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Mon top 15 des meilleurs films d’horreur de la décennie

Les sapins, les glinglins, tout ça c’est bien gentil, mais quid de l’hémoglobine ? Pour clore l’année en beauté, Kalindi te sert sur un plateau sanglant ses 15 films d’horreur préférés de la décennie.

2010 a été l’année de René la fucking Taupe, d’Inception et de ma première pinte de Leffe.

Ah la la, on en a fait du chemin toi et moi douce lectrice en 10 ans ! Et on est pas les seules.

Le cinéma s’est remplumé de quelques superbes films qui ont marqué l’Histoire et devraient continuer sur cette lancée.

Voilà d’ailleurs mon top personnel des meilleurs films d’horreur de la décennie, en bonne amatrice du genre.

1. The Strangers, l’effroi made in Corea

The Strangers est mon film préféré des 10 dernières années, tous genres confondus.

C’est dur de quantifier l’amour qu’on peut avoir pour des œuvres et d’établir des hiérarchies entre elles, mais pour moi, ça ne fait pas de doute.

The Wailing de son titre américain est LE produit qui m’a le plus retourné le bide de cette dernière décennie.

Au delà de sa gestion parfaite des codes horrifiques, The Strangers de Na Hong-jin m’a impressionnée par son génie esthétique.

Maîtrisée à la perfection, l’image te transporte dans les montagnes coréennes à la découverte de l’angoisse, la vraie : la xénophobie.

The Strangers, de quoi ça parle ?

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Un petit village dans les montagnes coréennes voit ses habitants se faire zigouiller. La police galère à mettre la main sur un potentiel assassin.

De plus, certains villageois sont sujets à une fièvre abominable qui les pousse à une folie meurtrière…

Alors qu’il n’y a aucune preuve tangible de la culpabilité de l’homme, un Japonais vivant en ermite dans les bois se retrouve vite au coeur des soupçons.

À tort ou à raison ? C’est la question centrale du film.

2. Hérédité, la maestria d’un novice

Hérédité, c’est le tout premier long-métrage de son créateur Ari Aster.

Le film qui a lancé sa carrière, et lui a permis de sortir Midsommar en 2019.

Ce drame familial a choqué le monde en 2018 et a fait un boucan monstre dans le petit milieu du cinéma et ailleurs. Le film a commencé par effrayer les festivaliers de Sundance avant de répandre ses intentions maléfiques un peu partout, jusqu’en France.

J’ai accouru en salles le jour de sa sortie, un peu stressée de ne pas avoir droit à l’adrénaline promise et suis ressortie abasourdie par la maîtrise, l’audace et l’originalité de ce que je venais de voir.

Hérédité est sans aucun doute l’un de mes films préférés de ces dix dernières années.

J’en ai d’ailleurs fait une critique vidéo dans laquelle tu auras droit à un avis plus complet :

Hérédité, de quoi ça parle ?

Lorsqu’Ellen, matriarche de la famille Graham, décède, sa famille découvre des secrets de plus en plus terrifiants sur sa lignée.

Une hérédité sinistre à laquelle il semble impossible d’échapper.

3. It Follows, le mal contagieux

It Follows (de David Robert Mitchell) est sorti en 2014 et s’inspire des plus grands chefs-d’oeuvre de l’angoisse.

Dans les influences du réalisateur, on note par exemple John Carpenter, David Cronenberg, Jack Tourneur, pour ne citer qu’eux.

Autant d’inspirations qui font d’It Follows un film hypnotique qu’on oublie pas de sitôt. 

It Follows, de quoi ça parle ?

it-follows

Après avoir eu un rapport sexuel, Jay a d’étranges visions et l’horrible impression que quelqu’un la suit… Afin de se débarrasser de cette malédiction, elle doit coucher avec quelqu’un d’autre pour la lui refiler.

Ici le méchant n’est pas une bête tapie dans l’ombre. Ce n’est pas non plus un fantôme pervers ni un démon satanique.

