complète parfaitement celui du trépied. Contrairement aux idées reçues, les télécommandes ne sont pas forcément chères (la mienne m’a coûté moins de 10€) et elles peuvent se montrer très utiles.

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Et en plus, c’est moins encombrant qu’une zapette.

Dieu soit loué, les perches à selfies n’existent que pour les smartphones, et crois bien que je brûle de l’encens tous les jours pour qu’on ne les adapte jamais aux appareils photo. De toute façon, on s’en fiche, puisqu’il existe justement la télécommande ! Avoue que déclencher par infra-rouge, ça a quand même autrement plus d’allure.

Mais la télécommande ne sert pas qu’à ça, puisqu’elle permet aussi de limiter au maximum les vibrations (et donc le flou de bougé) en pose longue. Elle offre également la possibilité de ne pas être derrière l’appareil au moment du déclenchement… Par exemple pour tenir un réflecteur près du sujet, ou pour aller faire la nounouille en light painting.

À lire aussi : Les oeuvres en « light painting » du photographe Qiu Minye

Mes conseils pour choisir ta télécommande :

  • Ne confonds pas télécommande et déclencheur : certains déclencheurs sont filaires, ce qui n’est pas le cas des télécommandes.
  • Vérifie la compatibilité du modèle de télécommande avec ton boîtier. Certaines d’entre elles ne couvrent que très peu de références.
  • Choisis une marque moins prestigieuse que celle du constructeur de ton appareil… Tu paieras ta télécommande beaucoup moins cher, et elle marchera quand même très bien.
  • Fais bien attention au système d’alimentation : si ce sont des piles introuvables, passe ton chemin !

Le lecteur de cartes

Bon d’accord, le lecteur de cartes, c’est un luxe, mais c’est quand même bien pratique. Bien sûr, tu as toujours la possibilité de brancher ton appareil à ton ordinateur via un câble, de transférer tes données par WiFi si ton boitier le permet. Et si ton ordinateur est déjà équipé d’un lecteur adapté aux cartes mémoires que tu utilises, tu peux sauter ce paragraphe… Parce que moi, c’est pas mon cas.

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Et donc voilà.

Et du coup, je trouve ça bien pratique de pouvoir transférer mes images sur mon ordi sans avoir à sortir mon appareil photo et à le poser en équilibre précaire sur un truc… Quand je shoote loin de chez moi, ça me permet de travailler dans le train sans devoir étaler tout mon matériel sous les yeux de mon/ma voisin•e.

Au besoin, je peux aussi décharger plusieurs cartes (de différents formats) en même temps. En reportage, j’en profite également pour sauvegarder mon travail tout en continuant à shooter sur une autre carte, puisque le boîtier n’est pas immobilisé par le transfert.

Mes conseils pour choisir ton lecteur de cartes :

  • Regarde bien les modèles de carte mémoire compatibles.
  • Choisis une marque relativement connue, même si tu n’es pas obligé•e de payer le prix fort. Personnellement, j’ai un très vilain souvenir de reformatage spontané lié à un lecteur de cartes bas de gamme…

Le flash cobra

J’ai longtemps boudé le flash et il m’a fallu pas moins qu’une formation de plusieurs jours (big up à mon prof qui se reconnaîtra) pour me convaincre de son utilité. C’est dire si j’étais butée. Mais depuis que j’ai appris à m’en servir de façon subtile et maîtrisée, il est devenu mon meilleur ami pour la vie. À tel point que je t’en ferai peut-être même un ou deux tutos.

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Le compagnon de mes soirées karaoké, de mes barbecues, de mes road-trips, de ma VIE quoi.

Le flash, mal utilisé, c’est une catastrophe à base de tronches livides et arrière-plans tout noirs. Ça porte même un nom : l’effet fromage blanc.

