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Société

Anthony, victime de violences sexuelles, raconte son histoire

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Un homme victime de violences sexuelles dans The Boys Club

Cet épisode, tu t’en doutes peut-être, ne ressemble pas à la plupart des témoignages que tu as pu entendre dans The Boys Club

.

À la base, Anthony a posté un commentaire sous la vidéo YouTube de notre entretien avec Guilhem. Il y disait :

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Comme à chaque fois qu’un mec nous reproche de ne pas inclure assez de paroles différentes, on l’a invité à venir dans le podcast. Comme aucun des mecs qui nous font ce reproche, il a accepté.

Anthony a dépassé ses angoisses pour se prêter à l’exercice. Les choses qu’il nous a confiées, notamment les violences sexuelles dont il a été victime, il ne les a quasiment jamais évoquées à voix haute.

Il n’est pas habitué à parler de lui, encore moins dans un micro, contrairement à de nombreux invités.

Alors je te demande encore plus d’empathie et d’indulgence que d’habitude. Le témoignage d’Anthony est presque brut, je n’y ai pas touché.

Tu entendras probablement des choses qui te font tiquer, des opinions avec lesquelles tu n’es pas d’accord. C’est ok, et tu as bien sûr le droit de réagir dans les commentaires.

Avec politesse, par contre, et recul. Anthony m’a fait le cadeau de sa confiance ; je tiens à ce qu’il soit respecté.

Il a voulu ajouter des éléments, qu’il m’a envoyés à l’écrit et que tu liras ci-dessous.

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Si tu souhaites participer au podcast, envoie un mail à theboysclub[at]madmoizelle.com en te présentant et surtout en m’expliquant ce que tu as à raconter sur la masculinité.

Pas besoin de rentrer dans tous les détails, mais il faut que j’ai une idée de ton « angle » afin de pouvoir te répondre efficacement !

J’ai hâte de te lire ♥

La réponse d’Anthony à son Boys Club

Anthony, en écoutant son épisode, a voulu ajouter des choses. Voici son texte, tel quel, auquel je n’ai rien ajouté ni retiré, pas la moindre virgule n’a été modifiée.

Je te conseille de le lire une fois l’épisode fini, tu risques d’être dans la confusion sinon !

L’expérience de l’interview n’est pas une chose aisé, ça peut le paraître quand on est habitué n’entendre s’exprimer que des personnes qui ont fait de la communication leur métier, mais ça ne l’est pas.

On est assez nerveux, la gorge sèche, et la bienveillance de ceux qui t’entourent n’ y change pas grand-chose, mais surtout les pensés s’embrouille, on veux parler de tout plein de truc en même temps, surtout quand comme moi on a une net tendance a partir dans des digressions, une idée qui en évoque une autre et autre autre et au final on oubli plein de truc, revient sur des chose qu’on a déjà voir on sais même plus de quoi on était en train de parler 2 minute plus tôt. Et la contrairement a l’écrit pas de retour en arrière possible pour structuré tout cela. Par exemple de coup patron gay, j’en ai parler qu’a la fin non pas parce qu’au départ j’avais esquivé, non je tenais a en parler avec les autres expérience, mais a sauter d’un truc a l’autre on s’y perd et on était déjà a parler d’autre chose….

De plus l’interview c’est mal embouché, partant tout de suite dans le le clivant «  je suis anti-feminisme » qui a orienté tout le reste de l’interview en faisant le cœur du podcast et laissant donc bien peu de place ensuite pour parler d’un autre regard sur la masculinité que celui des podcast précédent mon coup de gueule (pour remettre dans le contexte, c’est suite a mon commentaire sous celui de Guilhem Malissen que Mymy et Fab m’ont proposer de venir moi-même être celui qui donnerait un autre discours sur la masculinité, soit avant par exemple le Boys Club de Dany Caligula que je conseille fortement d’écouter si ce n’est pas fait.)

Cela a eu pour suite que je parle bien plus de statistiques et de mes ressentis, mes émotions. Ne jouant alors pas pleinement le jeu du podcast. Faut dire je ne parle pour ainsi dire jamais de mon être intérieur, j’évite en temps normal autant que possible ces sujets « intimes », y répondant toujours de la manière la plus court, évasive et fermé au dialogue possible. Alors que avoir un discours militant et polémique est une chose que je fait naturellement. Ce qui fait que même en ayant parfaitement accepter de m’exposer et en y mettant de la bonne volonté, j’ai un peut trop saisi les occasions de ne pas rester sur du personnel.

Il y a aussi quelque sujet dont je m’était pas préparer a être interrogé dessus et donc auquel je n’ai pu répondre que selon ma nature : on esquive.

Tout cela fait que je ne suis pas ressorti satisfait de ce que j’ai réussi à répondre.

Je vais donc tenter ici des faire le jeu du « toute la vérité a cœur ouvert » jusqu’au bout, et de corriger ou compléter un paquet de point .

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C’est quoi pour toi être un homme?

J’avais beaucoup de chose a dire pour répondre a cette question mais au final j’ai juste placé ma « blague transphobe » Mymy dit souvent qu’il a pas de mauvaise réponse a cette question. Mais d’un autre coté y’a que des mauvaises réponses. Tu défini la masculinité d’après des attitudes, des comportements, tu fait dans le stéréotype de genre c’est pas vrai y’a des homme qui n’agissent pas comme ça, sexiste ! Tu défini la masculinité d’après la bite, c’est pas vrai y’en des hommes qu’en on pas, transphobe ! Perso je préfère être accusé de transphobie par ceux qui tiennent a signaler leurs vertu que d’être dans le sexisme.

Il n’y a pas de bonne réponse.

J’ai vu un paquet de fois des femmes réagir a la difficulté des intervenant a répondre a cette question par des réaction de femmes du type « les hommes ont pas fait leur travail de déconstruction, ils sont bien moins avancé que nous la dessus, c’est pour ça qu’ils savent pas quoi répondre »… Alors que non en fait c’est le contraire plus tu réfléchi a la masculinité, surtout si tu le fait avec une pensé féministe, et plus il devient difficile de donné une réponse qu’on estime bonne. C’est plutôt ceux qui n’y ont jamais réfléchi qui vont pouvoir donné tout de go des « être un homme c’est… » en pensant donné LA bonne réponse. Mais quand tu te met a y réfléchi vraiment il devient de plus en plus évident que ces réponse que tu aurait donné avant ne sont pas si bonne que ça. Qu’ils aient tant de mal a y répondre c’est donc plutôt le signe qu’au contraire ils l’ont fait ce travail de déconstruction. D’ailleurs vous même seriez-vous vraiment capable de répondre à la question « c’est quoi être une femme ? »

A coté de cela non je ne pense pas que la seul chose qui caractérise les hommes, en général, c’est juste l’organe sexuel. Mais la question plus juste serait alors «c’est comment les hommes ? Ou « qu’es-ce qui différencie un homme d’une femme ? ». Ces question sont bien différence de la premier car elle appel une réponse descriptif alors que la première une réponse prescriptif. Et rien de ce que je vais dire ensuite n’est pour moi prescriptif, si un homme (ou une femme) ne correspond pas a ce que je vais dire il reste un homme ( ou une femme). Il n’est pas moins homme, c’est pas ça qui fait de lui un homme ou pas, il sera différent de la majorité des hommes mais ça restera bel et bien un hommes. Il n’y a non plus aucun jugement de valeur, pas de c’est bien ou mal d’être comme cela, quel mal y aurait-il a ne pas être dans la norme ? D’ailleurs la question du es-ce naturelle, du a la biologie, ou bien de la construction social (alors si on me pose la question en bon marxiste je dirait que les réalité matérielles précèdent les idées, et donc qu’on a fait des construction social pour dire des traits qu’on retrouvaient le plus chez les homme et chez les femmes « c’est ainsi que ça doit être », transformant les tendances dominantes en impératif… mais c’est pas la question, on s’en fou en vrai de qui de l’oeuf ou la poule) On est juste dans la description de ce qui va être la plupart du temps rien de plus.