Le vrai méchant, selon le réalisateur David Robert Mitchell, c’est la maladie sexuellement transmissible.

C’est ce mal polymorphe que personnifie le cinéaste talentueux tout au long du film.

Perso, c’est celui qui me file le plus les jetons.

4. The Witch, l’affreuse beauté

Quand l’enfer flirte avec le magnifique, mon verdict est forcément sans équivoque.

The Witch est un film indépendant réalisé par Robert Eggers. Sa puissance esthétique révèle toute l’ambition du cinéma de genre.

Dans un environnement glacial chargé de références religieuses, les héros inquiets de The Witch (avec Anya Taylor-Joy, Ralph Ineson, Kate Dickie) vont t’émerveiller.

The Witch, de quoi ça parle ?

En Nouvelle-Angleterre, une famille très pieuse est bannie de sa communauté. Recluse dans une forêt, elle va devoir se confronter à d’étranges phénomènes…

5. Grave, jusqu’aux os

Grave a marqué l’histoire du film d’horreur français.

Sorti en 2017 et réalisé par Julia Ducournau, qui serait actuellement en train de plancher sur un tout nouveau film, Grave a heurté la sensibilité des spectateurs et encouragé plusieurs réflexions sur le corps, le désir, l’alimentation et j’en passe.

Monument d’horreur de cette décennie, Grave mérite bien sa place dans ce top.

Grave, de quoi ça parle ?

Justine est une jeune étudiante surdouée qui débarque à 16 ans dans l’école vétérinaire dont ses parents sont diplômés, et où sa sœur aînée étudie déjà.

Intégration ou bizutage oblige (selon que l’adhésion à ces épreuves soit consentie ou subie), Justine se trouve obligée d’avaler un rein de lapin, alors que toute sa famille est strictement végétarienne.

Sa sœur participe à la pression, tant et si bien que Justine finit par avaler ce foutu organe. Sans savoir le bouleversement qu’il allait engendrer dans sa vie…

Affronter la part de l’autre en soi, n’est-ce pas le plus ambitieux combat que l’on puisse livrer ?

6. 31, la zinzinerie de Zombie

Honnêtement, j’aurais pu ne mettre dans ce top que des films de Rob Zombie, qui est l’une de mes idoles.

Ce musicien de métal américain a connu un beau succès dans le milieu de la musique avant de se lancer au début des années 2000 dans le cinéma de genre.

Il a désormais à son actif quelques onze films dont certains cultes comme La Maison des 1000 morts, The Devil’s Rejects ou encore le remake d’Halloween.

Très étranges, ses films surfent souvent sur la vague du malaise. Rob Zombie pose un regard acerbe sur la société américaine et ses dérives.

Et 31 ne fait pas exception à la règle. Particulièrement grinçant et dérangeant, ce film directement sorti en VOD en 2016  se veut glauque, un rien gore et surtout très cynique.

31, de quoi ça parle ?

Cinq personnes choisies au hasard sont enlevées et retenues en otage dans un endroit appelé Le monde du crime, le soir d’Halloween.

Ils vont devoir participer à un jeu macabre duquel seul un pourra s’extirper…

7. Mister Babadook, délire ou réalité ?

https://www.youtube.com/watch?v=OJO4YBh9E8w

Mister Babadook de Jennifer Kent, c’était la bonne surprise de 2014. Un long-métrage à la fois profond et visuel sur lequel les scénaristes ont vraiment planché.

Et son grand méchant n’est autre que la créature éponyme. Un être effrayant en cela qu’on ne sait pas s’il est le fruit d’un délire ou s’il est bien réel.

Mister Babadook, ça parle de quoi ?

babadook

Depuis le décès de son mari, Amelia essaie de conserver un semblant de relation avec son fils.