À lire aussi : Gâteau au fromage blanc et à l’orange — Recette qui fond dans la bouche

Mais quand on sait s’en servir, le flash permet des effets très discrets, parfois indécelables, qui peuvent vraiment sauver un reportage. Tu peux également l’utiliser en déporté (c’est-à-dire pas fixé sur ton appareil), synchroniser plusieurs flashs à la fois, modeler sa lumière… Bref, recréer un studio à moindre frais (et pour ton porte-monnaie, et pour tes petits muscles).

Mes conseils pour choisir ton flash :

  • Regarde les modes disponibles sur le modèle de flash que tu convoites : le TTL correspond à un mode automatique qui mesure la lumière à travers ton objectif… Bien pratique pour débuter. Le mode manuel est aussi très intéressant à explorer, dans un second temps.
  • Si tu as besoin d’un flash très puissant, vérifie le nombre-guide (indiqué dans les descriptifs techniques) : il correspond à la force de l’éclair de ton flash. Plus il est élevé, plus le flash est puissant.
  • Si les marques constructeurs sont fiables, lorgne aussi du côté des marques moins connues mais souvent spécialisées (et beaucoup moins chères). Mes chouchoutes à moi sont Yongnuo, Metz et Cactus.
  • Comme d’habitude, regarde si ton flash est compatible avec ton boîtier. Je te jure, c’est mieux.

La cellule

La cellule, c’est ce petit objet qui te permet de mesurer la lumière et donc de savoir comment exposer ta photo correctement. C’est un bonus pour les photographes plus expérimenté•e•s : si tu utilises un appareil numérique ou un argentique pas trop ancien, ton boîtier est déjà équipé de sa propre cellule. Si, en revanche, tu souhaites utiliser un vieil argentique ou shooter en studio avec précision, la cellule est indispensable.

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Ma vieille cellule. J’en veux pour preuve qu’il est écrit au dos : « Fabriqué en Allemagne de l’Ouest ».

Avoir une cellule, ça permet de faire plein d’expérimentations cool : shooter avec de très très vieux appareils très très jolis, utiliser une pellicule de 400 ISO comme si c’était une pellicule de 3200 ISO (il suffit de le préciser ensuite au labo qui développe ton film), appréhender au mieux les contrastes au cœur de ton image… C’est un vrai bond en avant pour ce qui est de comprendre la lumière et les réglages qui y sont associés.

À lire aussi : Tuto photo — Comprendre les ISO, ou la sensibilité à la lumière

Mes conseils pour choisir ta cellule :

  • Ne confonds pas posemètre et flashmètre. Le posemètre mesure la lumière continue, le flashmètre mesure la lumière de flashs. Si tu veux utiliser ta cellule dans les deux conditions, il faut donc opter pour un posemètre-flashmètre.
  • Si tu n’as pas besoin du flashmètre, regarde du côté des vieux modèles sur ebay. J’ai payé ma cellule trois francs six sous, et elle me suffit largement pour les shootings en argentique.

(Mes) affaire(s) à suivre !

Voilà pour cette première série d’objets qui ont changé ma vie de photographe ! La suite arrive sous peu puisque, comme je te l’ai dit, mes placards à accessoires débordent un peu.

Et toi, quel est l’outil photo qui a changé ta vie ? Y-a-t-il un objet dont tu voudrais que je te parle dans un prochain article ? N’oublie pas que, si tu as une question, tu peux toujours me la poser ici !


Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.

Les Commentaires

10
Avatar de chloevollmerlo
17 mars 2016 à 23h03
chloevollmerlo
@RadioLu le problème du réflecteur en vidéo, c'est qu'il faut le mettre en fixe sur un porte-réflecteur, sinon tu vas voir les oscillations de la lumière sur ton sujet (un peu comme les réflections de l'eau, l'été, sur les visages).
Je suis pas sûre que ce soit le plus indiqué pour éclairer toute une scène, à part si tu prends un réflecteur monumental. Vaut mieux l'utiliser pour déboucher ta lumière.
Mais vaudrait mieux demander leur avis à @Mélanie et @Lea B
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