Tout le long la je vais faire des opposition homme/femme, parce que la je vous l’accorde totalement la masculinité se construire surtout par rapport à la femme. Il est bien plus facile de definir notre identité par rapport a ce qu’on n’est pas que par rapport a ce qu’on est, il est bien plus facile, quand on est enfant, d’identifié chez les fille ce qu’elle ont de différent de nous, que d’identifié ce qu’on a en commun avec les autres hommes.

Donc (que je vous dit que je digresse beaucoup) balançons du propos sexiste : pour moi la différence principale c’est que les hommes sont d’avantage dans l’action les femmes dans le « care ». « être un homme » c’est avoir un besoin d’agir. les hommes se construisent à travers ce qu’il font, leur réalisations, la ou se sont illustré les femmes dans leurs lien aux autres. c’est pour cela que combatif, entreprenant, fort esprit de compétition etc… sont des trait surtout connoté masculin (bon ok la dedans y’a que l’esprit de compétition que j’ai).

On pourrait voir d’autre opposition masculin/féminin ( en lien avec cette premier opposition) la manière d’analyser et communiquer : les hommes dans le factuel, les femmes dans l’émotionnel pour ce qui est du jugement sur soi (et les autres aussi malheureusement) : les hommes sont plus dans une démarche de responsabilité il va se sentir diminué quand il arrive pas a faire ce qu’il « doit » faire ; pour les femmes c’est par rapport au jugement d’autrui, vont être bien plus préoccuper sur ce qu’on pourrait dire sur elle quand les homme eux sont préoccuper parce qu’ils ont a accomplir. L’homme va jugé les autres sur leurs action les femmes sur leurs personnes. Et donc les hommes sont se sentir plus insulté si on dénigre ce qu’il font, les femme si on les juge moralement elle qu’on s’attaque a ce qu’elle sont. etc… tout cela rend la compréhension entre les deux parfois laborieuse, surtout si on aborde justement la question de ces rapport homme/femmes.

Comme j’avais évoquer dans le podcast la différence va bien se voir au moment ou l’ont confie ce qui nous fait souffrir, (attention sexisme) une femmes qui ferait cela pour être écouter, pour avoir du soutien moral, le fait d’en parler a une oreille attentive d’extérioriser va déjà l’aider a aller mieux ; une femme qui t’écouter parler de tes souffrances va plus etre a montré qu’elle est dans l’empathie. Un homme qui parle de ces souffrance, c’est avant tout pour obtenir des conseil pour régler le problème qu’il va parler (si on sait très bien que l’autre pourra rien faire, que rien de ce qu’il pourra dire on va pas l’embêter avec ça), un homme qui écouter va être centré sur la question « qu’es-ce que je peux faire ? »

En résumé : les hommes ont au lien bien plus développer au « faire » les femmes au « être »

biensur tout cela n’est pas binaire, les hommes aussi vont avoir tendance a partir dans les « machin il a dit ça sur toi » les femmes aussi vont ressentir de la fierté à réaliser un truc mieux que les autres, on parle de trait de personnalité qui n’ont peu de valeur a l’échelle de l’individu n’ont de valeur que si on parle de « dans l’ensemble ». Et bon comme j’ai dit c’est pas ça qui fait un homme ou une femme, c’est juste des généralisations un peu caricatural d’où au final la réponse «  etre un homme c’est avoir une bite »

Mon enfance :

La partie que j’ai grandement éludé. C’était pas part deni que j’ai tant insiste non pas de problème avec mon père, et forcement plus tu insistes dessus pour dire que non y’ pas de problème et plus tu a l’impression de faire celui qui les nie alors plus tu insistes pour dire que vraiment non y’en a pas. C’est parce que peut de temps avant l’interview j’avais eu a faire par deux fois une sangsue ( vous savez un truc qu’on retrouve pas mal chez les militant d’extrême gauche : des personnes qui veulent a tout pris que tu leur parle de toi, surtout ce dont tu n’a pas envie de parler, qui aime par dessus tout qu’on leur parle de nos malheurs au point que t’as l’impression qu’il s’en nourrissent) qui avaient lourdement insister pour trouver quel lourd secret se cachait derrière « tu parles des fois ta mère mais jamais de ton père » . alors que bon si j’en parle pas c’est qu’il a rien a dire a son sujet, rien qui n’implique pas ma mère en tout cas, a part que je l’ai pas vu depuis plus de 10 ans… comme si forcement les problèmes viennent du père. Non les problèmes relationnel c’était uniquement avec ma mère. J’avais pas eu envie d’en parler au podcast parce que bon je balançait sur ma sœur pas trop envie d’en plus faire du « et ma mère… » et aussi parce que c’est assez récent pour moi de ne plus avec avec elle le meme lien que Francis avec sa mère dans Malcolm. Mais bon allons y Alonso. (attention ça va trigger warning sec)

Comme dit dans le podcast je le dernier née de la famille, le seul garçon avec plusieurs sœurs, ma mère disait des fois pour casser mon père que j’étais le seul homme de la famille. (et c’est pas plus plaisant à entendre pour le fils que pour le père) j’étais aussi celui dans lequel il avait le plus d’espoir, par parce que j’étais le garçon mais parce que j’étais le petit génie de la famille qui apprend et retient tout avec une facilité déconcertante, celui qui devra donc faire de grande chose une fois adulte et faire l’honneur de la famille, des discours que j’entendais déjà a 5 ans. Discours venant essentiellement de ma mère, mon père ne faisais qu’acquiesçait, de toute manière il ne se serait jamais risqué à contredire ma mère surtout en terme d’éducation. Ma mère était le chef du foyer ça ne laisser aucun doute, ( même si, années 80 oblige, on avait quelque démarcheur qui commettait l’impaire de demander « le chef de famille et la ? » suivi d’un « non je parle de votre père »… après ça pendant des jours on en entendait parlait du sexisme de la société) et un chef autoritaire. Un chef qui tien a avoir le contrôle sur tout.