Un jour, un livre de contes intitulé Mister Babadook se retrouve mystérieusement dans leur maison. Le jeune garçon se persuade alors que le Babadook est la créature qui hante ses cauchemars…

En réalité, le Babadook pourrait très bien s’avérer n’être que l’allégorie de la folie maternelle.

8. It comes at night, huis clos post-apocalyptique

It comes at night vaut vraiment le coup d’œil. L’esthétique et la tension permanente du film sont suffisamment maitrisées pour rattraper les morceaux d’ennui distillés de ci de là.

Encensé par la critique mais peu apprécié du public, il a su en tout cas suscité la curiosité lors de sa sortie.

Et pour cause, It comes at night soigne son image, sa lumière et son propos.

Contemplatif, ce huis-clos post-apocalyptique t’emmène sur une terre horrifique déstabilisante. Il ne s’y passe pas grand-chose, mais le peu d’action est sublimée par le regard d’un cinéaste rigoureux.

It comes at night, de quoi ça parle ?

it-comes-at-night

Un homme vit reclus dans sa maison totalement isolée dans une forêt avec sa femme et son fils. Une menace silencieuse pèse sur eux.

Alors qu’une famille aux abois vient trouver refuge chez eux, leur équilibre se retrouve encore fragilisé…

9. Dernier Train pour Busan, sur les rails de la peur

La première fois que je suis allée au festival de Cannes, c’était en 2016.

J’étais ultra impressionnée par tout le rituel des festivaliers, qui savaient où aller, comment obtenir des places de cinéma, comment se taper l’incruste en soirée.

Moi, j’étais un peu paumée, mais à force d’opiniâtreté, j’ai fini par choper quelques tickets.

Le tout premier film que j’ai vu à Cannes, c’était donc Dernier Train pour Busan, qui m’a coupé le souffle pendant 2h…

Dernier Train pour Busan, de quoi ça parle ?

Un virus inconnu se répand en Corée du Sud, l’état d’urgence est décrété.

Les passagers du train KTX se livrent à une lutte sans merci afin de survivre jusqu’à Busan, ville où ils espèrent être en sécurité…

10. Verónica, entre fiction et réalité

Verónica, c’est le dernier bébé de Paco Plaza, le réalisateur de [REC]

Maître du suspense, le cinéaste s’est cette fois-ci inspiré d’un fait réel pour te glacer les sangs. Et c’est réussi.

À vrai dire, il s’inspire du seul cas d’activité paranormale officiellement reconnu par la police espagnole…

Rien que ça !

Verónica, de quoi ça parle ?

Verónica, c’est l’histoire d’une collégienne qui vit avec sa mère, et ses trois petits frères et soeurs, à Madrid.

Sa mère peine à joindre les deux bouts et travaille comme une acharnée pour subvenir aux besoins de sa famille. C’est donc Verónica qui s’occupe des enfants.

Par un jour d’éclipse solaire, la jeune fille se faufile avec deux copines de classe dans la cave de son école pour se livrer à une séance de spiritisme.

L’objectif ? Contacter l’esprit de son père décédé. Le manque étant trop présent pour l’adolescente.

Mais bien sûr, ce n’est pas son père qui répondra à l’appel du Ouija…

11. Creep, et tout est dans le titre

Creep, c’est ma bonne découverte de l’année, bien qu’il soit sorti en 2016.

Un film réalisé par Patrick Brice qui est malheureusement passé inaperçu alors qu’il contient tous les éléments d’un bon found footage.

Creep, de quoi ça parle ?

Un caméraman accepte de se rendre dans un coin paumé pour filmer les derniers jours d’un type qui est condamné à mourir d’une maladie incurable.

Ledit type se comporte bien sûr de manière EXTRÊMEMENT creepy, et ce dès le début. Ce qui ne décide pas notre jeune caméraman à se carapater.

Et c’est bien dommage…

creep

Ah oui : il est important de préciser que le mourant a une vraie passion pour son masque de loup, et qu’il l’enfile régulièrement pour se déhancher.

