Inferno, le troisième volet des aventures de Robert Langdon à l’affiche dès le 9 novembre, vous emmène de la Suisse en Italie et jusqu’à Istanbul autour du thème de l’Enfer de Dante. Ron Howard continue de mener le navire et de diriger Tom Hanks dans la dernière adaptation de la saga de Dan Brown.
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Robert Langdon, un Benjamin Gates moins rigolo
Entre erreurs historiques et autre impossibilités, les romans de Dan Brown n’ont pas toujours fait l’unanimité parmi les historiens, mais n’allez pas dire ça à sa fanbase !
J’ai toujours vu les aventures de Robert Langdon comme une version plus sombre et un peu plus mystérieuse des Benjamin Gates. Au programme : un tour du monde, des artefacts cachés dans des mythes et légendes anciens, un professeur d’histoire spécialiste de toutes les époques, et un monde à sauver. Bref, un bon film d’aventure mélangé à un thriller, voilà ce qu’est Inferno.
Inferno, ça parle de quoi ?
Robert s’associe cette fois-ci à Sienna Brooks (Felicity Jones
), une doctoresse et un génie doté d’une intelligence hors du commun. Il a perdu sa mémoire à court terme suite à une commotion cérébrale. Mais visiblement, quelqu’un l’a chargé de décrypter un message pour trouver un vaccin et le sauver lui-même par la même occasion.
Parallèlement, l’Organisation Mondiale de la Santé enquête sur un virus qui menacerait le monde et deux chefs de département se disputent la chefferie, incarnés par Omar Sy et Sidse Babett Kusden (actuellement dans Westworld).
Enfin, le grand ennemi de l’histoire est campé par le formidable Ben Foster. Il aurait créé un virus dangereux pour éliminer l’humanité qui représente le mal dans ce monde. Les premières secondes du film le montrent mort, pour vous donner une idée… Mais il était protégé par une organisation secrète dirigée par Irfan Khan, qui pourrait s’avérer plus importante que ce qu’on croit.
Inferno et son excellent casting
Vous l’aurez compris, il y a du beau monde au casting.
Je trouve Tom Hanks hallucinant. Il arrive à imprégner Robert Langdon d’un esprit extraordinaire, et même s’il paraît commun de prime abord, sa vivacité d’esprit ne connaît pas de rival. D’accord, il t’explique beaucoup de choses un peu évidentes, mais c’est ce qui marque le divertissement qu’est Inferno.
Tu te laisses emporter par l’histoire, et tu ne te poses pas tant de questions que ça car tu sais qu’à la fin, tout te sera révélé.
Inferno est jusque-là le meilleur Robert Langdon pour moi, le casting est impeccable, et même s’il y a certaines absurdités, le mystère est bien là et le spectateur va de surprise en surprise. Le film est en salles le 9 novembre !
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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