Elle était obsédé par l’image que la famille renvoyait, par les « qu’en dira-t-on », il fallait être le modèle de famille petit-bourgeoise parfait, sinon les gens vont jaser. Même si ça ne se voit pas de l’extérieur, on sais jamais. Et ce modèle a l’époque était très patriarcal donc le premier truc qu’elle a fait en se mariant c’est arrêter de travailler. c’est elle qui décrétait les punitions, mais si elle avait décrété que la punition serait un châtiment corporel c’est le rôle du père de faire cela. Alors elle l’harcelait pour qu’il nous punisse, parce que c’était vraiment pas le genre de truc qu’il ferai de lui même, allant parfois jusqu’à le frapper pour qu’il s’exécute. Je peux dire qu’une fois qu’il se décider la le faire son « rôle de père » on prenait cher mais cher, on se manger tout la colère accumulé, et vu que c’était pas la personne a l’origine de la colère qui se prenait les coups elle ne s’évacuait pas il ne s’arrêter pas… « heureusement » que ma mère était la pour alors lui taper dessus «  mais arrête pas va le/la tué ». c’était pas leurs seuls occasions ou ma mère lui taper dessus, quand il rentré bourré aussi, quand elle voyez la fiche de paye et qu’il avait pris des avance pour picoler, et pis d’autres excuses encore. Biensur quand on parle de violence conjugale on imagine que les coup sont journalier, non ces coups sont dans l’ensemble pas si fréquente, la base du « terrorisme conjugale » c’est les humiliation, les reproche perpétuel, tout ce qui fait que la victime se sent tel une larve ou point que la possibilité de se défendre quand les coup arrive ne sois même plus imaginable. (ceux qui viennent dire « mais un homme c’est fort ça peut se défendre » on vraiment rien compris au processus des violences conjugales). Tout le temps a lui reprocher de pas s’imposer face aux autre, de pas se tenir droit, d’avoir une voix trop aigu, d’être manière…bref de pas être assez un homme (ce rendait-elle compte que la plupart de chose qu’elle lui reprochait elle ne faisait que les accentué chez lui ? Comment s’imposer face aux autres quand tu doit te soumettre a ton tyran ? se tenir droit quand tu est sans cesse rabaisser?) Elle a tellement détruit mon père qu’après le divorce il a eu une longue période homo parce qu’il était persuader que les femmes était incapable de faire preuve d’affection.

Et bon ca se limité pas a mon père on a aussi subit sa tyranie, une de mes sœur a aussi particulièrement morflé, a chaque fois qu’elle parle de notre mère c’est pour dire a quel point elle a détruit en elle tout en confiance en soi. Me souviens qu’une fois a son entré au college elle m’as tendu le livre « Carrie » de Stephen King en disant « tien au dirait trop moi et maman et les fille de l’école ». d’un coté à moi moins parce que j’étais une fierté de par mon intelligence, par contre j’étais une forte tête qui n’avait rien de ce mélange de respect de peur et amour on se doit d’avoir envers une tel mère alors fallait me casser. De plus j’avais gamin un paquet de névrose, par exemple j’avais (merci les X-men) une phobie que des gens puisse lire dans les pensé et découvre alors que j’étais pas normal dans ma tête, alors je bloqué mes pensé en présence de foule. Et certains de ces névroses (que je ne dirait pas question d’anonymat, j’en dit déjà bien trop) m’ont valu des punitions borderline une fois que le pédopsychiatre après une seule séance, où j’ai pas souvenir qu’il m’est demande pourquoi ce faisait ça, a décrété que non tout allez bien chez moi que je faisait cela juste pour emmerder mon monde. Et l’aînée, celle qui à fait vous savez quoi, j’ai pas souvenir qu’elle particulièrement mangé et c’est sûrement le cas vu que c’est la seule qui au moment du divorce était du coté de notre mère.

Bon au départ ça allait, l’enfer n’as commencer réellement que quand on père c’est retrouver au chomage. La tout son modèle parfait de famille parfaite c’est effondré, la plongeant dans la folie. Fallait à tout prix sauver les apparences. Mais sa volonté de sauvegarder les apparences ne pouvait rien fasse au fait que les traites de la maison ne pouvait plus être payer. Alors c’est dur de tout bien remettre dans l’ordre de savoir si ça a commencer la ou avant, elle simulait des malaises pour faire venir les pompier qu’ils s’occuper d’elle. Ça me laissait totalement indifférent. C’est pas ça qui n’aurait empêcher de continuer de jouer, même quand le faisait juste a coté de moi. Non je n’entrerait pas dans ton jeu, et si je me trompait que qu’elle simule pas ? A bah pas grave elle peut crever je m’en fou (que je disait que j’avais peur que les gens découvre a quel point je pensais de manière anormale)

Vu qu’il n’était plus capable de remplir son rôle d’homme a rapporter les revenu au foyer donc divorce, ça faisait déjà longtemps qu’elle ne le supportait plus, mais voila « qu’en dira-t-on si on divorce ? Et pis faut penser au enfants » (un conseil pensez au enfants : si vous supporter plus la personne avec qui vous êtes séparez vous, un divorce c’est mieux pour les enfants que de les maintenir dans un foyer toxique ou ça s’engueule sans arrêt) Divorce évidement a tord complet pour mon père, elle a eu la garde exclusive, je pense qu’il n’a même pas essayer de se défendre. Apres le divorce y’a eu les tentative de suicide, parfois elle avait dans l’idée de nous rendre service en embarquant mes sœur avec elle (elle n’avait pas assez d’autorité sur moi pour réussi a faire que je la suive), puis les séjours en hôpital psy. La notre père a tenter de récupérer la garde mais visiblement pour le juge c’était pas assez pour la retirer a une si bonne mère.

Si on ajoute ma sœur qui me confondait avec un sex-toy ça donne pas très envie comme enfance. Mais pourtant je vois toujours cette période comme la période la plus heureuse de ma vie, quand je vivait a travers mon imagination, a l’époque, débordante, quand je avait en reve pour quand je serait grand d’etre soit pdg d’universal soit gourou d’une secte, l’important c’est d’avoir tout plien d’esclave dévoué la pour donner vie a tout ce qui grouiller dans ma tête ( un salaud je vous dit). Et malgré tout ce que je dit ce que j’ai très longtemps reprocher a ma mère c’est pas tout cela c’est que les seules fois ou son autoritarisme m’aurait été utile elle a laisser faire (dont une fois très jeune ce qui a fait qu’ensuite je ne pouvait plus avec ce peur-respect-amour pour elle, car j’avais réalisé que cette « force » qu’elle nous montré c’était que de l’apparence, une faible qui jouait les fort et qui y arrivait qu’entouré de plus faible qu’elle)

Après ca a changer, apres avoir toucher le fond, apres plusieurs passage en HP, n’est resté que son coté faible. Elle de cherchait plus a nous imposer comment vivre, a tout régir, même si bon ces paroles d’encouragement avait encore tendance à sonner comme des reproches. Faut dire le passé avait fait qu’a l’adolescence j’avais des rapport hyper conflictuelles avec elle n’étant plus capable l’un l’autre que d’entre les méchancetés et les reproches, même la ou il en avait pas dans les propos de l’autre. Et le changement c’est fait très lentement, voyant bien qu’il suffirait d’un rien pour la faire redevenir comme quand elle était quelqu’un. Genre la technique de malaise elle s’en ai encore servi contre ces compagnon pour les forcer a rester.

Ce qui m’emmerde avec tout ça c’est que ça donne l’impression, en ce concentrant a ce point sur le mauvais de faire un tableau bien plus noir qu’il ne l’était vraiment quand on résume ainsi des chose qui s’étale sur un paquet d’année et qui montre que les mauvais jours quand même moi nombreux que les bons.

Raison pour laquelle je tien a l’anonymat, je n’ai pas peur d’assumer ce que je pense. C’est parce que je ne veux pas causer du tord a des proches en ressortant des histoire qui appartiennent au passé. J’aurais aimé ne pas avoir à en parler mais il faut bien en parler pour faire comprendre que non les « not all men » et « les homme aussi » y’a un fond derrière qui n’est pas d’empêcher les femmes de parler.

la masculinité :

comme la partie précédente peu le faire deviné c’est pas du tout e mon père que j’ai reçu les injonction de « masculinité toxique ». tout les un homme ça doit être fort, un homme ça pleure pas ça endure etc. ma mère non plus aussi fermer dans l’image de la famille patriarcal fusse-t-elle ne m’a jamais inculqué de tel chose, on pourrait dire que les injonction qu’elle faisait a mon père je les suivait, mais non il aurait fallut que la respect pour cela. L’école non plus.