Ça n’est qu’un élément parmi bien d’autres, tous plus creepy que le précédent. LE KIF pour moi qui aime observer des zinzins à l’écran !

12. Us, les dopplegängers souterrains de Jordan Peele

En 2017 déjà, Jordan Peele était parvenu à accomplir un exploit : faire frémir le monde entier devant une petite cuillère qui tournait, non sans bruit, dans une tasse de thé.

Avec quelques mécanismes d’apparence simples mais très malins et bien casés dans son intrigue, le réalisateur gagnait sa place au Panthéon des génies de la peur pour Get Out.

Non content de manier l’effroi avec quasi-poésie, le créateur de désormais 40 ans s’appliquait déjà en 2017 à donner une belle dimension sociale à son œuvre, la rendant carrément engagée.

Lancé sur une voix prometteuse après seulement un long-métrage, Jordan Peele a réitéré ce qui a fait son succès immédiat : le mélange effroi/société.

Us, de quoi ça parle ?

Us, c’est l’histoire d’une famille américaine qui compte bien passer de super vacances dans sa résidence secondaire non loin de la mer.

Une fois arrivés sous un soleil de feu, les 4 membres du clan se détendent un peu avant d’aller à la plage rejoindre un couple d’amis et leurs enfants (insupportables).

Si tout, a priori, se déroule bien, cette journée apaisante vire tout doucement au cauchemar, au fur et à mesure que la nuit pointe le bout de son ombre.

La pénombre, c’est l’instant que choisissent des invités imprévus pour débarquer dans le jardin de notre petite famille.

Et ces invités, ce sont eux. Ils se ressemblent en tous points, mais sont guidés par de sombres desseins…

13. Conjuring (1 et 2), le savoir-faire de James Wan

Allez, ajoutons un peu de blockbusters à cette sélection de films majoritairement indépendants avec la saga Conjuring, initiée par James Wan en 2013 et qui s’est avérée être un vrai succès critique et commercial.

À juste titre d’ailleurs, car elle a été écrite, réalisée et interprétée avec brio.

James Wan est, en effet, le grand-manitou de l’horreur moderne.

Friand du jump scare, dont je dois avouer ne pas être une grande adepte, il joue sur tes peurs primaires pour te foutre les miquettes.

Grâce au gros budget dont il dispose, James Wan peut innover techniquement.

Ainsi, sa caméra volante passe dans des trous de souris et survole les pièces de la maison hantée avec légèreté.

Un bonheur !

Conjuring, de quoi ça parle ?

Conjuring : Les dossiers Warren raconte l’histoire (semi) vraie, d’Ed et Lorraine Warren, enquêteurs paranormaux réputés dans le monde entier, venus en aide à une famille terrorisée par une présence inquiétante dans leur ferme isolée.

Contraints d’affronter une créature démoniaque d’une force redoutable, les Warren se retrouvent face à l’affaire la plus terrifiante de leur carrière…

14. Ghostland, la controverse

Rendons un peu hommage à notre belle France en incluant un réalisateur français à ce classement. Pascal Laugier est LE maître de l’horreur hexagonal.

Son dernier film, Ghostland, qui s’articule autour de thématiques chères au réalisateur comme la maltraitance, le traumatisme, la perversité et l’amitié, a d’ailleurs reçu le Grand Prix de Gérardmer en 2017.

Ce long-métrage terriblement fort, esthétique, et violent, dans la veine de Martyrs, sorti en 2008 a conquis les festivaliers, amateurs de frisson, mais n’a pas fait l’unanimité en dehors de ce contexte.

En effet, et je dois t’en parler par souci de transparence, l’une des actrices principales du film, Taylor Hickson, s’est retrouvée défigurée après avoir tourné une scène dangereuse, alors qu’on lui avait assuré qu’elle ne craignait rien.

Tu es prévenue et peux désormais décider de regarder ou non le film en connaissance de cause.

Ghostland, de quoi ça parle ?