Je me suis mis tout seul ces idée dans la tête. Déjà pour les émotions il a fallut attendre que j’ai 20 piges et que je tombe par hasard sur « le tombeau des lucioles » pour que je découvre que moi aussi j’en été capable, de mes souvenir c’était la première fois que je pleurait pour autre chose que de la douleur physique. On pourrait dire que vu l’enfance que j’ai eu je me suis fermé, que j’ai développer un système de protection, moi j’ai plutôt l’impression que c’était juste ma personnalité été comme ça.

Mais si faut vraiment que j’aille chercher une cause externe alors ça sera les dessins animés. A par des exception comme Ranma 1/2 ou Sailormoon il y avait d’un coté les dessin animé pour garçon et d’autre pour fille.

D’un coté des dessins animé genre les chevaliers du zodiaque, avec ces héros qui se battent contre bien plus fort qu’eux, pas de simple adversaire mais des montagnes infranchissable qui se dresse devant eux. Ces héros qui prennent des coup se font écrasé par la toute puissance de leur adversaire mais qui continu a se révélé inlassablement, jusqu’à en faire douter la montagne, qui la gravissent même s’il doivent ramper dans leurs propre sang pour cela et qui finissent par l’emporter pour la simple raison qu’ils n’abandonnent jamais. Qui gagnent grâce a la force de leur volonté et de leurs convictions alors qu’il avaient aucune chance au départ eux insignifiant être fait de bronze face a ces être quasi-divin fait d’or. Voila ça c’était cool ! Ça c’était un message positif : même si ça parait impossible perdu d’avance n’abandonne pas continu a te battre encore et encore, relève toi encore et encore, va de l’avant quoi qu’il arrive, ne perd jamais ta foi, ton courage, donne le meilleur de toi même, donne plus que cela surpasse toi, ne te contente pas d’être meilleur que les autres ton plus grand adversaire c’est toi-même les seuls limites sont celle que tu t’impose, franchi-les ! en un mot : soit fort ! Non rien de toxique la dedans ! C’est tout le contraire c’est combattre la toxicité qu’on a en chaqu’un de nous.

de l’autre coté les truc pour fille, des truc nian-nian ou larmoyant des truc comme Princesse Sarah… Princesse Sarah… J’ai envie de te coller des claque pour que tu réagisse Princesse Sarah, envoi chier la directrice, princesse Sarah, éclate la tête de Lavinia contre un rebord de table Princesse Sarah, fait quelque chose ne reste pas passible ! Rebelle toi ! Réagit ! N’attends pas que le destin vient te sauver, qu’un homme charitable vienne te sortir de ta condition, c’est pas comme ça que les chose fonctionne Princesse Sarah ! Je te hais Princesse Sarah ! Je hais tout en toi, tout ce que tu es, ce que tu représentes. Je hais ta gentillesse à toute épreuve, ta bienveillance indéfectible, ta passivité. Ta prétendu force de caractère n’en est pas une, Princesse Sarah, tu n’es qu’abnégation, soumission. Accepter de tout subir sans perdre le sourire ce n’est pas de la force c’est être une loque humaine. Je te hais Princesse Sara ! Ce que tu est, tout ce que tu représentes. Comment, mais comment, peut-t’on t’apprécier ? Comment peut-on aimé une tel série ? Comment peut-on vendre un tel modèle au jeune filles ? Comment les jeunes filles peuvent accepter un tel modèle ? Bordel c’est le passage le plus dure a écrire tant je te hais Princesse Sarah. Je peut écrire, parler dans un podcast, avec détachement, pouvant plaisanter dessus, de tout a tas de truc qui ferait dire «  oh c’est horrible je suis désolé pour toi » (allé vous faire foutre avec votre pitié hypocrite)… mais toi, toi princesse Sarah, je ne peut pas exprimer toute la haine que j’ai pour toi sans m’interrompre tout les 3 lignes pour chialer un quart d’heure tant je te hais princesse Sarah !

Non ce n’est pas « toxique » d’encourager les garçon a être fort, entreprenant, audacieux etc.… c’est parce qu’il faut être fort, entreprenant, compétiteur, sur de soi pour avoir une chance de réussir qu’on appeler les garçon a l’être. c’est parce que ceux qui sont faible, passif, sans confiance en soi vont avoir une vie de merde qu’on insiste tant garçon en ne pas l’être, qu’on les pousse a ne pas montrer qu’il pourrait être des victimes faciles. non la vie des garçon ne serait pas meilleurs si on les éduquerait a être plus « comme des filles »a pleurer, montrer leur faiblesses, par contre si on éduquerait un peu plus les filles « comme des garçon » elle s’en sortirait mieux.

Alors oui ces « injonctions » peuvent être détourner pour nourri de la misogynie et de l’homophobie, mais es-ce une raison pour jeter bébé avec l’eau du bain ? C’est pas parce qu’il en a qui n’ont pas ces qualités que se retrouve isolé, malmené et finissent brisé, qu’on doit décrété ces qualité comme « toxiques » et prôner leur élimination. C’est justement parce que si les connard violent t’identifie comme faible il vont s’en prendre a toi, qu’il est bien important apprendre aux gosses comment ne pas être identifié comme tel.

Les féministes pensent bien a tord qu’il serait mieux pour les garçons qu’il montre leur faiblesse, parce que les femmes vivent avec e privilège du droit à la faiblesse. Un femme peut sortir des « c’est trop dur j’y arriverait pas » et on fera pour elle, au lieu d’être considérer comme quelqu’un sur qui on ne peut pas compter. L’homme lui n’a rien a obtenir a faire démonstration de faiblesse, a part le mépris des autres. Et non pleurer ne fait pas du bien. Alors que être que ce mythe du « pleure un bon coup et ça ira mieux » ça marche sur les femmes, mais non pleurer ca fait juste remonter a la surface des chose qui été bien tranquilles enfui, ça fait qu’ensuite tu ne repense plus qu’a ça, ça obnubile, je vais toujours bien plus mal apres avoir pleurer qu’avant, c’est toxique. Demander de l’aide, pour quoi faire ? En tant qu’homme quand tu dit que tu n’en pleut plus, que tu te sent plus capable d’avancer seul tout ce que tu obtient c’est le conseil «  arrête de te plaindre et sort toi les doigt du cul ». Les garçons faut bien leur apprendre qu’il faut qu’ils s’en sortent seul, car il devront s’en sortir seul. Mais non sans sexisme ce privilège ne serait pas étendu a tous, sans le sexisme ce qui se passerai c’est que finirait ces égards pour vous protéger de la brutalité du monde.

Et bon la on touche le fond de l’hypocrisie avec le « nous les féministe on est pour que les hommes puissent pleurer aussi » alors que dés qu’un hommes tien au autre discours que «  je suis trop privilégié d’être un homme » , dés qu’il se plaint de quelque chose qui le touche, qu’il dit qu’il a pas que des avantage a être un homme, systématiquement il va avoir le droit de la part de ces même personnes a tout un tas d’attaque sur le fait qu’il serait en train de pleurer, sur ces « male tears », rappelant bien que elles même considéré comme une chose honteuse et méprisable qu’un homme puisse pleurer, puisse montrer de la faiblesse… bref « maletears » c’est la cristallisation même, dans ce qu’elle a de plus malveillante, de l’injonction du « un homme ça ne pleurs pas ».

Le silence des hommes victimes.

C’est la manière dont on parle des violence de genre qui va conditionné la « libération de la parole ». Après chaque grosse campagne médiatique il y a une augmentation des femmes qui portent plainte. C’est un travaille long qui a été faits pour dire a ces femmes que non c’est pas des comportement normal et acceptable ce qu’on leurs a fait subir, qu’elle ne doivent pas sentir fautives et responsables puis enfin qu’elle doivent porter plainte. C’est un long processus qui n’as plus atteindre les résultat qu’il a atteinte que parce qu’on a inlassablement répéter vous êtes des victimes, vous de devait pas avoir honte, vous n’êtes pas seules, inlassablement répété que c’est des chose horrible, bien trop fréquentes, qui doivent être dénoncé et combattu. Que dit-on au hommes pendant ce temps la? Que c’est quelque chose de bien trop rare pour mérité qu’on en parles qu’ils sont seuls, que c’est bien moins grave quand c’est contre eux, qu’il devrait avoir honte d’être du sexe de agresseurs. Quel place reste-t-il pour la parole des hommes victimes quand les discours sur ces violences sont toujours réduit a « les hommes sont les agresseurs, les femmes les victimes »? Comment soi-même se reconnaître en tant que victimes si les discours sur ces violences n’évoque jamais la possibilité qu’il le soit?

Dés qu’un homme commence a dire «  les homme aussi » direct il est taxé de masculiniste, on lui prête tout les pires intentions. «  tu fait cela pour nier les violence subit par les femmes, tu cherche juste discrédité les combat féministe, tu cherche restaurer le patriarcat… ». Si on ne parlerai pas de ces sujets comme ils ne concernerait que les femmes alors y’aurait on ne serait pas a dire « les hommes aussi ». Il ne faut pas oublier que pour un homme avant de pouvoir dire « moi aussi » faut déjà qu’il se battent contre le préjugé que ça n’arrive qu’aux femmes. C’est pas ça parole qu’on met en doute, c’est pas l’accusé qu’on cherche a défendre, ce serait déjà une très grande avancé, la on est au point d’être face a des personne qui accepte même pas la possibilité que de tel chose arrive aux personnes de ton sexe. derrière un « les hommes aussi » se cache souvent un « moi aussi ».

Non, on instrumentalise pas les violences fait au hommes pour faire du tord aux femmes, les forcer au silence, c’est les féministe qui instrumentalisent le « masculinisme » pour réduire au silence les hommes victimes, pour rendre leurs parole inaudible. Le masculinisme c’est le mal, c’est les masculinistes qui parle des violences de genre faites aux hommes, donc parler des violences de genre faites au hommes c’est mal!

« Vous n’en parler que quand on parle des violences faites au femmes. » Non on en parle quand c’est le sujet. Pardon de ne pas mettre cela sur le tapis a chaque instant de notre vie de pas relancer quand le sujet c’est Harry Potter. On est pas responsable du fait qu’a chaque fois que le sujet des violences conjugales ou celui des agression sexuels est aborder c’est réduit au sujet des « violence faites au femmes ». Les « vous pourrait en parler quand on aura décider de parler des hommes victimes mais pas la ont parle des femmes » c’est juste une manière de dire taisez vous vous n’avez pas le droit à la parole parce que le sujet c’est toujours les violences faites au femmes. Et d’ailleurs c’est faux on en parle pas que quand le sujet c’est les femmes, on en parle aussi de notre coté. Regardez les vidéo d’OsAlnef https://www.youtube.com/channel/UCggvh3_uSlM3ZPuLLqoE5aA quel poids a peut avoir face a l’autre white knight qui pense que dire va te suicidé c’est de la bienveillance qui a en faire 500 fois plus de vue avec ces vidéo « les hommes vous en avait pas marre d’être des violeurs » ? Ce qu’on nous demande donc c’est n’en parler que la ou y’aura personne pour écouter.

On accuse a chaque fois le « patriarcat » les discours machistes d’être la cause du silence des hommes mais sérieusement qui écoute qui gros beauf? Es-ce eux simplement qu’on entend parler sur de tel sujets? Ceux qui sont derrière tout ce qu’on entend sur les violence conjugales et sexuelles c’est pas les « macho patriarcal ». On félicité les féministe d’avoir permis aux homme victimes d’eux aussi sortir du silence. J’aimerais savoir en quoi ils combattent ce tabou en répétant inlassablement que les hommes sont du camp des agresseurs, en occultant a chaque fois qu’il pourrait eux aussi être victime? La manifestation NousToutes qui ne consacre pas une ligne de leurs communiquer a dire qu’il a aussi des hommes dans les victimes, des femmes dans les coupables, qui annonce être une manifestation «  contre les violence sexistes et sexuelles » mais qui ensuite réduit ce sujet a « violences faites aux femmes » en quoi ça libère la parole des hommes? Quand le Comité Féministe Contre le Viol (ceux en charge du numero « Viol Femme Info Service ») ne fait pas une mention dans leurs communication a l’éventualité qu’il ai des hommes dans les victimes, qui écrit tout en inclusif sauf quand ça concerne mes victimes ( toujours genré au feminin) ou les auteur ( toujours genré au masculin), quand sa présidente déclare elle meme que le « femme » dans le nom de leurs service téléphonique et la pour décourager les hommes d’appeler, en quoi ça libère la parole des hommes? Quand toutes les affiches sans exception du CIDFF dénonçant les violences de genre mettent toujours un homme dans le rôle de l’agresseur jamais dans celui de la victimes, en quoi ça libère la parole des hommes? Quand la Fédération National Solidarité Femmes (ceux en charge du numéro « Violence Femmes Info ») font de même discours réduit exclusivement a homme agresseur, femmes victimes, en quoi ça libère la parole des hommes?

Alors oui quelque part c’est le féminisme qui n’a fait sortir du silence mais nullement parce qu’il n’avait offert un espace bienveillant ou le faire ou qu’il m’a donner les arme pour le faire. C’est qu’un moment c’était plus supportable d’entendre des femmes gagnant 3 fois plus que moi me dire que j’étais un privilégié de seul fait de mon sexe (mais que quand on leur demande en quoi mi qui fait parti de cette masse pour qui un CDI au SMIC ca serait déjà l’eldorado, droit qu’au « vous vous faites pas agressé sexuellement), c’était plus supportable de toujours se voir catégorisé « du camp des agresseur » du fait de mon sexe, l’impératif de faire amende honorable, de s’excuser parce que font les autres hommes, s’excuser d’être homme (la même en sommes sens cesse exiger des musulman qu’il marque qu’il sont contre les terroriste, qu’il doivent ce justifié a chaque attentat de ne pas être de ceux la… j’ai pas rejoint l’extrême gauche pour y entendre ce genre de condamnation essentialiste), plus supportable d’entendre « vous les hommes les sale violeur », marre des « va falloir changer maintenant », tous de vile harceleurs qui va falloir qu’il change leur comportement. tout ce discours ça fait longtemps qu’il sont intégrés, je drague strictement jamais qu’es-ce qu’il aurait a changer de plus dans mon comportement pour ne plus être classé de facto comme harceleur? De facto un violeur en puissance alors que je suis puceau?… d’ailleurs non je suis pas juste puceaux j’ai moi même été victimes de cette chose dont je devrait porter tout le poids le la culpabilité. Alors un moment on craque, on fait le « notallmen », on fait juste la réflexion comme quoi ça serait bien de considéré qu’il a aussi des hommes dans les victimes, qu’on fait partie de ces hommes… Et a ce moment on constate bien que non y’a aucune volonté des féministe qu’on a en face d’aussi libérer la parole des hommes victimes. A la place ce qu’on c’est haine, insultes, mépris, menaces, culture du viol.