Pauline et ses deux filles héritent d’une maison après le décès de leur tante qu’une villageoise qualifie de zinzin. La demeure pourrait servir de décor à un film de Rob Zombie, comme le précise d’ailleurs l’une des deux soeurs !

Rempli de pièces et de poupées, l’endroit est inquiétant à souhait…

La première nuit, deux meurtriers pénètrent dans la maison et tentent d’assassiner la mère, interprétée par Mylène Farmer. Celle-ci se débat comme un diable pour protéger ses filles.

Un torrent de brutalité déferle sur la maison colorée.

Quelques années plus tard, alors que toutes ont survécu, Beth revient dans la maison familiale pour aider sa soeur qui souffre d’un traumatisme. La jeune femme continue en effet de revivre cette nuit en boucle…

15. Midsommar, l’horreur en plein jour

J’ai essayé très fort de ne pas mettre deux fois le même réalisateur dans ce top, mais j’ai lamentablement échoué.

En même temps, Ari Aster est vraiment LA révélation du cinéma d’horreur de cette décennie.

Ça aurait été bien malhonnête de ma part de ne pas ajouter Midsommar dans cette sélection, puisqu’il est sans doute l’un des films les plus puissants que j’ai vus cette année, et les dix passées d’ailleurs.

Tout dans Midsommar s’articule autour du rituel. Le rituel sacrificiel, le rituel amoureux, le rituel sexuel. C’est ce rituel ici qui est pris comme base de l’horreur.

Prodige : Midsommar se déroule en plein jour. Faire flipper sans avoir recours aux rouages habituels de l’horreur à savoir : l’obscurité et les jump scares, c’est balèze et ça mérite d’être salué.

Midsommar, de quoi ça parle ?

Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie.

Attristé par le deuil de la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la laisser seule et l’emmène avec lui et ses amis à un festival estival qui n’a lieu qu’une fois tous les 90 ans et se déroule dans un village suédois isolé.

Mais ce qui commence comme des vacances insouciantes dans un pays où le soleil ne se couche pas va vite prendre une tournure beaucoup plus sinistre et inquiétante.

Voilà douce lectrice, mon top 15 des meilleurs films d’horreur de ces 10 dernières années ! N’hésite pas à ajouter les tiens en commentaires.

À lire aussi : La bande-annonce de Black Widow, la super héroïne Marvel, est là


Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.

Les Commentaires

24
Avatar de Rainbow Girl
20 janvier 2020 à 23h01
Rainbow Girl
Je suis assez perplexe pour Midsommar.
J'ai adoré ce film qui pour moi est un des meilleur film d'horreur que j'ai vu (et j'en ai vu des masses). Je n'y ai personnellement vu aucun parti pris au niveau du féminisme déjà, est-ce qu'une oeuvre l'est forcement (c'est une vraie question) ?
Contenu spoiler caché.

Bref je n'ai pas l'impression que l'auteur ait voulu y intégrer une dimension féministe/ou pas (mais je n'ai pas cherché d'interviews). Tous les personnages ont leurs défauts et sont assez "réalistes" pour ca, personne n'a le beau role, meme pas l'héroine.

Je te rejoins à 100%, tu exprimes très bien ce que je pense
Notamment je ne vois pas la communauté comme matriarchale, car les rôles y sont très genrés, donc ça laisse aussi peu de libertés pour les membres que dans notre société.

En revanche, j’ai trouvé fort de parler d’une relation où la femme subit des tas de trucs qui ne lui plaisent pas pour pas être perçue comme la fille chiante, tout en étant quand même considérée comme telle par une bande de mecs globalement peu sympathiques. Ce traitement de l’héroïne, finalement très seule et très perdue parmi les « siens », là où les autres films cherchent à semer la zizanie au sein d’une bande de meilleurs potes, je l’ai trouvé plutôt inhabituellement profond, carrément féministe et en tout cas très intéressant.
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