«  les hommes aussi » c’est un discours qui n’est pas admis. Tout les moyen sont bon pour contrer cette simple phrase. On minimise les chiffres, justifie le silence par le fait qu’il en aurait moins que c’est minoritaire (pourtant des femmes sans vagin la on rappelle qu’il faut les prendre en compte dans les discours alors qu’elles sont ultra minoritaire) On minimise les acte dit qu’il sont moins grave quand c’est un homme la victime jusque dans les étude (étude VIRAGE : interroge hommes et femmes victimes pour le même acte de « main au fesses et au sexe » 1/3 des femmes déclare que c’était perçu comme très grave, 1/3 que c’est osef ; 80 % déclare que pour eux c’était osef… conclusion de l’étude: les agression sexuel sont moins grave quand c’est des hommes les victimes… attendez la on parle d’exactement le acte, ce qui défini la gravité d’un acte c’est pas la perception de la victime c’est l’acte lui même. De tel chiffres aurait du amener la question pourquoi cette différence dans les déclaration et pas un moyen de dire « voyez c’est bien la preuve que c’est plus grave pour les femmes ») On sort des bêtises du genre « quand on homme est victime c’est la plupart du temps par un autre homme donc ça s’annule, donc tais toi ». on est la pour dénoncer les violences de genre ou pour compter les points ? Et plus passe le discours bien homophobe… la plupart des homme victime de violence conjugales le serait as d’autre homme, euh doit même pas y avoir assez de couple gay pour atteindre les chiffres ( on en vrai c’est seulement 1 % des hommes victime de violence conjugale que le sont par d’autre homme.. et 2 % des femmes par d’autre femme). après ne dites pas lutter contre l’homophobie contre l’image qu’on les homophobie d’associer homo et violeurs. Et si ça suffit pas pas on tombe alors dans la culture du viol : « un homme c’est fort ça peut se défendre c’est donc qu’il le voulait bien » non ! « faut qu’il ai une érection pour avoir un rapport sexuel, s’il a une érection c’est qu’il est consentant » non ! « un homme ça pas se faire violer parce que ça a toujours envie de baisser » NON !!! enfin bon tout ça c’est si la réponse ne se limite pas a des injonction a se taire tel « arrête de te victimiser » ou « maletears »

mais non le féminisme n’aurait aucune responsabilité dans le silence des hommes, c’est a cause du machisme qu’ils parlent pas

L’anti-feminisme :

Lorsqu’on en vient a parler des violence de genre (et d’autre problème lié a la condition actuel de l’homme en occident) il devient bien vite évidant qui faut faire éclater le cadre. Car dans ce cadre il a pas de place pour ces sujet (qui dans le cas des violence de genre ne devrait pas en être, mais c’est par la force des chose qu’il en deviennent un, parce que la doxa impose cette séparation selon le sexe de la victime/auteur niant l’existence d’autre schéma car ne collant pas avec le discours sur le « sexisme systémique »), leur évocation est tabou, leur évocation entraîne l’hostilité. Il faut faire éclater ce cadre comme quoi ça serait de systématiquement des hommes les agresseurs et es femmes les victimes. Remettre en cause cette conception manichéenne (et sexiste) n’est pas permis dans le cadre. Alors il n’y a pas d’autres choix que d’avoir en dehors de ce dernier. Et ce cadre c’est as les machiste du patriarcat qui l’impose (qui nie totalement les problème quelque soit le sexe de l’auteur ou la victimes) mais bel et bien les feministe (qui impose au cadre que ce serait unidirectionnel) Mais dés qu’on sort de ce cadre, qu’on parle de l’invisibilisation d’autre schéma que homme agresseur d’une femme c’est pas les machiste du patriarcat qui vient t’insulter de tout les nom et chercher par tout les moyen (mais surtout avec des appel au émotions et attaque infondé quasi jamais avec des études… mais comme dit la célèbre phrase mascu : « fact don’t care about your feeling ») de réfuter tout ce que tu dit, c’est des féministes qui te tombent dessus. L’anti-féminisme ( du moins cette anti-feminisme là) ne par pas d’une opposition a ce qui est présenter comme des causes féministes mais du simple fait que pour défendre des cause qui font pourtant officiellement parti du package des cause féministes ( dénonciation de stéréotype de genre, de la culture du viol, des violence de genre, demande d’égalité de traitement entre les hommes et les femmes…), on a d’autre choix que se retrouver en opposition avec le féminisme. Cette opposition nous est imposer. Et parce que pour parler de ces sujet il faut bien être critique envers le féminisme, contredire tout un tas de chose contestable qu’il impose comme doxa. Être anti-feministe dans ce cas consiste donc a croire au valeur de l’égalité de la lutte contre le sexisme mais réaliser que ce n’est pas pour cela que le féminisme ce bat. C’est considérer que les débordement misandre ce n’est pas des acte des « cancer » qu’on mal compris le féminisme mais prendre conscience qu’il a dans le package idéologique tout plein de chose qui pousse a de tel réactions d’hostilité.

Idéologie qui prend sa racine fin des années 70, après que l’égalité de droit soit obtenu ou des groupes radicale on alors créer une nouvelle narration pour que le combat perdure et pour cela il fallait que cette narration plus les femmes en victimes perpétuel et immuable des hommes, avec des tête de file tel que Andrea Dworkin et Catharine MacKinnon (qui ont été jusqu’à définir que tout rapport hétérosexuel c’est un acte de domination de l’homme sur la femme et que donc les femmes ne peuvent pas être consentantes pour de tel rapport, bref que l’hétérosexualité c’est du viol) Ce féminisme radicale a pris de l’ampleur il est devenu discours dominant, voir le livre « how stole feminist ? » de Christina Hoff Summer de 1994 (le livre, avec « Myth of male power » de Warren Farell 1993, qui a posé les fondations du discours MRA) expliquant comment le « féminisme de genre » (basé sur cette opposition aux hommes) a remplacer le « féminisme égalitaire » (basé sur la recherche de l’égalité homme/femme), notamment en usant et abusant de discours sensationnaliste et victimaire ayant peu d’égard pour la véracité des fait. La seconde grand rupture c’est vers 2012 avec l’arrive du féminisme 4eme vague, ou le feminisme twitter. Twitter qui a réussi a imposé aux gens d’être dans la réactions immédiate, dans le perpétuel signalement de vertu et de indignation consentante, twitter qui a réussi a imposer au gens de penser en 160 caractères, en hashtag, qui ne laisse pas de place a des réflexion développer mais juste a des slogan et punchline. Et on a cela on ajoute le culte de la pureté, phénomène très connu a l’extrême gauche. Quand on fait que des personne avec sensiblement le même avis se retrouve ensemble et personne avec une opinion contraire les discours ne peuvent que se radicalisé. Se crée alors au sein du groupe le meme découpage gauche/droite, le gars avec le discours qui en dehors de se cercle serait vu comme un discours bien a gauche se retrouve a représenté pour le groupe les pourri de droites parce que un peu moins a gauche que les autres, et nous on est de gauche alors on doit pas permettre de tel discours et comme ça on se retrouve que lentement mais sûrement le groupe va être pousser a être de plus en plus « pur »dans son idéologie permettre de moins en moins que s’exprime des voix qui ne vont pas dans le sens de la pureté idéologique. C’est ça ou finir en rupture avec ce groupe et alors passer plus de temps a critique cette dérive radical de plus en plus irrationnel qu’a critique les discours de ceux avec qui tu n’a rien en commun ( mais bon de son coté le groupe lui-meme va passer le plus clair de son temps a combattre ceux de leur camp qui sont pas assez pur plutôt que de s’en pronne aux réel adversaire). Les Végétaliens pourrait eux aussi très bien vous en parler de ce culte de la pureté et évidement le féminisme n’est pas épargner. L’entre-soi poussant au radicalisme + les bases idéologiques instauré fin 70 + éduqué a pensé en slogan ça donne bien un cocktail qui abouti a cette réaction des féministes a tout balayer d’un revers de la main avec un #notallmen ou #maletears face au critique. surtout qu’en bonne idéologie basé sur une division de la société elle a dévelloper tout plien d’arme idéologique pour se prémunir de toutes critique. Par exemple la il suffit d’invoquer le mot magique « mansplaining » et paf tout ce que je vient de dire est contré.

Alors oui on pourra me dire tout les féministe ne sont pas des personne cherchant a occulter les hommes victimes. Mais bon c’est pas les quidam qui compte, qui souvent se content du « je suis contre le sexisme/pour l’égalité çà veux dire que je suis féministe » et ne vont pas plus loin, non ce qui compte c’est les auteurs, les associations, celles qui ont un poids politique et médiatique…. Et la y’a bien omniprésence de l’invisibilisation des hommes victimes. Non on me convaincra pas que je me trompe sur le féminisme avec des « regarde moi je me dit féministe et pourtant… » je suis tout a fait ouvert a revoir a nouveau mon jugement sur le féminisme mais pour cela va falloir m’apporter des preuve de mon erreur, montrer mois les campagne de sensibilisation de CIDFF, CFCV, FNSF qui dénonce les violence faites aux homme ou faites par des femmes, montré moi des centre pour hommes battu, montrer moi ou sont ces action concrète fait pour aider les hommes… bref montrez nous qu’on est pris en considération et pas juste sacrifier pour nourri un discours de guerre des sexe !

Pour ce qui est du masculinisme.

Comme j’ai dit ce terme est vu comme un terme de féminisme pour dénigré tout ce qui se rapproche de prés ou de loin a des revendication masculines. Pour faire croire que les discours MRA serait tenu par un mixte d’incel et de viriliste voulant le retour au patriarcat ancestral. Alors déjà faire de l’incels le parangon des mascu alors que quasi tous les « mascu » les décrivent comme des merdes qu’on rien compris (d’ailleurs même les incels décrivent les incels comme des merdes) les rare a ne pas leurs cracher au visage, généralement des mgtow, c’est pour les convaincre de changer. Ce qui est classer dans masculinisme en fait c’est un ensemble de personne au vue différentes avec chaque un petit terme propre pour se qualifier qui ne sont uni que par la critique des discours féministe dominants et par le fait d’être trop minoritaire pour empêcher les un et les autre de virevolter entre ces groupes, qui éclaterai a l’instant même ou les féminisme ferait son auto-critique.

Oui je ne peut absolument pas nié que dans ce microcosme éparse de critique envers le féminisme y’a tout un tas de misogynie et homophobe qui y on trouver des chambres écho a qui il faudrait dire un peu plus mais « ferme ta gueule tu est une nuisance qui fait reculé notre cause », oui je ne nie pas que c’est pas très difficile de ne pas tomber a notre tour dans ce qu’on critique chez les féministes ; mais non critiquer le féminisme c’est pas être contre les femmes, le féminisme c’est pas les femmes c’est une idéologie.

Ma « misogynie » : trouver insupportable cette manie qu’on bien trop de femmes de se parler dans le dos les uns des autres, mais une fois en face « on est les Best Friends Forever ». de toujours chercher a créer des histoire et a forcer les autre a être inclus dedans a choisir leurs camp… Le seul truc qui pourrait me faire détester les femmes.

Et non en tant que MRA aucune volonté de renvoyer les femmes a la cuisine, je ne critique pas le feminisme pour ce qu’il a apporter jusque dans les années 70, je le critique pour s’être oublier en chemin. D’ailleurs si on m’aurait demander « un modèle positif de féminité » la j’aurai eu aucune hésitation : Cynthia Rothrock. (actrice de film d’art martiaux, multiple championne du monde de karaté dont une année en compétion mixte)

Le porno la bite et les femmes

je doit avouer j’ai un peu menti dans le podcast. Je faisait mine de pas trop savoir pourquoi trouver qu’une plus grosse bite c’est mieux. En fait si je sais très bien pourquoi mais bon l’explication était vraiment trop ridicule. Et non pas de rapport avec le porno. Ridicule d’avoir peur de réaction moqueuse lorsqu’on se retrouvera au moment de « conclure » avec une femme alors qu’a coté de cela on ne fait strictement rien pour que ce moment arrive, ce qui signifie quand on est un homme moyen qu’il n’arrivera jamais ce moment.

On est très loin, derrière les grand discours, d’avoir casser les convention autour de la drague. Ça reste a l’homme d’être a l’initiative, d’assurer, c’est pas une position confortable surtout quand on a très bien intégré les discours féministe comme faudrait pas être ceci pas faire cela, «  soit pas trop entreprenant, ne force pas, assure toi bien que la personne en face veux pareil avant même de proposer sinon t’es qu’un sale harceleur… hein quoi que les femmes en retour soit plus active qu’elle prennent des initiative quand un mec leur plait ? Non mais t’y pense pas sinon elle va passer pour une salope ». Tout a fait d’accord sur la première partie et ça m’arrange (pas du tout sur la seconde, l’égalité ne peux pas passer qu’en s’attaquant qu’au comportant des hommes, y’a aussi du travail a faire sur les mentalité des femmes… dont celui d’arrêter d’accorder autant d’importance a ce qu’on pourrait dire sur toi qui indirectement en plus crée de la culture du viol parce que bon toute ces connerie que les femmes s’éduque entre elle pour pas passer pour des salopes du style «  ne couche pas le premier soir/ même si t’a envie commence toujours par refuser/ fait toi désiré/etc… » et tout ces autres conseils qui font alors du rapport sexuelle au offrande que vous faites aux homme pour les féliciter d’avoir bien travailler… les hommes vous entendent les dire et ça joue quand même sur le fait qu’ensuite y en a qui viennent a pensé « des fois elles disent non mais elles pensent oui » qu faut pas s’arrêter a un premier non qui n’est peut-être la que par pure convention pour pas « passer pour une salope ») mais dans la pratique cette première partie si elle est respecté a la lettre les chance sont très mince de connaître « la chose ».

J’avais ado le profil type du futur incel : Très timide, une peur incroyable d’exprimé mes sentiment ou mon attirance pour de fille, peur de mal faire, d’être ridicule, d’être rejeter après avoir ouvert mon cœur, mais surtout de mal faire. Et pis des vision Disneyenne sur l’amour, comme quoi se serait un truc grand et beau, une fin en soi, un accomplissement, une union fusionnel entre 2 être pleine d’affection, d’attention, ou l’autre devient notre tout. ( les virilistes dirons que les problèmes relationnel des incels qui finissent pas devenir névrose, puis haine, c’est qu’il sont au départ trop « féminisé » … mais faut pas les écouter c’est des sales types qui aurait pour beaucoup besoin se questionné sur leurs obsessions des corps d’homme musclé sur fond de discours misogyne et homophobe) le mec qui quand il déclare son grand amour se mange un « je t’aime… mais qu’en tant qu’ami » par une fille qui se retrouve avec une racaille qu’aucun hommes un tant soit peu intelligent ne voudrait avoir dans son entourage. Moi aussi je suis passer par la phase ensuite de me dire « l’amour véritable c’est mort, l’affection j’en aura pas… alors je vais juste chercher du cul » et moi aussi ça aussi ça a été infructueux, j’ai connu aussi la frustration et la honte d’être encore puceaux passer 25 ans, la différence c’est que moi je n’était pas prêt a me renié pour cela a me faire a faire des chose de me déplaise juste pour ça. Moi aussi j’ai constaté qu’il avait bien souvent incompatibilité entre les discours des femmes (de moins de 25 ans) sur c’est quoi un bien et les mec avec qui elle sortaient au final. La tendance d’être au final attiré par ces hommes qui font peur aux autres hommes. J’ai aussi eu dans mon entourage quelque mec qui n’avait aucun respect pour les femmes mais qui s’en envoyé a tour de bras en cocufiant un max. La différence c’est qu’au départ j’avais pas mis LA femme sur un piédestal qui amène a avoir ensuite du mépris pour les femmes quand elles en chute et y avait pas a l’époque de « communauté » incel la pour te monter le bourrichon et de pousser d’avantage dans la névrose et créer a partir de la de la haine. Pas de femme idéalisé, celle dont j’étais en admiration qui m’a « friendzoné », c’était pas l’archétype de la « fille bien » bien au contraire et ça faisait parti de ce qui m’attirer en elle. Et y’a pas eu de faux espoir cultivé, elle m’a friendzoné bien avant, elle n’a profiter de moi qu’après, parce qu’a défaut d’avoir son amour je ferai mon possible pour qu’elle soit heureuse même si ça voulait dire l’aider en entretenir en cachette de ces parent sa relation avec ce sale type. Mais bon c’est vrai que ça m’a pas aidé a ensuite avoir le courage de déclaré a nouveau ma flamme. De tout façon j’ai jamais ressenti quelque chose de si intense pour une autre.

Donc voila on se retrouve a un age ou les autres hommes sont déjà expérimentés, et ou les femmes s’attendent a que tu le soit, que voila t’es un homme tu dois assurer lui faire prendre son pied. Et ne dit pas le contraire combien d’article pour dire du mal de ces hommes qui vous donne pas l’orgasme (mais l’orgasme masculin ça existe vraiment?), foutre la pression, rappeler que «  tu doit pas t’arrêter même si t’as éjaculer tant qu’elle a pas eu son orgasme » ( alors désolé de vous l’apprendre mais l’éjaculation ça a quand même pour effet de retirer l’énergie et surtout le désir sexuelle…. Tien je me demande bien comment on réagirait si on écrirait des articles pour que que les femmes, qu’importe qu’elle ai fini et plus envie faut quand même qu’elle continu pour que le mec aille lui aussi jusqu’au bout)… alors oui, avec cette pression, quand on est totalement inexpérimenté une grosse bite c’est mieux, ça évite d’être ridicule sur toute la ligne, ça compense. Ça évite les réactions les plus blessantes. Mais c’est ridicule de se dire qu’une plus grosse ca serait mieux pour ça… quand on sais que ce moment ou on sera sujet sur notre « virilité » n’arrivera jamais.

Le porno la dedans, à partir du moment ou on assume d’en consommer énormément, c’est, au contraire de ce qu’on lui prête comme effet, salvateur. Ça a aider a avoir de meilleur relation avec les femmes, parce qu’a se branler ça décharge de cette pression qu’on se fout a soi-même de plaire au cas ou, on sait jamais, faudrait pas casser le coup, si je merde je gâcherai peut-etre ma seul possibilité de… Déchargé de cette pression sexuel on ne vois plus dans les autres femmes d’éventuel potentiel futur partenaire, et ne condition plus ton attitude selon cela, ça devient juste des personne comme les autres avec qui tu peux discuté sans arrière pensé comme les autres (juste plus susceptible et facilement outré) où tu peux être toi-même. Et pis comme beaucoup de gros consommateur de porno, qui n’ont que ça pour assouvir leur pulsion sexuelles, j’ai un grand respect pour ces femmes qui joue dedans, qui nous offre de leur personnes, ces moment partagé indirectement, depuis que je suis accro a ces tubes pour adultes me viendrait plus jamais a l’esprit d’avoir un jugement négatif envers des femmes pour leur « manque de vertu ». Le porno n’a du mauvais pour ces consommateurs et leur rapport aux femmes que quand il n’assume pas d’en regarder, a moins vraiment qu’on aille cherche que les fantasme de candaulisme qu’il m’a fait développer soit du mauvais ? Bon après oui c’est sans doute différents pour ceux qui ont grandi avec le tubes de porn gratuit trouvable en 2 clic, j’avais déjà compris que j’allais la garder derrière l’oreille quand ces sites sont apparu.


Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.

Les Commentaires

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Avatar de wolfa
4 avril 2019 à 12h04
wolfa
Je fais remonter ce sujet à l'occasion d'un entretien paru dans Télérama n° 3611 30 mars-5 avril avec Valérie Rey-Robert, auteur d'un essai intitulé "Une culture du viol à la française. Du troussage de domestique" à la "liberté d'importuner".
Petite précision : Valérie Rey-Robert tient le blog "Crêpe Georgette" que certaines MadmoiZelles connaissent bien, si je ne me trompe...

Dans cet entretien, l'auteure-blogueuse dit beaucoup de choses intéressantes sur la culture du viol en Occident.
Mais, sans surprise, elle envisage la question sous un angle exclusif : les femmes violées, les hommes violeurs. "Nous apprenons aux filles à ne pas être violées, apprenons aux garçons à ne pas violer" dit-elle.
Certes, sur l'importance de l'éducation, elle a raison, mais quand même, quelle vision binaire des humains...

Je comprends bien son affirmation selon laquelle "le viol est un phénomène de société", sous-entendu : subi par les femmes.
Cela doit-il conduire à ignorer le viol des hommes, à le traiter comme quantité négligeable et embarrassante ?
A propos de l'éducation des filles (potentielles violées) et des garçons (potentiels violeurs), Valérie Rey-Robert précise que l'on "ne peut continuer à ignorer que 98 % des violeurs sont des hommes".
D'où sort-elle ce pourcentage ? Le pourcentage des femmes auteures, effectivement très minoritaire, est cependant discuté, et sous-estimé, pour diverses raisons.
Et surtout, quid des hommes violés ? 0 % ? (Anthony appréciera)

"Georgette" déclare également "que les idées reçues sur le viol sont une conséquence du sexisme".
Je suis d'accord. Sauf à préciser que parmi ces "idées reçues", figurent celles de l'homme inviolable, de la femme forcément victime, et alimentent, aussi, le sexisme (les femmes sont faibles/gentilles, les hommes sont forts/agressifs).

Evoquer les violences (notamment sexuelles) faites aux hommes (par des hommes et parfois des femmes) - sans nier leur caractère minoritaire - ce n'est pas seulement un devoir humain, cela relève aussi du combat féministe, à mon sens.

En retrouvant ce point de vue dans certains articles de MadmoiZelle, et chez certaines Mad, je me sens un peu moins seule..
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